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L’histoire de la Révélation du Coran
Coran, transcrit également Qur’ân, est le Livre saint et sacré des musulmans qui, d’après la croyance musulmane, est descendu entièrement de la part de Dieu sur le cœur et la langue du Prophète (s) durant 23 ans, par l’intermédiaire de l’Ange Gabriel à travers la Révélation.
De nombreux rédacteurs (kâtib) l’ont rédigé au fur et à mesure de la Révélation sous la surveillance directe et continue du Prophète (s) ; et de nombreux lecteurs parmi les compagnons du Prophète (s) l’ont mémorisé et transmis de manière fréquente et continue (mutiwatir).
Le terme “Révélation” (Wahiyy) dans le sens sémantique signifie “signe ou message rapide” qui peut être transmis par la parole, ou par des signes secrets, ou par un son simple ou composé ou en forme de signe, etc.[1]
La révélation, ici, signifie, la communication de l’inspiration divine au cœur du noble Prophète de l’Islam (que le salut de Dieu soit sur lui et sur ses descendants) et les paroles du Très Haut adressées à ce dernier.[2]
Révélation (wahy)
D’après la croyance musulmane, le Coran, comme nous l’avons dit, est révélé et descendu, de la part de Dieu, mot par mot sur le cœur et la langue du Prophète, par l’intermédiaire de l’Ange Gabriel, l’ange de la Révélation.
Le wahy (Révélation) est donc un fait métaphysique, mais réel et objectif qui signifie la transmission du Message de Dieu aux prophètes en général, et au Prophète Muhammad (s) en particulier.
Descente (nuzûl)
L’expression nuzûl désigne la descente de la Source de Révélation Dieu, au Lieu de la Révélation – le Cœur du Prophète, de manière progressive durant les 23 années de la prophétie.
Dans le Coran, la Descente est attribuée, comme la Révélation, à Dieu. Elle est ainsi appelée : Inzâl ou Tanzîl. Certains, en s’appuyant sur les versets comme
“قُلْ مَن كَانَ عَدُوًّا لِّجِبْرِيلَ فَإِنَّهُ نَزَّلَهُ عَلَىٰ قَلْبِكَ بِإِذْنِ اللَّـهِ”,
Dis (leur) : “Celui qui est ennemi de Gabriel (est infidèle) car celui-ci, avec la permission d’Allah, a fait descendre (la Révélation) sur ton cœur (Prophète!)[3]), pensent que la descente du Coran a été faite uniquement par l’intermédiaire de Gabriel[4]. Toutefois l’avis le plus soutenu est que la descente du Coran a été effectuée aussi par d’autres voies dont une voie directe et sans intermédiaires sur le cœur du Prophète[5].
La première sourate révélée est la Sourate ‘Alaq ou Iqra’. Certains penseurs disent que seules les 5 premiers versets de cette sourate sont révélées lors de la première révélation. D’autres chercheurs disent que la première sourate révélée est Al-Fatiha (ou Sourate al-Hamd), qui est aussi la première sourate dans l’ordre actuel du Livre du Coran.
Selon certains versets coraniques, ce Livre a été révélé durant le mois du Ramadan et lors de la Nuit de la destinée (Laylat al-Qadr)[6]. Ainsi, il y a une divergence parmi les musulmans par rapport à sa révélation progressive ou soudaine.
Certains pensent qu’Il a été descendu d’abord une fois soudainement, puis progressivement durant 23 ans[7]. D’autres disent que ce qui devait descendre sur le cœur du Prophète pendant un an, descendait aussi soudainement lors de la Nuit de la destinée (Qadr)[8]. Il y en a aussi ceux qui pensent que le Coran a été révélé seulement progressivement et que le début de sa révélation était la Nuit de la destinée du mois du Ramadan[9].
Tous ce que nous savons de la révélation soudaine du saint Coran est qu’elle a eu lieu la nuit de Qadr.[10] Et comme le Coran déclare[11] : « Le mois de Ramadan est le mois au cours duquel le Coran a été révélé et la nuit de Qadr se situe dans ce mois »
Mais on ne sait précisément de quelle nuit des nuits du mois de Ramadan il s’agit. Les avis divergent ici.[12] De toutes les hypothèses celle de la nuit du 23 du Ramadan en tant nuit de Qadr est la plus forte, car plusieurs hadiths et des indices l’approuvent.[13]
De toutes les façons on ne sait en quelle année cette heureuse événement s’est produit. Bien que la nuit de Qadr corresponde avec la descente du Coran dans l’espace naturelle, on la considère aussi comme la nuit d’ascension du prophète. Car le Coran est auprès de Dieu dans ce qu’on appelle « Umul Kitâb ».[14] Et sans ascension un être humain ne peut y accéder.[15] On peu donc déduire que la révélation spontanée du saint Coran s’est produite quand le messager atteint ce niveau de perfection. On peut donc supposer que cela a certainement eu lieu la première année de la mission prophétique. C’est-à-dire presque 56 jours après la l’annonce de la prophétie.
Ce chiffre est obtenu en partant de la mission prophétique (27 Rajab), la nuit de Qadr (23 Ramadan), en supposant que les mois de Rajab et Sha’bâne ont trente jours.
Les divergences sont également à déplorer au sujet de la révélation discontinue du saint Coran [16] qui avoisine la mission prophétique parce que la date de cette dernière n’est pas précise.[17] Beaucoup affirment que la mission du prophète de l’islam a commencée le lundi 27 Rajab (le 1er Février 610 après Jésus Christ).[18] Il reçut les cinq premiers versets de la sourate « Alaq » lui furent révélés.[19] Le reste des versets s’en sont suivis durant 23 ans jusqu’à la fin de la vie du messager de Dieu. Certains pensent qu’il y a une distinction entre la mission prophétique et la révélation discontinue du saint Coran comme livre céleste. Selon eux, en dépit du fait que cinq versets de la sourate « Alaq » ont été révélés au prophète dès le début de sa mission, il n’avait pas reçu l’ordre de procéder à l’appel public. C’est après trois ans d’appel discret qu’il est passé à la phase supérieure par l’appel public.[20]C’est à partir de ce moment que le saint Coran descendait et se compilait… donc malgré le début de la mission au mois de Rajab, la révélation du saint Coran avait commencé la nuit de Qadr du mois du Ramadan trois ans après la révélation.[21] On en veut pour preuve ces hadiths qui affirment que la révélation du saint Coran a durée 23 ans.[22] Selon cet avis[23] la révélation discontinue du saint Coran en tant que livre céleste remonte à la 4ème année de la mission prophétique, c’est-à-dire à peu près trois ans et 56 jours après et ce jusqu’à la fin de la vie du messager, c’est-à-dire le 28 Safar de la onzième année de l’hégire.
En quelle année la révélation du coran a-t-elle prit fin ?
Pour répondre à cette question, il faut préciser quel est le verset ou quelle est la sourate qui est le ou la dernière révélé au prophète (ç) et marquant la finn de la révélation ? Beaucoup de sourates sont présentés comme dernières sourates révélées. Par exemple :
1 – Dans certaines traditions, il est rapporté des Ahl-ul-bayt (as) que la dernière sourate révélée au prophète (ç) est la sourate Nasr[24] on donne la bonne nouvelle de la victoire absolue de la révélation avec ses bases rendues stables et les gens l’ont accepté foule par foule. Les compagnons furent satisfaits de la révélation de cette sourate car elle parlait de la victoire absolue de l’islam sur la mécréance, de l’établissement des bases de la religion. Mais Abbas l’oncle paternel du prophète(ç) était plutôt affligé par rapport à la révélation de cette sourate. Il pleura, le prophète (ç) lui dit : « ô oncle, pourquoi pleure tu ? Il répondit : « je penses que cela annonce la fin de ta mission. Le messager dit : « oui c’est sûrement ce à quoi tu pense » » deux ans après, le prophète (ç) quitta le monde.[25]
L’imam Sadiq (as) dit : «la sourate Izajaha Nasroullahi wouol fath est la dernière sourate révélée » il est également rapporté d’ibn Abbas que la Sourate Nasr est la dernière sourate révélée.[26]
2 – Dans d’autres traditions, c’est plutôt la sourate Baraha qui est présentée comme la dernière sourate révélée. Ses premiers versets sont descendus à la neuvième année de l’hégire et le prophète (ç) dépêcha l’imam Ali (as) pour aller le lire au milieu des mécréants.[27]
3 – Dans beaucoup d’autres traditions, il est mentionné que le verset suivant est le dernier révélé au prophète (ç) : «craignez le jour où vous y serez retournés vers Dieu puis toute âme sera éteinte et tout âme verra ce qu’elle a produit et personne ne sera l’aisé »[28] c’est le dernier verset avec lequel l’ange Gabriel est descendu puis dit : « met ce verset entre le verset de l’usure et le verset de la religion (après le verset 280) de la sourate Baqarah et après cela, le prophète n’a vécu que 21 jours et 7 sept jours selon une autre version.[29]
4 – Ahmad ibn Yakoub plus connu sous le nom d’ibn Abi Wazeh Yakoubi (décédé dans les années 292) écris ceci dans son livre d’histoire : « on dit que le dernier verset révélé au prophète est le verset : «aujourd’hui j’ai parachevé pour vous votre religion et j’ai accompli mon bienfait sur vous, j’agréé l’islam comme religion »[30] il continue en disant : «et pour nous ces propos sont fondés et pertinents et ce verset à été révélé le jour où l’imam Ali ibn Abou Talib a été investi à Ghadeer khom»[31]
Oui la sourate Nasr a été révélée avant la sourate Baraha car la sourate est descendue lors de la conquête de la Mecque la 8ème année de l’hégire alors que la sourate Baraha a été révélée après la conquête de la Mecque. Donc pour ramener toute cette tradition à une synthèse, nous devons dire : « la dernière sourate entière révélée est la sourate Nasr et la dernière sourate selon les premiers versets est la sourate Baraha. Mais le verset « et craignez le jour où vous y serez retournés vers Dieu… »[32] Selon ce qui ressort du hadith de Mawourdi a été révélé à Mina lors du pèlerinage d’adieu.[33] Donc on ne peut pas le considérer comme le dernier verset car le verset « Ikmal » est descendue sur le prophète (ç) à Ghadeer en cours de route lorsqu’il revenait du pèlerinage.
En conclusion, on peut dire que l’opinion d’ibn Wazeh Yakoubi est la plus juste car la sourate Baraha a été révélée après la conquête de la Mecque à la 9ème année, et la sourate Ma’ida a été révélée à la 10ème année c’est-à-dire l’année du pèlerinage d’adieu. En plus de cela, la Sourate Ma’ida comprend une série de dispositions islamiques qui parlent de la fin de la guerre et de l’établissement de système islamique plus particulièrement le verset de « Ikmal » qui marque la fin de la mission prophétique.[34] Et il correspond avec le dernier verset dans la dernière sourate. Donc il est vrai que nous disons que la dernière sourate complète révélée au prophète (ç) est la sourate Nasr qui est descendue l’année de la conquête de la Mecque mais le dernier verset et qui marque la fin de la mission prophétique est le verset « Ikmal » même comme il est possible de dire en quelque sorte que les versets d’Akham se présentent comme le dernier verset révélé et qui est enregistré dans la sourate Baqarah.
Conformément à tous ceci, la révélation du saint coran a pris fin à la 10ème année (pèlerinage d’adieu) de l’hégire.[35]
Notes:
- Ragheb Esfahani; “Les corps simples, p.515, “Wahiyy”
- Même si la compréhension de la réalité de la révélation et ses modalités ne sont pas faciles voire impossibles
- Coran al-Baqara, verset 97, traduction de Blachère, p. 41
- Mir-Muhammahdi Zarandi, Tarikh wa Ulum Qur’ân, 1363 H.S., p.7
- Yusufi Gharawi, Ulum Qur’âni 1393 H.S., p.46; Ma’rifat, al-Tamhid, 1412, vol.1, p. 55-56
- Coran Sourate al-Baqara, verset, 185; Sourate Qadr, verset 1
- Misbah Yadzin, Qurân shenasi, 1389 h.s., vol.1, p.139; Iskandar Lu, Ulum Qur’âni, 1379 h.s., p. 41
- Iskandar Lu, Ulum Qur’âni, 1379 h.s., p. 42
- Iskandar Lu, Ulum Qur’âni, 1379 h.s., p. 42-43
- « nous l’avons fait descendre en une nuit bénie, nous sommes en vérité celui qui avertit » Sourate ad-Dukhâne (la fumée)44 :3 ; « nous l’avons Certes, fait descendre (le Coran) pendant la nuit d’Al-Qadr » Sourate Qadr 97 : 1 ; pour plus d’informations consulter Tafsir al Mizân, vol 8, page 130-134, vol 2, page 14-23, vol 12, page 220 et 221
- Baqarah (la vache) 2 :185
- Confère Tarikh Tabari, vol 2, page 300, Sirah ibn Hishâm, vol 1, page 236, 239 et 240, At-Tamhid fi ulumil Qor’an de Ayatollah Hadi Ma’rafat, page 100-129 ; Ayatollah Kho’ei, al Bayâne, vol 1, page 224 MAjma al Bayane, vol 9, page61 et vol 10, page 518-520 ; Tarikh Abi Fadâ, vol 1, page 115 ; Tarikh Yakoubi, vol 2, page 17, Al Tebyan de Sheikh Tousi, vol 9, page 224 ; Jamioul bayan de Mohammad ibn Jarir Tabari, vol 25,page 107, 108, Tafsir al Mizan, vol 2, page 29.
- Wasâ’il ul Shia, chapitre 32 sur l’un des principles jurisprudenciels du jeûne du ramadan, vol 7, page 262, hadith 16, Al Khisâl de Sheikh Sadouq, vol2, page 102 ; Recherche dans l’histoire du Coran de Mohammad Bâqir Hojjati, page 38-62
- Sourate Zukhruf: 4,
- confère Ayatollah Javad Amoli, Tafsir Maodhou”I Qor’an, vol3, page 153
- Sourate Isrâ (l’ascension): 106, sourate Furqân: 32; sourate Mohammad:20; Sourate awba (le repentir):127; pour plus d’informations se référer à Tafsir al Mizan, vol2, page 14-23
- Tarikh Ya’koubi, vol 2, page 17; Tarikh Khamis, vol2, page 280 et 281, Tarikh Abi Fatâ, vol1,page 115.
- Recherche dans l’histoire du Coran de Mohammad Bâqir Hojjati, page 36 ; Behar ul Anouar de Allameh MAjlisi, vol 18, page 189, hadith 21 ; Furugh al Kafi, vol4, page 149, hadith 1 et 2 ; Wasâ’il –ul- Shia, vol 7, page 329, chapitre 15 ; Sirat-ul-halabiyya, vol 1 page 238 ; AL Tamhid fi ulumi Qor’an, page 100-107
- Behar ul Anouar, vol 18; page 206, hadith 36
- Sourate Hijr : 94 ; Tafsir Qomi, page 353 ; Behar ul Anouar, vol 18; page 53, hadith 7 et page 179, hadith 10, page 177 hadith 4, page 149 hadith 4, page 193, hadith 29, Tarjumeh ayati, vol 1 page 379; Tarikh Ya’koubi, vol 1, page 343 ; Sirat ul ibn Hishâm vol1, page 280 ; Al Manâqib, vol 1, page 40, Sheikh Tousi, Al Ghayba, page 217
- Majma al Bayane, vol 2 page 276 ; Al ittiqân, vol 1 page 40 ; Tafsir Kabir de imam Razi, vol 5 page85 ; Al Manâqib, vol 1 page 150 Sheikh Moufid dans Shar Aqâ’id Sadouq, page 58 ; Sayyed Mortaz dans Jawabul masâ’il tarabilisiyat thalisa, page 403-405
- Usul minal Kafi, vol 2 page 628 ; Tafsir Ayyashi, vol 1 page 80 ; Sadouq I’tiqâdât, page 101 ; Behar ul Anouar, vol 18 page 250, hadith 3 etpage 253 ; Al Itiqân, vol 1 page 40 et 45 ; Tafsir Shabr ; page 250 ; Mostadrak Hakim, vol 2 page 610 ; Asbab ul Nouzoul, page 3 ; Bedâya wa nehâya, vol 3 page 4 ; Tarikh Yakoubi, vol 2 page 18
- Pour plus d’informations confère Al Tamhid fi ulumil Qor’ân, page 100-129
- Wasa ‘il ul shia, Mohammad ibn Hassan Horr Amili, vol 7, page 371.
- Majma ul bayane de Fadhl ibn Hassan Tabrisi, vol 10, page 884, les éditions Nasir Khosrô, Téhéran, 1372 hégire solaire.
- Idi Ali, Jawzi, vol 5, page 690, les éditions Ismaïliyan, 1415 hégire lunaire.
- Tafsir Shabar, Sayyed Abdoullah Shabar, page 199, les éditions Darul Balagha, Beyrouth, 1412 hégire lunaire.
- Sourate Baqarah : 281.
- Majma ul bayane, vol 3, page 196.
- Sourate Ma’ida : 3.
- Tarikh Yakoubi, ibn Wazeh Yakoubi, vol 2, page 35.
- Sourate Baqarah : 281.
- Tafsir Mawourdi, vol 1, page 63 ; Al Bourhane de Zarkeshi, vol 1, page 188.
- Sciences coraniques de Mohammad Hadi Maareefat, page 76.
- Extrait du site de Hawza.