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Supposons que le propriétaire d’une usine emploie des travailleurs spécialisés et d’autres non spécialisés afin de faire fonctionner son usine. A la fin du mois et la paie des salaires, le propriétaire paie les travailleurs spécialisés et qualifiés plus que les autres.
Cette différence est- elle justifiée ou non? Le propriétaire de l’usine agit- il équitablement ou non?
Il y a sans aucun doute une différence dans ce cas mais nous ne pouvons pas l’appeler discrimination, la justice n’exige pas du propriétaire de payer aux ouvriers non qualifiés un salaire égal à celui des ouvriers qualifiés. Mais il doit plutôt donner à chaque catégorie ce qu’elle mérite. Une telle règle déterminera clairement la valeur comparative de chaque métier et contribuera au bien – être dans le travail.
Faire des distinctions dans de tels cas, est une forme de justice pratique et éloquente, c’est le contraire qui serait injuste. Il serait le résultat d’une appréciation insuffisante de la valeur relative des choses dans leur différenciation.
Lorsque nous observons le monde comme entité globale et que nous analysons ses nombreuses parties, nous voyons que chaque partie a sa propre position et fonction et qu’elle est dotée des qualités qui lui conviennent.
A la lumière de cette constatation, nous comprenons la nécessité des vicissitudes de la vie humaine faite de lumière et d’obscurité, de succès et d’échec afin de maintenir l’équilibre général du monde.
Si le monde était uniforme, sans variation ou différence, les espèces variées et multiples de l’être n’auraient pas existé. C’est précisément dans cette variété et cette abondante multiplicité que nous voyons toute la splendeur et la magnificence du monde. Notre jugement des choses serait logique, correct et acceptable si nous prenons en considération l’équilibre prévalant dans l’univers et les relations réciproques qui relient ses nombreuses parties; ce jugement serait faux si nous examinons la partie isolée de l’ensemble.
L’ordre de création est basé sur l’équilibre, et sur les réceptivités et les capacités. Ce qui est fermement établi dans la création c’est la différenciation et non la discrimination. Cette observation nous donne la possibilité d’examiner le sujet plus objectivement et plus spécifiquement. La discrimination signifie faire une différence entre des objets existant sous les mêmes circonstances et ayant la même réceptivité. La différenciation veut dire différencier entre des capacités inégales et qui ne sont pas soumises aux mêmes circonstances.
Il serait faux de dire qu’il serait mieux pour chaque chose dans le monde d’être uniforme et indifférenciée, car tout le mouvement, l’activité et les échanges animés que nous observons dans le monde ne sont rendus possibles que par la différenciation.
L’homme a plusieurs façons de percevoir et d’éprouver la beauté, vu le contraste existant entre la laideur et la beauté. L’attraction exercée par la beauté est dans un sens la réflexion de la laideur et de son pouvoir de répulsion. De la même façon, si l’homme n’avait pas été mis à l’épreuve dans la vie, la piété et la vertu n’auraient aucune valeur, il n’y aurait aucune raison de raffiner son âme et aucune chose pour nous retenir de nos envies.
Si une toile est peinte de façon uniforme, nous ne pouvons pas dire que c’est une image; c’est la variation de la couleur et du détail qui exposent le talent de l’artiste. Afin que l’identité d’une chose soit connue, il est essentiel qu’elle soit différenciée des autres choses, car la mesure par laquelle les personnes et choses sont distinguées est la différence externe et interne qu’elles ont les unes des autres.
L’une des merveilles de la création est la variation dans les capacités et dons, dont les êtres sont dotés. Afin d’assurer la continuation de la vie sociale, la création a donné à chaque individu un ensemble particulier de goûts et de capacités, dont les réactions réciproques assurent les besoins de la société et contribuent à résoudre quelques problèmes. La différence naturelle des individus dans leurs capacités, les oblige à avoir besoin l’un de l’autre. Chaque personne s’adonne aux tâches dans la société selon son propre goût et capacité, et ainsi la vie sociale assurée de cette façon, donne la possibilité à l’homme d’avancer et de faire des progrès.
Prenons par exemple un bâtiment ou un avion. Chacun d’eux possède plusieurs parties séparées, des éléments complexes et détaillés qui diffèrent beaucoup en forme et en dimension; cette différence découle de la responsabilité de chaque élément par rapport à l’ensemble.
S’il n’y avait pas de différence dans la structure de l’avion, il ne serait plus un avion mais un composé de métaux assortis. Si la différenciation est un signe de justice dans l’avion, elle doit être aussi une indication de la justice divine parmi toutes les créatures du monde y compris l’homme.
En plus de cela, nous devons être conscients du fait que la différenciation entre les êtres est innée en leur essence. Dieu n’a pas créé chaque chose avec l’exercice discret et séparé de sa volonté. Sa volonté ne s’exerce pas individuellement. Le monde entier du début à la fin est venu à l’existence avec un simple exercice de sa volonté; c’est cela qui a permis aux créatures dans leur multiplicité illimitée de venir à l’existence.
Il y a ensuite une loi et un ordre spécifiques qui règlent toutes les dimensions de la création. Dans le cadre de la causalité, ils attribuent une position particulière à chaque chose. La volonté de Dieu de créer et de régulariser le monde est équivalente à son désir d’ordre dans ce monde.
Il y a des preuves philosophiques précises soutenant cette proposition, et elle est aussi exprimée dans le saint Coran:
“Nous avons créé toute chose avec mesure; et
notre acte est immédiat comme un clin d’œil”
Coran, sourate 54, verset 49 et 50
Il serait faux d’imaginer que la différenciation et les relations établies par Dieu dans sa création sont les mêmes que celles des relations conventionnelles existant dans la société humaine. La relation de Dieu avec ses créatures n’est pas une simple convention ou une affaire de perception. C’est une liaison découlant de l’acte de création même. Ainsi, l’ordre par lequel il a classé toutes les choses est le résultat de sa création. Chaque être reçoit de Dieu le degré de perfection et de beauté qu’il est capable de recevoir.
S’il n’y avait pas un ordre particulier régissant le monde, toute existence pourrait, dans le cours de ses mouvements, donner naissance à une autre existence, et la cause et l’effet pourront changer de place. Mais il reste bien entendu que les relations réciproques essentielles entre les choses sont nécessaires et fixes. La position et la propriété accordées à une chose, adhère inséparablement à celle – ci, et ce, quel que soit le rang et le degré d’existence qu’elle pourrait avoir. Aucun phénomène ne peut aller au – delà du seuil qui lui a été fixé, ni occuper le degré d’une autre existence. La différenciation est un concomitant des degrés de l’être, leur attribuant des parts différentes de faiblesse et de force, de défaut ou de perfection.
Seul dans le cas où deux phénomènes ont la même capacité pour recevoir la perfection, et que l’un en est effectivement doté alors qu’elle est refusée à l’autre, on pourrait parler de discrimination.
Les degrés de l’être qui existent dans l’ordre de la création ne peuvent être comparés avec la hiérarchie conventionnelle de la société humaine. Ils sont réels et non conventionnels, et non transférables. Par exemple, les hommes et les animaux ne peuvent changer de place entre eux comme les individus peuvent changer les positions qu’ils occupent dans la société.
La relation liant chaque chose à ses effets, et chaque effet avec sa cause se déduit des essences mêmes de la cause et de l’effet respectivement. Si quelque chose est une cause, il en est ainsi parce qu’elle porte en elle une qualité qui est inséparable d’elle, et si quelque chose est un effet, c’est à cause d’une qualité inhérente en elle, et qui n’est rien d’autre que le mode de son être.
Il y a ensuite un ordre profond et essentiel qui lie tous les phénomènes, et le degré de chaque phénomène dans l’ordre est identique avec son essence. Dans la mesure où la différenciation se rapporte à une déficience dans l’essence, ce n’est pas de la discrimination, car l’effusion de la bonté divine n’est pas suffisante pour qu’une réalité vienne à naître. La réceptivité de l’être destinée à recevoir sa bonté est aussi nécessaire. C’est pour cette raison que certaines personnes souffrent de privation et n’atteignent pas de plus hauts degrés; Il est impossible pour une chose d’acquérir la capacité d’être ou d’acquérir une quelconque perfection sans que Dieu ne le permette.
Le cas des nombres est exactement similaire; chaque nombre a sa propre place fixée.
Le Deux (02) vient après le un (01) et ne peut changer de place avec lui. Si nous changeons la place d’un nombre, nous aurons changé son essence en même temps.
Il est clair que tous les phénomènes possèdent des rangs, et des modalités fixées qui sont subordonnées à une série de lois fermes et immuables. La loi divine ne forme bien sûr pas une entité créée séparément, mais un concept abstrait déduit de la manière dont les choses sont appelées à exister. Ce qui a une existence extérieure consiste en niveaux et degrés de l’être d’un côté et en système de cause et effet de l’autre côté. Aucune chose ne peut avoir lieu en dehors de ce système qui n’est que la règle divine mentionnée dans le Coran:
“Vous ne trouverez aucun changement dans les normes divines”.
Coran, sourate 35, verset 43
L’ordre de la création repose sur une série de lois naturelles inhérentes en son essence. La place de chaque phénomène dans cet ordre est clairement définie, et l’existence de plusieurs niveaux et degrés d’existence est une conséquence nécessaire de la nature systématique de la création, qui inévitablement donne naissance à la diversité et la différenciation.
Le changement et la différenciation n’ont eux-mêmes pas été créés. Ce sont des qualités inséparables de tout phénomène. Chaque particule dans l’univers a reçu tout ce qu’elle a comme capacité de recevoir; aucune injustice ou discrimination n’a été mise en elle, et la perfection de l’univers ressemblant à une table de multiplication dans son ordre précis et immuable a été par conséquent assuré.
Les matérialistes qui considèrent l’existence de la variation et de différenciation dans l’ordre naturel, comme étant une preuve d’oppression et d’injustice et s’imaginent que le monde n’est pas régi par la justice, trouveront inévitablement la vie difficile, déplaisante et ennuyeuse.
Le jugement précipité du matérialiste confronté à la souffrance et aux difficultés, est semblable au verdict d’un enfant observant le jardinier taillant les rameaux sains et verts d’un arbre au printemps. Inconscient du but et de la signification de cette taille, l’enfant pensera que le jardinier est un destructeur et une personne ignorante.
Si toutes les bontés du monde étaient mises à la disposition du matérialiste, il ne serait jamais” satisfait. Car une fois que le monde semble sans but et dominé par l’injustice, il est insensé pour l’homme de demander la justice; et dans un monde manquant de but, il est absurde à l’homme de s’en faire un, lui – même.
Si l’origine et le destin de l’homme étaient comme le décrivent les matérialistes, telle une herbe qui pousse puis disparaît brusquement, alors l’homme serait le plus misérable de toutes les créatures, car il vivrait dans un monde avec lequel il manquerait d’affinité, de compatibilité et d’harmonie. Les pensées, sentiments et émotions provoquent en lui l’angoisse, n’étant rien qu’une farce cruelle que la nature lui impose pour augmenter sa misère et son malheur et accroître ses souffrances. Si un homme d’initiative et de génie devait se dévouer au service de l’humanité, quel profit tirerait- il de tout cela?
Les commémorations posthumes et les cérémonies à son honneur sur sa tombe, ne lui seront d’aucun profit; elles ne serviront qu’à maintenir une légende creuse, du fait que la personne en question ne serait rien qu’une forme assemblée par la nature pour sa distraction comme un jouet durant quelques jours avant de se transformer en une poignée de poussière. Si nous observons le sort de la majorité des peuples qui sont constamment en lutte avec les différents types de souffrance, de privation et d’angoisse, le tableau est de plus en plus morne. Avec une telle vision de la vie humaine, le seul paradis que le matérialisme peut offrir est l’enfer de la terreur et de la peine. La position matérialiste qui veut que l’homme manque de liberté et de choix a même fait de lui une créature misérable.
Le point de vue unidimensionnel du matérialisme voudrait que l’homme soit tel un automate dont le mécanisme et le dynamisme des cellules sont opérés par la nature. L’intelligence et l’instinct humains et encore moins les réalités de l’existence peuvent- elles accepter une telle interprétation ridicule et banale de l’homme, de sa vie et de son destin?
Si cette interprétation était vraie, l’homme serait il plus heureux qu’une poupée? Pris dans une telle situation, l’homme serait obligé de faire de ses propres passions et goûts la base de la moralité et la mesure de la valeur, afin de juger de toutes les choses selon le gain et la perte personnels. Il fera tout son possible afin de détruire tout obstacle sur son chemin et de lever toutes les restrictions sur ses envies sensuelles. Au cas où il agirait autrement, il serait considéré comme arriéré et ignorant.
Toute personne possédant le moindre bon sens et qui juge le cas d’une manière désintéressée et impartiale, considèrera comme valables ces notions bien qu’elles soient décorées dans un sophisme philosophique et scientifique.
Un homme avec une mentalité religieuse verra ce monde comme un système possédant une conscience, une volonté, de la perception et un but. L’intelligence de Dieu dispensatrice de la justice suprême règne sur tout l’univers et toute particule de l’être et elle surveille toutes les actions et faits. Un homme religieux ressent un sens de responsabilité vis à vis de la conscience qui gouverne le monde, et sait que le monde créé et administré par Dieu est nécessairement un monde d’unité, d’harmonie et de bien. Il comprend que la contradiction et le mal ont une existence épi phénoménale et jouent un rôle fondamental dans la réalisation du bien et de l’émergence de l’unité et de l’harmonie.
En outre, selon cet aperçu général du monde qui ouvre de larges horizons à l’homme, la vie n’est pas restreinte à ce monde, et même la vie de ce monde n’est pas restreinte au bien-être matériel ou la libération de l’effort et de la peine la libération de l’effort et de la peine. Le croyant (en Dieu) verra le monde comme un chemin qui doit être traversé, comme un lieu de test, comme une arène d’effort. C’est dans ce monde que la vertu des actes de l’homme est mise à l’épreuve. Au début de la vie de l’au – delà, le bien et le mal dans les pensées, croyances et actions seront mesurés dans la plus précise des balances. La justice de Dieu se révèlera sous son véritable aspect, et quelle que soit la privation de l’homme dans ce monde, matérielle ou autre elle lui sera rendue.
A la lumière de cette destinée qui attend l’homme, et vu l’indigence essentielle des biens de ce monde matériel, l’homme oriente son effort de conscience exclusivement vers Dieu. Son but devient ainsi de vivre et de mourir pour Dieu. Les vicissitudes de ce monde n’attirent plus son attention. Il voit les choses éphémères telles qu’elles sont, et il ne permet à rien de séduire son cœur. Car il sait que les forces de séduction causeraient le dépérissement de sa nature humaine et l’entraîneraient dans le tourbillon de l’égarement.
En conclusion, nous ajouterons que mis à part la question de la réceptivité, l’existence de la différence dans le monde n’implique pas l’injustice. L’oppression et l’injustice signifient que quelqu’un est soumis à la discrimination bien qu’il ait des droits égaux à ceux d’une autre personne. Mais les êtres n’ont jamais eu de revendications et ne peuvent en avoir envers Dieu. Ainsi si quelque chose jouit d’une supériorité sur une autre, ceci ne peut être considéré comme étant une injustice.
Nous n’avons rien de nous – mêmes; tout souffle, tout battement de cœur, toute pensée et toute idée traversant notre esprit, tout ceci est puisé d’une provision à laquelle nous n’avons contribué en rien. Cette provision est un don de Dieu, qui nous a été offert à notre naissance.
Une fois que nous comprenons que tout ce que nous possédons n’est qu’un don divin, il sera évident que toutes les différences entre les dons accordés à l’homme sont basés sur sa sagesse, mais elles n’ont rien à faire avec l’injustice, du fait qu’il n’était pas question de mérite ou de revendication de notre part. Cette vie temporaire et limitée est un don qui nous a été accordé, un cadeau du créateur. Il a la discrétion absolue pour décider de la quantité et de la qualité du don, et nous n’avons aucune réclamation contre lui. Par conséquent, nous n’avons aucun droit de désapprouver, ni d’objecter même si le don qui nous a été accordé à titre gratuit apparaît minime et inconséquent.