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Cinq positions à l’époque du Prophète (s)
La clé de la maison de Dieu
A l’époque du Prophète de l’Islam (s), Uthman b. Abi Talha b. Abd al-‘Uzzâ b. Uthman b. Abd ad-Dâr eut la clé de la maison de La Mecque. Après la conquête de La Mecque, le Prophète (s) lui rendit la clé. Quand Uthman voulut émigrer à Médine, il donna la clé à son cousin (Shayba).
Position d’al-Liwâ’
La position d’al-Liwâ’ fut parmi les descendants d’Abd ad-Dâr. Après la conquête de La Mecque, ils rencontrèrent le Prophète (s) et lui demandèrent de garder cette position parmi eux.
Le Prophète (s) répondit : L’Islam est plus large que cela. C’est-à-dire que l’Islam est plus large pour que son drapeau de victoire appartienne à une seule famille. Après cela, la position d’al-Liwâ’ fut annulée.[1]
Dâr an-Nadwa
Dar an-Nadwa fut établie jusqu’à l’époque de Muawiya ibn Abi Sufyan. Lorsqu’il atteignit le pouvoir, il acheta cette maison aux descendants d’Abd ad-Dâr et construisit un palais.
Positions d’ar-Rifâdat et d’as-Siqâyat
Les positions d’ar-Rifâdat et d’as-Siqâyat furent transmises de Hachem à son frère al-Muttalib et de lui à Abd al-Muttalib b. Hachem (le grand-père du Prophète Muhammad (s)) et de ce dernier à son fils Abu Talib.[2]
Abu Talib fut financièrement faible. Il emprunta de l’argent à son frère al-Abbas pour s’occuper des affaires d’ar-Rifâdat (donner la nourriture aux pèlerins). Mais il ne put pas rembourser sa dette, alors il donna la position d’as-Siqâyat et d’ar-Rifâdat à al-Abbas en échange de cette dette.
Après al-Abbas, ces deux positions furent transférées à son fils Abd Allah, et de lui à son fils Ali, ainsi qu’aux derniers califes Abbassides de génération en génération.
Position élevés de Hachem
Au moment où la grandeur et la majesté de Hachem devinrent célèbres, les rois et les nobles lui envoyèrent des cadeaux et supplièrent d’épouser leur fille, pour que peut être la lumière de la prophétie du Prophète de l’islam (s) qui fut dans son front, soit transmise à leurs descendants. Mais Hachem n’accepta pas.
Mariage de Hachem
Une nuit, il se tourna autour de la Kaaba en suppliant le Tout-Puissant de lui donner un enfant qui serait porteur de cette pure lumière de la prophétie de Mohamed (s).
Ainsi, dans un rêve, il reçut l’ordre d’épouser Salmâ, la fille de ‘Amr b. Zayd b. Labid de la tribu de Bani an-Najjâr, qui vivait à Médine.
Hachem partit pour le Levant et se rendit en chemin à la maison de ‘Amr à Médine. Il se maria avec Salmâ. ‘Amr fit un pacte avec Hachem selon lequel si Salmâ tombera enceinte, il devait retourner à Médine et personne ne devrait la ramener à La Mecque. Hachem accepta le pacte.
Décès de Hachem et la lumière de la prophétie
À son retour de Levant, il amena Salmâ à La Mecque. Quand ce dernier tomba enceinte (son fils Abd al-Muttalib), selon la promesse qu’il avait fait, il la retourna à Médine, pour l’accouchement.
Hachem partit pour le Levant et décéda dans la Région de Gazza (une région sur la route de Médine au Levant, à trois kilomètres de la région de ‘Asqalân).
Abd al-Muttalib, le grand-père du Prophète Muhammad (s)
Abd al-Muttalib fut le 2e ancêtre, et le grand-père du Prophète Muhammad (s).
Naissance de Abd al-Muttalib
Après le décès de Hachem, Salmâ donna naissance à son fils Abd al-Muttalib (le grand-père du Prophète Muhammad (s) ). Son nom fut ‘Âmir. À cause de ses cheveux blancs, il fut aussi connu sous le nom de Shayba.
En raison de ses bonnes qualités morales, il fut connu sous le surnom de Shayb al-Hamd (Shayb loué).
À cette époque, son oncle al-Muttalib fut le chef de la tribu, et eut la clé de la Kaaba, l’arc d’Ismaël, le statut scientifique de Nizâr et les positions d’ar-Rifâdat et d’as-Siqâyat.
Un jour, al-Muttalib vint à Médine et amena son neveu (Shayb) à La Mecque. Quand les Qurayshites le virent, ils pensèrent qu’al-Muttalib acheta un esclave et l’amena de Médine. Pour cette raison, ils appelèrent Shayba comme Abd al-Muttalib (l’esclave d’al-Muttalib). À partir de ce moment-là, il fut connu sous ce titre.
Dès lors, al-Muttalib emmena Abd al-Muttalib chez lui, le couvrit de bons vêtements et l’éleva.
Après un certain temps, Abd al-Muttalib atteignit un statut élevé parmi les Bani Abd al-Manâf et ses attributs moraux furent apparus au peuple.
Après le décès d’al-Muttalib, des positions ar-Rifâdat et as-Siqâyat lui furent transmises.
Abd al-Muttalib atteignit un statut si élevé que les gens des villes proches et lointaines lui envoyèrent des cadeaux. Si quelqu’un voulait être en sécurité, il se réfugiait auprès de lui.
Premier enfant d’Abd al-Muttalib
Le premier enfant d’Abd al-Muttalib fut al-Hârith. Pour cette raison, il fut connu sous le titre d’Abu al-Hârith. Lorsqu’al-Hârith atteignit sa maturité, Abd al-Muttalib fut chargé (en rêve) de creuser le puits de Zamzam.
Puits de Zamzam
À l’époque de Qusayy, ‘Amr b. al-Hârith al-Jurhumî fut le chef de la tribu d’al-Jurhum à La Mecque. Il combattit avec Hulayl b. Habsîyya de la tribu al-Khuzâ’a qui a conduit à sa défaite. Pour cette raison, il dut quitter La Mecque.
Avant de quitter La Mecque, ‘Amr, qui fut très triste, sépara la Pierre Noire de la maison de la Kaaba, prit les deux agneaux d’or qu’Esfandiar b. Goshtasb envoya à La Mecque comme cadeau, ainsi que des armures et des épées qui furent les objets de la maison de La Mecque et les jeta dans le puits Zamzam. Il le remplit du sol, prit son peuple et s’enfuit au Yémen.
À l’époque de Abd al-Muttalib, lui et son fils al-Hârith creusèrent le puits Zamzam et sortirent les objets mentionnés du puits.
Les Quraychites lui dirent : ces choses appartiennent à nos ancêtres, vous devriez donc nous en donner la moitié.
Abd al-Muttalib leur répondit : Si vous voulez, j’utiliserai la loterie pour cela. Ils acceptèrent cette décision.
Abd al-Muttalib divisa les objets en deux parties, puis tira la loterie entre lui-même, les Quraychites et la Ka’ba.
Selon la loterie, la Kaaba devint le propriétaire des agneaux d’or. Abd al-Muttalib obtint l’épée et l’armure, mais les Quraychites ne gagnèrent rien.
Abd al-Muttalib vendit l’armure et l’épée et avec leur argent, acheta une porte pour la Kaaba. Il suspendit les agneaux d’or à la porte de la Kaaba.
Il est rapporté qu’Abu Lahab les vola et vendit. Il utilisa leur argent pour acheter de l’alcool et des jeux d’argent.
Conflit sur le puits Zamzam
Ibn Abi al-Hadîd et certains d’autres racontèrent, lorsque Abd al-Muttalib creusa le puits Zamzam et l’eau en coula, certains Quraychites devinrent jaloux et dirent :
Ô Abd al-Muttalib ! Ce puits appartient à notre ancêtre Ismaël (a) et nous en avons une part. Partagez-le avec nous.
Abd al-Muttalib dit : Cela était une faveur de Dieu pour moi et vous n’en avez aucun droit.
Après beaucoup de controverses, ils acceptèrent d’aller voir une prêtresse, qui fut dans la tribu de Bani Sa’d et qui vécut autour du Levant, pour juger. Abd al-Muttalib avec un groupe des fils de Abd al-Manâf se déplacèrent au Levant, ainsi qu’un certain nombre de chacune des tribus Qurayshites.
Au milieu de la route, dans un désert où il n’y eut pas d’eau, les fils d’Abd al-Manâf manquèrent d’eau, mais les autres Quraychites qui eurent de l’eau, n’en leur donnèrent pas.
Quand la soif les vainquit, Abd al-Muttalib dit :
« Nous devons nous préparer les tombes, pour que chacun de nous qui meurt, les autres l’enterrent. Dans ce cas, seule la dernière personne décédée ne sera pas enterrée. Si l’un de nous n’est pas enterré dans ce désert, il vaut mieux que nous restions tous comme ça ».
Lorsqu’ils creusèrent les tombes et attendirent la mort, Abd al-Muttalib déclara :
« S’asseoir ainsi et ne pas essayer et se désespérer de la miséricorde divine sont dues à l’incertitude au sujet de Dieu. Levez-vous et demandez de l’eau à Dieu, peut-être que Dieu nous accorde de l’eau. »
Alors ils chargèrent les chameaux. Quand Abd al-Muttalib monta sur son chameau, il vit une source d’eau claire et fraîche qui coula sous les pieds de son chameau.
À ce moment-là Abd al-Muttalib cria : Allahu Akbar !
Lorsque ses compagnons virent cette scène, ils dirent également at-Takbîr. Ils burent de l’eau et remplirent leurs mousquets d’eau. Ils appelèrent les Quraychites de venir voir ce qui s’est passé.
Quand les Qurayshites virent cette grande dignité de Abd al-Muttalib, ils dirent :
« Dieu juge entre nous et vous. Nous n’avons plus besoin de la décision de cette prêtresse. Nous ne discuterons plus avec vous à propos de Zamzam. Dieu qui vous a donné de l’eau dans ce désert, vous a donné le puits de Zamzam ».[3]
Ils revinrent à La Mecque et donnèrent le droit de Zamzam à Abd al-Muttalib.
Position élevée de Abd al-Muttalib
Après le creusage de Zamzam et ces événements, le grand-père du Prophète Muhammad (s) atteignit une position élevée. Il fut connu sous les titres suivants :
Sayyid al-Bathâ’ : Le chef de La Mecque et son autour
Sâqi al-Hajjîj : Celui qui donne de l’eau aux pèlerins de la maison de Dieu
Hâfir az-Zamzam : Quelqu’un qui creusa le puits de Zamzam
Le peuple se réfugiait auprès de lui dans toutes les calamités. Dieu leur enlevait le châtiment grâce à lui.
Enfants de Abd al-Muttalib
Abd al-Muttalib eut 10 fils et 6 filles. Abd Allah fut le fils bien-aimé de lui. La mère de Abd Allah, Abu Talib et Zubayr fut Fatima bt. ‘Amr b. ‘Âyidh b. Abd b. ‘Imrân b. Makhzûm.
Abd Allah, père du Prophète Muhammad (s)
Naissance de Abd Allah
Lors de la naissance de Abd Allah, de nombreux savants juifs, prêtres chrétiens, moines et sorciers surent que le père du dernier Prophète Muhammad (s), est né. C’est pour cette raison qu’un groupe de prophètes (a) des enfants d’Israël annoncent la bonne nouvelle de la prophétie du dernier Messager de Dieu (s).
Un groupe des Juifs qui vécut au Levant, eut un vêtement ensanglanté du prophète Yahyâ (a). Les savants Juifs dirent que lorsque le sang de ce vêtement sera renouvelé, le père du dernier prophète naîtra.
La nuit de la naissance de Abd Allah, le père du Prophète Muhammad (s), le sang de ce vêtement blanc devint frais.
Après la naissance de Abd Allah, la lumière du Prophète de l’Islam (s) qui lui fut transmise, brilla dans son front.
Quelques années plus tard, il remarqua des signes étranges. Un jour, il dit à son père :
« Chaque fois que je vais à la région de Bat’ha’ et que je monte la montagne de Thabir, une lumière a émis par derrière moi divisant en deux moitiés, l’une à l’est et l’autre à l’ouest. Ces deux sont ensuite reliées l’une à l’autre et ont formées un cercle, puis, elles ont lancé une ombre sur moi comme un morceau de nuage ».
Ou « Chaque fois que je m’assois à l’ombre d’un arbre sec, cet arbre devient vert, et quand je passe, il se dessèche à nouveau. Parfois, lorsque je m’assieds par terre, j’entends un appel qui dit : ô porteur de la lumière de Muhammad (s), paix sur toi ! ».
Abd al-Muttalib dit : « mon fils, bonne nouvelle pour toi, j’espère que le Prophète de la fin des temps (s) sera parmi tes enfants ».
Jeunesse et le mariage de Abd Allah
Al-‘Allâma al-Majlisî rapporta : lorsque Abd Allah atteignit l’âge de la jeunesse, la lumière de la prophétie brillait sur son front. Les anciens et les nobles des tribus et des villes environnantes souhaitèrent qu’il soit leur gendre afin que la lumière de la prophétie soit dans leur génération.
Abd Allah fut célèbre par sa bonne moralité et sa beauté. Si quelqu’un passait près de lui dans la journée, il sentait son parfum. S’il passa dans la nuit, la lumière de son visage éclaira les environs, c’est pourquoi les habitants de La Mecque l’appelèrent (Misbâh al-Haram = La lumière de Haram).
Mariage de Abd Allah
Abd Allah épousa Âmina, la fille de Wahb b. Abd al-Manâf b. Zuhra b. al-Kalab b. Murra.
Les terres arabes souffraient de la famine depuis plusieurs années. Quand Âmina tomba enceinte, il commença à pleuvoir. Les bénédictions de Dieu augmentèrent tellement que cette année fut connue sous le nom de (Sanat al-Fat’h = Année de la victoire).
Décès de Abd Allah
La même année où Âmina, la mère du Prophète Muhammad (s), tomba enceinte, Abd al-Muttalib envoya Abd Allah en Syrie pour le commerce.
A son retour, ce dernier tomba malade dès son arrivée à Médine. Ses compagnons le quittèrent et se rendirent à La Mecque. Abd Allah décéda de la maladie et son corps fut enterré à Dar an-Nâbiga.
Informé de la maladie de son fils, Abd al-Muttalib envoya al-Hârith, le frère aîné de Abd Allah, à Médine pour l’amener à La Mecque. Mais il arriva à Médine quand Abd Allah fut décédé.
Lors du décès de Abd Allah, Âmina fut enceinte. Selon certains récits, deux ou sept mois s’écoulèrent depuis sa grossesse.
La durée de la vie du père du Prophète Muhammad (s) fut mentionnée comme étant de vingt-cinq ans.[4]
Il est rapporté qu’une nuit, le Saint Prophète Muhammad (s) se rendit à la tombe de son père Abd Allah, fit une prière en deux rak’ats et l’appela.
Soudain, la tombe s’ouvrit et Abd Allah lui répondit : « Ashhadu An Lâ Ilâha Illa Allahu Wa Annaka Nabîyyu Allahi Wa Rasuluhû = J’atteste qu’il n’y a de dieu qu’Allah et que tu es le Prophète de Dieu et Son Messager. »
Le Prophète (s) demanda à son père : « Qui est ton Walî, ô père ?
Il répondit : « Qui est Walî, mon fils ? »
Le Prophète (s) dit : « Maintenant, Ali est ton Walî ».
Son père dit : « J’atteste que Ali est mon Walî ».
Alors le Prophète Muhammad (s) lui demanda de retourner au jardin où il était.
Puis, il vint sur la tombe de sa mère et répéta la même chose.
Al-‘Allâma al-Majlisî dit que l’on comprend de ce hadith que les parents du Prophète de l’islam (s) crurent à ash-Shahâdatayn. Cet événement se produisit afin que leur foi soit achevée en reconnaissant l’Imamat de Ali ibn Abi Talib (a).[5]
La suite bientôt InchaAllah …
Notes:
1- Ibn as-Sa’d at-Tabaqât al-Kubrâ, vol 1, p 77
2- Al-Balâdhurî, Ansâb al-Ashrâf, vol 1, p 62
3- Ibn Abi al-Hadid, Sharh Nahj al-Balâgha, vol 15; p 228-229
4- Al-’Allâma al-Majlisî, Bihâr al-Anwâr, vol 15, p 125
5- Al-’Allâma al-Majlisî, Bihâr al-Anwâr, vol 15, p 109