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Arrivée des captives de Karbala à Koufa
12 du mois de muharram Arrivée des captives Karbala à Koufa, 61 H.
Captifs de Karbala sont ceux qui, après la tragédie de Karbala et après le martyre de l’Imam al-Husayn (a) et ses compagnons, survécurent et furent emmenés à Koufa et à Châm. Il y a de différents rapports concernant le nombre de ces captifs. Les personnes les plus connues parmi les captifs furent l’Imam as-Sajjâd (a) et Zaynab bt. Ali (a). Leurs discours devant ‘Ubayd Allah b. Zîyâd et Yazid b. Muawiya eurent beaucoup d’effets sur les gens qui ne savaient pas la vérité de la tragédie de Karbala et les mérites des martyrs.
Après le martyre de l’Imam al-Husayn (a), sa famille resta la nuit du 11 Muharram à Karbala. A l’après-midi du onzième jour de Muharram, après avoir enterré tous ses propres défunts, l’armée d’Umar b. Sa’d conduisit et la famille de l’Imam et les survivants de son camp vers Koufa.
Nombre des captifs
Les historiens ne sont pas d’accord sur le nombre des captifs. Chaque historien rapporte le nom de certains captifs de la famille de l’Imam al-Husayn (a). D’après certaines sources, les femmes de la famille de l’Imam al-Husayn (a) qui furent captivées, furent au nombre de 61.
Dans les sources historiques, les noms ci-dessous sont cités parmi les captifs :
Hommes :
L’Imam as-Sajjâd (a)
L’Imam al-Bâqir (a)
Hasan al-Muthannâ
‘Umar b. Husayn b. Ali
Muhammad b. Husayn b. Ali
Zayd b. Hasan b. Ali
Muhammad b. ‘Amr b. Hasan b. Ali
Deux fils de Ja’far b. Abi Talib
Abd Allah b. Abbas b. Ali
Qâsim b. Abd Allah b. Ja’far
Qâsim b. Muhammad b. Ja’far
Muhammad Asghar b. ‘Aqîl
‘Uqbat b. Sam’ân (le servant de Rubâb)
Le servant d’Abd ar-Rahmân b. Abd Rabbih Ansârî
Muslim b. Ribâh (le servant de l’Imam Ali (a) )
Ali b. Othman Maghribî
Femmes :
Zaynab bt. Ali (a)
Fatima bt. Ali (a)
Umm Kulthûm bt. Ali (a) (ou Nafîsa ou Zaynab as-Sughrâ)
Umm Hasan
Khadidja, l’épouse d’Abd ar-Rahmân b. ‘Aqîl
Umm Hânî, l’épouse d’Abd Allah Akbar b. ‘Aqîl[1]
Sukayna bt. al-Husayn (a)
Fatima bt. al-Husayn (a)
Ruqayya bt. al-Husayn (a)
Zaynab bt. al-Husayn (a)[2]
Rabâb, l’épouse de l’Imam al-Husayn (a)
Fatima bt. al-Hasan (a)
Fakîha, la mère de Qârib b. Abd Allah b. Urayqit[3]
Passer par les martyrs
L’armée d’Umar b. Sa’d fit passer les captifs parmi les corps délaissés des martyrs. En les voyant par terre, les femmes du camp de l’Imam al-Husayn (a) se mirent à se lamenter et à se frapper les visages.
Qurrat b. Qays at-Tamîmî dit :
« Je n’oublierai jamais la parole de Zaynab bt. Ali (a) au moment où elle passait à côté le corps de son frère, l’Imam al-Husayn (a), et disait :
« Oh Muhammad (s) ! Oh Muhammad (s) ! Les anges du ciel prient sur toi. C’est Husayn (a) qui est tombé par terre ! Ensanglanté ! Démembré ! Oh Muhammad (s) ! Tes filles ont été captivées ! et tes enfants ont été tués ! Le vent souffle et passe sur leurs corps ! »
Qurrat dit :
« En entendant ses paroles tous les ennemis et tous les amis des Ahl al-Bayt (a) se mirent à pleurer ».[4]
Comportement de l’armée d’Umar b. Sa’d
L’armée d’Umar b. Sa’d emmenait les femmes captives sur les chameaux sans litières.[5] Lorsqu’ils arrivèrent à Koufa, les gens sortirent de la ville pour les voir. Les femmes de Koufa pleuraient. Un narrateur dit :
« J’ai vu Ali b. al-Husayn (a), enchaîné, les mains attachées à son cou ».[6]
Entrée à Koufa
Les rapports ne citent pas le jour de l’arrivée des Ahl al-Bayt (a) à Koufa, mais d’après Cheikh al-Mufîd, ils y arrivèrent le 12 Muharram.[7]
Les Captifs à Kûfa
Le lendemain de la tuerie, soit le 11 Muharram, le cortège des captifs arriva à Kûfa dans l’après-midi; il traversa les rues de cette ville pour être conduit au Palais où l’attendait le gouverneur ‘Obeidullah Ibn Ziyâd. A son arrivée les Kufites sortirent dans les rues, qui pour s’informer de l’identité des captifs, qui pour pleurer sur ces veuves et orphelins, qui pour exprimer leurs remords d’avoir abandonné ces descendants du Prophète, venus de loin sur leur invitation et par leur insistance. Dans le cortège, Zaynab, fille de ‘Ali Ibn Abi Tâlib et la sœur d’al-Hussayn, jeta un regard de colère et d’indignation sur les foules rassemblées et leur fit signe de se taire. Le silence s’imposa et Zaynab s’adressa aux Kufites pour stigmatiser leur attitude traîtresse et honteuse:
«Louange à Dieu! Que la paix soit sur Muhammad et sur les membres bons et pieux de sa famille.
»O Kufites! Ô gens de traîtrise et de trahison! Vous pleurez maintenant!? Que vos larmes ne sèchent jamais et que vos cris ne se calment guère! Vous êtes “pareils à celle qui défaisait le fil de son fuseau après l’avoir solidement tordu“. Car, “vous considérez vos serments comme un sujet d’injures entre vous”.[8] Il n’y a parmi vous que d’arrogants vicieux et d’orgueilleux hautains. Mais en réalité vos agissements ne relèvent que des flatteries de servantes-maîtresses et des coups d’œil d’ennemis; vous êtes, au fond, comme une prairie sur un fumier, comme un ornement d’argent sur un tombeau. Le mal que vous avez commis est si pernicieux que Dieu se courrouce contre vous; et vous demeurerez immortels dans le châtiment. [9]
»Vous pleurez et vous gémissez! Eh bien, par Dieu, pleurez beaucoup et riez peu! Vous n’en (de votre trahison) récolterez que la honte et le déshonneur; vous ne pourrez jamais l’effacer par un lavage. Comment pourriez-vous en effet vous laver de l’assassinat du descendant du Prophète, le Métal du Message, le Maître de la Jeunesse du Paradis, le Refuge des meilleurs d’entre vous et votre refuge dans votre malheur, le Phare de votre preuve de Dieu, et le Guide de votre Sunna. Que vous subissiez les mauvaises conséquences de vos péchés et que vous soyez bannis et écrasés. Vos efforts seront vains, vos mains périront, votre transaction conduira à une faillite, vous encourrez la Colère de Dieu, et serez condamnés à l’humiliation et à l’avilissement. Malheur à vous! O Kufites! Savez-vous quelle partie du cœur de Dieu vous avez clouée au pilori?! et quel sang du Prophète vous avez répandu?! et quel tabou du Prophète vous avez transgressé?! (…) Seriez-vous donc étonnés, si le Ciel faisait descendre une pluie de sang, et qu’une torture encore plus terrible vous attende dans l’autre monde, et que vous ne triomphiez jamais?! Méfiez-vous! Que le répit ne vous trompe! Car Dieu n’est pas pressé de punir, mais IL ne craint pas la vengeance. En vérité votre Seigneur est à l’affût». [10]
Excédé et affligé, Zayd Ibn al-Arqam quitta le lieu, les larmes aux yeux, gardant toujours dans la mémoire le souvenir de l’image du Prophète étreignant et embrassant son bien-aimé al-Hussayn, alors qu’il était enfant.
A peine ce noble Compagnon eut-il quitté le Palais, le cortège des captifs y arriva. On les présenta à Ibn Ziyâd, lequel s’adressa tout de suite à Zaynab sur un ton vengeur:
«Merci à Dieu qui vous a mis à nu, qui vous a fait tuer et qui a démenti votre histoire». [11]
La réponse de Zaynab ne tarda pas et fit trembler l’assistance, car elle était très révélatrice et ne ménageait guère celui à qui elle était adressée:
«Merci à Dieu qui nous a honorés par Son Prophète Muhammad (P) et qui a éloigné de nous la souillure. [12]Il ne fait découvrir que le débauché et ne dément que le menteur. Et ce n’est guère notre cas, mais celui d’un autre». [13]
– Et comment considères-tu ce que Dieu a fait des tiens? insista Ibn Ziyâd.
– Dieu avait décidé qu’ils meurent, et ils se sont donc dirigés vers leurs demeures. Dieu te confrontera avec eux, et là chacun de vous Lui présentera ses arguments, dont IL sera l’arbitre…» [14]
Ces vifs échanges de propos entre Zaynab et ‘Obeidullah continuèrent pendant un bon moment et furent interrompus par la présentation de ‘Ali Ibn (fils de) al-Hussayn dit al-Sajjâd (au gouverneur ‘Obeidullah Ibn Ziyâd). Celui-ci lui demanda:
– Qui es-tu?
– Je suis ‘Ali fils d’al-Hussayn, répondit al-Sajjâd.
– Mais, ‘Ali Ibn al-Hussayn n’a-t-il pas été tué? s’étonna Ibn Ziyâd.
– J’avais un frère qui s’appelait ‘Ali aussi. Les gens l’ont tué, dit al-Sajjâd.
– C’est plutôt Dieu qui l’a tué…, fit Ibn Ziyâd sèchement.
– Dieu accueille les âmes au moment de leur mort, [15]répondit al-Sajjâd.
L’attitude ferme et les réponses directes d’al-Sajjâd excédèrent ‘Obeidullah, lequel s’écria à l’adresse des bourreaux:
«Egorgez-le!».
Là, Zaynab, la tante paternelle d’al-Sajjâd bondit, s’accrocha à son neveu et cria: «Ô Ibn Ziyâd! Tu as déjà répandu assez de notre sang… Par Dieu je ne me séparerai pas de lui (al-Sajjad). Si tu le tues, tue-moi avec lui». [16]
Ibn Ziyâd recula. Il quitta le salon pour la mosquée où il prononça un prône dans lequel il annonça l’assassinat d’al-Hussayn et la victoire de Yazid: «Merci à Dieu qui a mis en évidence le vrai et Ses tenants, donné la victoire au commandant des croyants, Yazid, ainsi qu’à son parti, tué le menteur [17]
et fils de menteur [18] et ses partisans». [19]
‘Abdullah Ibn Afif al-Azdi [20], qui était dans l’assistance, s’indigna de ces propos blasphématoires et brisa le rideau de terreur et de peur qu’avait installé ‘Obeidullah entre l’amour envers les Ahl-ul-Bayt, et leurs partisans, en s’écriant à l’adresse du Gouverneur: «Tu te permets de t’installer dans la tribune des justes après avoir osé assassiner les descendants des prophètes!!» [21]
Ces mots retentirent comme un tonnerre aux oreilles de ‘Obeidullah qui était au zénith de l’orgueil de son poste de gouverneur, et dans l’ivresse de la victoire perfide qu’il venait de remporter. Pour sauver la face, il ne trouva rien d’autre que d’ordonner l’exécution de son contradicteur. Mais cet ordre ne put être exécuté, car il se heurta à la résistance de sept cents combattants de la tribu al-Azdi. Toutefois la tyrannie, la terreur et l’orgueil de ‘Obeidullah ne lui permirent pas d’oublier l’insulte. Aussi recourut-il à la traîtrise pour faire exécuter sa volonté sanguinaire. A la tombée de la nuit, ses nervis investirent la maison d’al-Azdi, tuèrent celui-ci et le crucifièrent.
Sa colère vindicative ne s’arrêta pas là. Le lendemain, il exposa la tête d’al-Hussayn dans les rues de Kûfa pour étouffer dans l’œuf toute nouvelle velléité d’opposition et de résistance à ses agissements.
Vers Damas (Châm)
Après quoi, la tête d’al-Hussayn et d’autres têtes de martyrs furent expédiées en Syrie. Dans la caravane chargée de cette expédition macabre, se trouvaient les captifs, les veuves et les enfants de la famille du Prophète; ils marchaient derrière la tête d’al-Hussayn. Nous ne connaissons pas exactement le chemin que l’armée d’Umar b. Sa’d prit pour aller à Damas. Mais d’après les endroits bénis construits en hommage à l’Imam al-Husayn (a) entre Koufa et Damas, nous pouvons dessiner le chemin ci-dessous :
Station de Ra’s al-Husayn (a) à Mossoul : D’après Hirawî, cet endroit existait jusqu’au septième siècle de l’Hégire.[22]
Mosquée de l’Imam as-Sajjâd (a) et la station de Ra’s al-Husayn (a) à Nusaybin (une ville du sud-est de la Turquie, située dans la province de Mardin). Il est dit que la trace du sang de l’Imam al-Husayn (a) persiste toujours en ce lieu.[23] Hirawî enregistra cet endroit sous le nom de Mashhad an-Nuqta.[24]
Station de Turh
Station de Hajar : où ils mirent la tête de l’Imam al-Husayn (a) lors de leur repos.[25]
Stations de la montagne Al-Jawshan : Cette montagne se situe à Alep. Il est probable que ce soit le même station où un moine donna tous ses biens pour avoir la tête de l’Imam pour une nuit.[26]
Station de Humât se situe à l’intérieur d’Alep.[27]
Station de Hims[28]
Station de Ba’labak : Il y a une mosquée dans cette station, dans laquelle, d’après certains historiens, il y avait des traces de la tête de l’Imam al-Husayn (a).[29]
Station de Ra’s al-Husayn (a) et la station de l’Imam as-Sajjâd (a) ) à Damas : ces deux stations se situent à côté de la Grande Mosquée des Omeyyades.[30]
Soldats Omeyyades qui accompagnèrent les captifs
‘Ubayd Allah b. Zîyâd envoya certains soldats avec la caravane des captifs, dont Shimr b. Dhi al-Jawshan, Târiq b. Muhaffiz b. Tha’labat et Zahr b. Qays.[31]
Comportement des soldats Omeyyades
D’après Ibn A’tham et Khârazmî, les soldats Omeyyades se comportaient avec les captifs comme les païens.[32] L’Imam as-Sajjâd (a) dit :
« Ils m’ont obligé de monter à un cheval sans litière. La tête de l’Imam al-Husayn (a) était sur une lance et les femmes de notre caravane la regardaient. Si une personne d’entre nous pleurait, ils la frapperaient avec leurs lances. Nous avons passé la route entière dans cet état. Lorsque nous sommes arrivés à Châm, un d’eux s’écria en disant : « Ô gens, ceux-ci sont les captifs d’une famille maudite ! » ».[33]
Notes:
1-Labîb Baydûn, Mawsû’at Karbala, v 1 p 528
2-Ibn Shadâd, Al-A’lâq al-Khatîrat, p 48 – 50
3-Ash-Shîrâzî, Dhakhîrat ad-Dârayn, p 327
4-Cheikh al-Mufîd, Al-Irshâd, v 2 p 114 ; Tabarî, Târîkh at-Tabarî, v 5 p 456
5-Ibn Abi al-Hadîd, Sharh Nahj al-Balâgha, v 15 p 236
6-Cheikh al-Mufîd, Al-Amâlî, p 321
7-Cheikh al-Mufîd, Al-Irshâd, v 2 p 114
8-Zaynab reprend ici le contenu d’un verset coranique dans lequel Dieu condamne les agissements des gens qui ne tiennent pas leur parole: «N’imitez pas celle qui défaisait le fil de son fuseau après l’avoir solidement tordu. Ne considérez pas vos serments comme un sujet d’intrigues entre vous en estimant que telle communauté l’emportera sur telle autre». (Coran, XVI, 92)
9-Allusion au verset coranique: «Tu verras un grand nombre d’entre eux s’allier avec les impies. Le mal qu’ils ont commis est si pernicieux que Dieu se courrouce contre eux: ils demeureront immortels dans le châtiment». (Coran, V, 80)
10-Ci-après le texte arabe du discours de Zaynab
11-Cheikh al-Mufîd, Al-Irshâd, v 2 p 114
12-Allusion au verset coranique concernant la famille du Prophète, les Ahl-ul-Bayt: «Certes Dieu veut éloigner de vous toute souillure et vous purifier totalement». (Coran, XXXIII, 33)
13-Allusion â Yazid Ibn Mu’awiya
14-Al-Cheikh al-Mufid, op. cit., p. 244
15-Verset coranique, XXXIX, 42
16-Al-Cheikh al-Mufid, op. cil., p. 244
17-C’est-à-dire l’Imam al-Hussayn
18-C’est-à-dire, son père, l’Imam ‘Ali Ibn Abi Tâlib, cousin du Prophète, son successeur présomptif et légitime, et le 4ème Calife Bien-Dirigé
19-Al-Cheikh al-Mufid, op. cit., p. 244
20-C’était un partisan de l’Imam ‘Ali et de sa famille
21-Al-Cheikh al-Mufid, Id. Ibid., op. cit.
22-Ja’far Muhâjir, Kârivâné Gham, p 29
23-Hirawî, Al-Ishârât ilâ Ma’rifat az-Zîyârât, p 66
24-Hirawî, Al-Ishârât ilâ Ma’rifat az-Zîyârât, p 66
25-Ibn Shadâd, Al-A’lâq al-Khatîrat, p 178
26-Hamawî, Mu’jam al-Buldân, v 2 p 186
27-Ibn Shahr Âshûb, Manâqib Âl Abi Talib, v 4 p 82
28-Ibn Shahr Âshûb, Manâqib Âl Abi Talib, v 4 p 82
29-Muhâjir, Kârivâné Gham, p 36 – 38
30-Ibn ‘Asâkir, Târîkh Madînat Dimashq, v 2 p 304
31-Balâdhurî, Ansâb al-Ashrâf, v 3 p 416 ; Dinwarî, Akhbâr at-Tiwâl, p 384 – 385
32-Ibn A’tham, Al-Futûh, v 5 p 127 ; Khârazmî, Maqtal al-Husayn (a), v 2 p 55 – 56
33-Sayyid b. Tâwûs, Iqbâl al-A’mâl, v 3 p 89