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Les Pays Islamiques la république d’Iraq
1 Présentation générale
Au Proche-Orient, la république d’Iraq est un pays de 434 128 km², soit quatre fois plus grand que la Jordanie, mais 3,7 fois plus petit que l’Iran. L’Irak est bordé par la Turquie (779 452 km²) au nord, par l’Iran (1 648 000 km²) à l’est, par l’Arabie Saoudite (2 240 000 km²) et le Koweït (17 800 km²) au sud, par la Jordanie (92 000 km²) et la Syrie (185 180 km²) à l’ouest.
Le pays est traversé du nord au sud par deux fleuves, le Tigre à l’est et l’Euphrate à l’ouest, qui se rejoignent au sud pour former le Chatt-al-Arab débouchant sur le golfe Persique par un vaste delta. L’Irak ne possède que 20 kilomètres de façade maritime sur le Golfe. Le pays tire son nom de sa situation géographique: en effet, le mot arabe Iraq signifie «bord de l’eau».
Le drapeau de l’Irak est formé de fait de trois bandes horizontales rouge, blanche et noire, et reprend ainsi les couleurs panarabes, frappées de la devise en arabe Allah akbar («Allah est grand»). Le 22 janvier 2008, le Parlement irakien a adopté un drapeau national provisoire en supprimant les trois étoiles, lesquelles comprenaient la devise Wihda, Hurriyah, Ishtirrakiyah, c’est-à-dire «Unité, Liberté, Socialisme». C’est Saddam Hussein qui avait décidé de placer les mots Allah Akbar («Allah est grand)» entre les étoiles.
L’Islam est la religion dominante en Irak, avec plus de 95% de la population se considérant comme musulmane. La tradition islamique a une longue histoire dans ce pays, qui abrite les deux principales branches de l’islam : le chiisme et le sunnisme. Toutefois, la majorité des Irakiens sont des musulmans chiites.
Lieux saints en Iraq
L’islam chiite trouve ses racines en Irak, et la ville de Nadjaf est considérée comme l’une des cités les plus sacrées pour les chiites, attirant chaque année des millions de pèlerins. Le sunnisme est également fortement ancré dans la culture irakienne, notamment dans les régions de l’ouest et du nord. Mossoul en est l’un des centres principaux.
Nadjaf est une ville en Irak qui avait des habitants, même avant l’islam.
Maintenant, cette ville est importante pour le mausolée de l’Imam Ali (a) et pour la Hawza (centre des sciences islamiques-chiites) de Nadjaf. Aussi, à cause des Marja’ (des érudits chiites ou des références religieuses chiites) qui ont beaucoup d’influences sur la politique de l’Irak, Nadjaf est devenue de plus en plus importante.
Géographie
Nadjaf est située à environ 165 km au Sud-Ouest de Bagdad, de 77 km Karbala et de 10 km au Sud de Koufa. La ville historique Al-Hira qui avait une grande civilisation et qui est située à côté de Nadjaf, nous montre l’histoire de cette ville.
Le cimetière Wâdî as-Salâm est situé au Nord de Nadjaf, la mer qui a été séchée à l’Ouest et un désert qui s’étend jusqu’à la Syrie, la Péninsule Arabique et la Jordanie est situé à l’Ouest de cette ville.
Appellation
Il est cité deux raisons pour l’appellation de cette ville, sous le nom de Nadjaf :
Le mot Nadjaf, en arabe, signifie un endroit élevé qui a été entouré par l’eau. Le statut géographique de Nadjaf et son élévation fut la raison de sa nomination au nom de Nadjaf.
Au cours de Déluge, Nadjaf était l’endroit le plus élevé sur terre. Lorsque le fils de Noé (a) ne joignit pas son père et s’enfuit à une montagne. Nadjaf est la même montagne. Allah s’adressa à cette montagne en lui disant :
« Ô montagne, Mon serviteur s’est enfui de Moi et s’est réfugié auprès de toi ? » En entendant la parole de Dieu, la montagne fut réduite en miettes.
Avant l’islam
Étant voisin de la ville historique d’al-Hîra, qui était le lieu de la civilisation Lakhmid (Al Mundhir) au premier millénaire avant Jésus-Christ, Nadjaf était considérée comme une ville cultivée, civilisée et prospère. Les résidents arabes de la ville étaient chrétiens à cette époque. Ils ont construit de nombreuses églises, y compris « Mary Mart Church », qui a continué à exister à l’ère islamique.
Après l’islam
Aux premières années de l’islam, le nom de Nadjaf est cité dans les sources dans les récits de la conquête d’Iran et d’Irak.[4] Après ces conquêtes, le nom de cette n’est cité dans aucun rapport, jusqu’aux récits qui appartiennent à l’époque de Harun al-Rachid. Lorsque les gens découvrirent la tombe de l’Imam Ali (a) à Nadjaf, beaucoup de gens s’y rendirent et ce fut la raison de la reconstruction de Nadjaf.
Apparemment ce furent les Alaouites de Tabaristan (province de Mazandaran) qui construisirent pour la première fois, un mausolée sur la tombe de l’Imam Ali (a) à Nadjaf. Aussi, pour sécuriser la ville, ils bâtirent des murs autour de Nadjaf. A partir de ce moment-là, les rois Daylamites essayèrent beaucoup pour la reconstruction de Nadjaf.
En l’an 283 H, Abu al-Hayjâ’ Abd Allah b. Hamdân, l’émir chiite de Mossoul, reconstruisit les murs d’autour de Nadjaf et y mit des portes. Au septième et au huitième siècle de l’Hégire, les Ilkhanides et les Jalayirides dépensèrent beaucoup pour renouveler les bâtiments de Nadjaf et surtout ceux du mausolée de l’Imam Ali (a).
A la fin du huitième siècle de l’Hégire, Amîr Fîrûz et Amîr Ahmad Awwal, des émirs indiens, offrirent des cadeaux au mausolée de l’Imam Ali (a).
A l’époque des Séfévides, Ismail Ier et Tahmasp Ier, creusèrent des rivières et conduisirent une part de l’eau de l’Euphrate à Nadjaf. En même temps, Sultân Sulaymân Qânûnî, un des rois Ottomans qui voyait Ismail Ier comme son adversaire, fit beaucoup d’efforts pour le développement de Nadjaf.
A l’époque des Kadjars, Nizâm ad-Dawlat Isphahânî, le ministre de Fat’h Ali Shâh, construisit des murs autour de Nadjaf de 1217 H à 1257 H pour défendre Nadjaf devant toutes les attaques des Wahhâbîtes.
Le gouvernement de Nadjaf enleva ce mur en l’an 1350 H et construisit des écoles et des hôpitaux.
Dans la Hawza de Najaf, les grands savants chiites débordaient d’enthousiasme pour les études et l’enseignement, comme le grand Hazrat Imam lui-même éminent professeur durant treize années dans l’Ecole Sheikh Ansâri. Et dans cette ville réside à présent le grand Marja’ (Source d’imitation) des chiites, Ayatollah Ali Sistani.
Karbala est une ville sainte chiite située en Irak actuel. Cette ville historique est un des lieux les plus importants parmi les chiites, parce que le troisième Imam des chiites, al-Husayn b. Ali (a) et ses compagnons y sont enterrés.
Cette ville est également le lieu historique de grande importance où a eu lieu la bataille célèbre et tragique de Karbala entre l’Imam al-Husayn et ces compagnons et l’armée Omeyyade du calife Yazid, en l’an 61 H. / 680 a. c. Karbala est l’un des lieux saints qui attirent le plus les fidèles attachés à l’imam Al Hussein (S).
Présantation
La ville sainte de Karbala
Karbala est l’une des villes de la ziyâra et bénies des chiites en Irak. La ville de Karbala à 100 km du sud-ouest de Bagdad, est située dans une région nommée de même nom : La région de Karbala. Cette région est limitée à la région d’al-Anbâr au nord, la région de Nadjaf au sud, la région de Bâbil (Babylone) à l’est ; Damas et l’Arabie Saoudite sont situés à l’ouest de cette région.
Karbala est placé au bord du désert et au sud-ouest de l’Euphrate sur un plateau nommé « Suwâd ».
Le martyre de l’Imam al-Husayn (a) et de ses compagnons, l’existence des mausolées de l’Imam al-Husayn (a) et d’Abbas (a), ainsi que d’autres lieux historiques et religieux importants, ont fait de cette ville l’un des plus a visité des villes chiites, en particulier pendant les périodes de deuil de Muharram et d’Arba’în de l’Imam al-Husayn (a)
Après la chute de l’empire ottoman en 1914 C et après la chute de Saddam et du régime baath en 2003 C, Karbala s’est retrouvée dans une position très particulière du point de vue de la politique irakienne. La fatwâ du djihad par l’ayatollah Muhammad Taqi Shirazi contre les Britanniques et ses dirigeants lors des soulèvements populaires de 1920 en Irak pour protester contre la présence continue des Britanniques dans leur pays est un indicateur clair du rôle politique que Karbala a joué dans l’histoire irakienne contemporaine
Après la chute de Saddam, les positions du marja’iyya iraquien chiite étaient à l’avant-plan des changements politiques et sociaux en cours en Irak et dans le monde musulman en général. Ces positions ont été annoncées lors de la prière du vendredi. L’annonce de la fatwa du jihad de l’ayatollah Sayyid Ali as-Sistani contre Dâ’ish dans les sermons des prières du vendredi de Karbala en est un autre exemple
Selon le recensement de 2015 C, la population de Karbala est d’environ 700 000 personnesAu cours de l’histoire, la ville a été appelée par d’autres noms tels que al-Ghâzirîyya, Naynawa, at-Taff, al-‘Aqar, al-Hâ’ir et an-Nawâwîs
La ville sainte de Samarra
Samarra fait partie des villes d’Irak. Elle se situe entre Bagdad et Tikrit et est le centre de la province Salah ad-Din.
En l’an 221 H, elle fut le centre du califat d’Al-Mu’tasim al-‘abbâsî. Cette ville est connue grâce au mausolée de deux imams, l’Imam al-Hâdî (a) et l’Imam al-Hasan al-‘Askarî (a) , surnommé Sanctuaire Al-‘Askarîyayn. D’après les sources chiites, c’est la ville où l’Imam al-Mahdi (a) fut né.
Raison de l’appellation de Samarra
On dit que cette ville fut construite par Shapour II, l’empereur sassanide.
D’après Yâqût Al-Hamawî, Sem fils du prophète Noé (a) la construisit et son nom provient du nom perse : « Sam Rah (le chemin de Sem) ».[1]
Il y a autres hypothèses étymologiques concernant ce mot. Certains croient que ce mot vient de « Châm Râh (le chemin de Cham, Syrie) » et d’autres croient qu’il dérive du terme romain « Soumarra ».[2]
Cette ville a également d’autres noms, beaucoup moins connus, comme : Sâmrah, Sâmiri, Surrâ man ra’âh, Surûru man ra’â, ‘Askar et Tîrhân.[3]
Géographie
Samarra se situe sur la rive du Tigre. Située à 124 KM de Bagdad, elle est la capitale de la province Salah ad-Din. Cette ville est à l’ouest de Kirkouk, au sud de Ninive, à l’est d’Al-Anbar et au nord de Bagdad.
Histoire
En l’an 221 H, et pendant le règne de Mu’tasim al-‘Abbâsî, fils d’Harûn ar-Rashîd, la capitale de l’Irak fut remplacée par Samarra et y resta jusqu’en 276 H afin d’y installer les soldats turcs recrutés par Mu’tasim. Car à Bagdad il n’y avait pas assez de contenance et que cela dérangeait les gens de vivre à côté des soldats.
A ce moment-là, Samarra devint la nouvelle capitale du monde musulman et on y construisit des palais, des mosquées, des centres commerciaux et des parcs. Samarra garde son statut de centre urbain le plus important jusqu’au règne d’Al-Mu’tamid al-‘Abâssî.[4]
Présence de deux Imams à Samarra
En l’an 233 H, Al-Mutawakkil fut informé que les gens de Médine font beaucoup d’aller-retour chez l’Imam al-Hâdî (a) (as). résida 20 ans et 9 mois, avant d’être empoisonné sous le règne de Mu’tazz al-‘Abbâsî. Il fut enterré dans cette ville.[5]
A l’âge d’un ans, l’Imam al-Hasan Al-‘Askârî (a) aussi fut amené à Samarra avec son père, l’Imam al-Hâdî (a) et y resta durant toute sa vie.[6] Le premier jour du mois de Rabî’ al-Awwal en l’an 260 H, l’Imam Al-Askâri (a) tomba malade et le huitième jour du mois même, âgé de 28 ans, il décéda. Il fut enterré dans la maison où son père avait été enterré.[7]
Tabrisî (sixième siècle) a dit :
« La majorité des savants chiites croient que l’Imam Al-Askâri (a) fut empoisonné ».[8]
Hawza Al-‘Îlmiyya (centre des sciences religieuses) de Samarra
Pendant des siècles, Samarra était une ville sunnite. En l’an 1290 H, l’ayatollah Sayyid Muhammad Hasan Shîrâzî, connu sous le nom : Mîrzâ ash-Shîrâzi, un des grands jurisconsultes (Marja’) chiites, a déménagé à Samarra afin d’y installer une Hawza chiite et d’y faire venir les chiites. Sa célèbre Fatwa (opinion juridique) concernant l’interdiction de tabac a été exposée lors de sa présence à Samarra. Parmi ses disciples on peut compter des savants renommés comme : Sayyid Hasan as-Sadr, Sayyid Muhsen al-Amîn, Muhammad Jawâd al-Balaghî et Âghâ Buzurg at-Tihrânî.
Après le décès de Mîrzâ ash-Shîrâzî, les chiites ont quitté au fur et à mesure Samarra et se ont installés à Karbala et à Nadjaf. Après quelques années, cette ville est devenue à nouveau, une ville sunnite.
Lieux saints à Samarra
Sanctuaire Al-Askari
Le lieu où l’Imam al-Hâdî (a) et l’Imam al-Hasan al-‘Askarî (a) furent enterrés. C’est l’endroit le plus important à Samarra.
Destruction du Sanctuaire Al-Askari
Ce mausolée a été détruit deux fois par les terroristes. La première a eu lieu le 23 Muharram, 1427 H. Les terroristes l’ont fait par 200 Kg de TNT et la deuxième a eu lieu le 27 Jumâdâ al-Ûlâ 1428 H.
Sardâb Al-Muqaddâss (la galerie sacrée)
Article connexe : Galerie sacrée.
Nommé aussi Sardâb Al-Ghayba (la galerie souterraine où l’Imam Mahdi (a) fut occulté), était le sous-sol de la maison de l’Imam al-Hasan al-‘Askari (a) et se situe aujourd’hui au coin nord-ouest du Sanctuaire Al-Askari à Samarra. On dit que c’était l’endroit où l’Imam al-Hâdî (a) et l’Imam al-Hasan al-‘Askarî (a) habitaient et effectuaient leurs prières durant la chaleur de l’été.
Saints enterrés à Samarra
L’Imam Al-Hâdî (a)
Imam al-Hasan al-‘Askarî (a)
Sayyida Narjis, l’épouse de l’Imam al-Hasan al-‘Askarî (a) et la mère de l’Imam Mahdi (a) (décédée en 260 H). Sa tombe se situe derrière les tombes des deux Imams.
Hakîma Khatûn, la fille de l’Imam al-Jawâd (a) et la tante de l’Imam Al-‘Askari (a) qui fut enterrée près des tombes de deux Imams.
Husayn, fils de l’Imam al-Hâdî (a)
Samana, ou Samana Al-Maghribîyya, surnommé: Umm Al-Fadhl, la mère de l’Imam al-Hâdî (a) qui fut enterrée à côté de son fils.
Sûsan, mère de l’Imam Al-Askâri
Ibrâhîm Al-Ashtar, fils de Mâlik al-Ashtar, enterré à Doujayl, près de Samarra.
Abû Hashim Ja’farî, un narrateur chiite.
Ibn Sikkît, un compagnon de l’Imam Al-Hâdî (a)
Najâshî, un érudit dans la sceience d’Ar-Rijâl (la science de renseignements des narrateurs de hadith)
Âghâ Ridâ Hamidânîi, un grand savant du treizième siècle
Zayd b. Mûsâ b. Ja’far, connu sous le nom Zayd an-Nâr
Muhammad b. Ali Al-Hâdî, sa tombe se situe à 45 KM de Samarra.
Notes:
1-Mu’jam Al-Buldân, v 3 p 172 et 173
2-Al-Rahla, v 1 p 147
3-Mu’jam Al-Buldân, v 3 p 172 et 173
4-Ma’thâr Al-Koubarâ fi Tarikh Samarra, v 1 p 31
5-Tarikh Bagdad, Khatib Bagdadi, v 12 p 56
6-Hayat Fikri Sîyâsî Imâmân shî’a, Ja’farîyya, p 335
7-Al-Irshâd, Cheikh Al-Mufîd, p 510
8-A’lâm Al-Warâ bi A’lâm Al-Hudâ, Tabrisî, v 2 p 131 et 132