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Ahl-ul-Bayt dans le Saint Coran (Du point de vue Sunnite) II

Ahl-ul-Bayt dans le Saint Coran (Du point de vue Sunnite) II

2025-04-07

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Ahl-ul-Bayt dans le Saint Coran (Du point de vue Sunnite) II

4Le Verset de Çalât

«Oui, Allah et Ses Anges prient sur le Prophète. O vous les Croyants ! Priez sur lui et appelez sur lui le Salut (Sourate al-Ahzâb, 33: 56)

Explication du verset

Dans les Versets précédents, le Saint Coran a parlé de la Pureté des Ahl-ul-Bayt et de l’obligation de les aimer, tout en les désignant.

Salawât est une formule spéciale contenant une salutation adressée au Prophète de l’islam que les musulmans récitent dans le tashahhud (profession de foi) de la prière, mais aussi lorsqu’ils entendent ou prononcent le nom du Prophète Muhammad (s). En plus du Coran (verset 56 de la sourate 33), de nombreux hadiths ont insisté sur l’importance de cette salutation.

Les musulmans considèrent que le salawât montre le respect envers le prophète et génère une récompense divine dans l’autre monde, et qu’il a des effets positifs dans le monde d’ici-bas. En outre, il occupe une position noble dans la culture islamique commune de nombreux pays. Les musulmans récitent le salawât à diverses occasions en tant qu’une formule de bénédiction; par exemple comme un début béni et propice pour leurs œuvres.

La phrase la plus courante pour le salawât chez les chiites est :

 » اللهم صل علی محمد و آل محمد »

(O Allah, puisses-Tu accorder la paix et l’honneur à Muhammad et à sa famille ; transcription : Allâhumm-a Sall-i ‘Alâ Muhammad Wa Âl-i Muhammad).

L’importance de la salawat

Cette déclaration divine dans le coran suffit pour souligner l’importance de la salawat :  » Dieu et ses anges adressent les prières sur le prophète (ç) (salawat) vous qui avez cru, adressez aussi vos prières sur le prophète (ç) « ce verset nous permet de réaliser l’importance de la salawat et la valeur qu’elle représente. Les mérites de la salawat apparaissent dans plusieurs hadiths, tout comme la manière de les adresser. Le messager de Dieu dit :  » La salawat que vous adressez sur moi fait en sorte que vos besoins soient exaucés et que Dieu vous agrée et purifie vos actes « . Dans un autre hadith, le messager de Dieu dit :  » J’ai rencontré un ange la nuit de l’ascension et ul me disait qu’il connait le nombre de gouttes de pluie mais qu’il ne pouvait pas énumérer les récompenses de la salawat « . »Salât » du Prophète (s) sur les croyants est une prière pour leur bien-être, leur bénédiction et leur salut,

« Salat » des anges sur quelqu’un, signifie qu’ils implorent le pardon et la bénédiction pour lui,

« Salat » des croyants sur Muhammad (s) montre leurs louanges et leur respect pour lui [1]

« Salat » de Dieu sur le Prophète (s) doit lui accorder Ses bénédictions,

« Salât » des anges sur le Prophète (s) signifie qu’ils implorent les bénédictions de Dieu pour lui [2]

Le lien entre le verset de Salawat et les Ahl al-Bayt (P)

Al-Fakhr al-Râzî a mentionné, dans son « Tafsîr al-Kabîr », l’explication de ce Verset faite par le Prophète. Il écrit à ce propos :

«Lorsque l’on a demandé au Prophète : « O Messager d’Allah ! Comment prier sur toi ? », il a répondu : «Dites: « O Allah ! Prie sur Muhammad et sur les Âle Muhammad, comme Tu a prié sur Ibrâhîm et sur les Âle Ibrâhîm ; et bénis Muhammad et les Âle Muhammad comme Tu as béni Ibrâhîm et les Âle Ibrâhîm ; en effet, Tu es Digne de Louanges et de Gloire. »»

Et avant d’introduire ce hadith, il a exposé l’exégèse, l’interprétation, de ce Verset en faisant ce commentaire:

«C’est la preuve, chez les Châfi’ites, que cet Ordre [de prier sur Muhammad] est une obligation[3]. Ainsi, la Prière sur le Prophète devient obligatoire ; tout en n’étant pas obligatoire en dehors du Tachah-hud, elle est obligatoire dans le Tachah-hud.» [4]

Et al-Râzî de s’interroger:

«Si Allah et Ses Anges prient sur lui [le Prophète], en quoi aurait-il besoin de notre Prière ?»

A cette interrogation, nous répondons que la Prière sur lui ne soulève pas la question de savoir s’il a besoin ou non de notre Prière ; autrement il n’aurait pas besoin non plus de la Prière des Anges, une fois qu’il a la Prière d’Allah !

L’Ordre nous est intimé de prier sur lui, par compassion pour nous, car notre Prière sur lui nous donne l’occasion de le glorifier afin qu’Allah nous en récompense. C’est pourquoi le Prophète a dit:

«Quiconque prie sur moi une fois, Allah prie sur lui dix fois.»

Dans « al-Dur al-Manthûr », d’al-Çiyûtî, ‘Abdur Razzâq, Ibn Abî Chîbah, Ahmad, ‘Abd ibn Hamîd, al-Bukhârî, Muslim, Abû Dâwûd, al-Tirmithî, al-Nasâ’î, Ibn Mâjah et Ibn Marduwayh ont rapporté de Ka’ab ibn ‘Ajrah:

«Un homme a dit: « O Messager d’Allah ! Pour ce qui est du Salut sur toi, nous l’avons compris. Mais comment prier sur toi ? » Le Prophète répondit : « Dites: O Allah ! Prie sur Muhammad et sur les Âle Muhammad [la Famille de Muhammad], comme Tu as prié sur Ibrâhîm et sur les Âle Ibrâhîm; en effet, Tu es Digne de Louanges et de Gloire. »»

Il y a, en dehors de ce récit, dix-huit hadith qui établissent que les Âle du Prophète lui sont associés dans la Prière, et ces hadith sont rapportés par les auteurs de Sunan et de recueils, en citant plusieurs Compagnons dont : Ibn ‘Abbâs, Talhah, Abû Sa’îd al-Khidrî, Abû Hurayrah, Abû Mas’ûd al-Ançârî, Buraydah, Ibn Mas’ûd, Ka’ad ibn ‘Umrah et ‘Alî.

A ce propos, Ahmad et al-Tirmithî ont rapporté de l’Imam al-Hassan ibn ‘Alî que le Prophète avait dit :

«L’avare est celui qui ne prie pas sur moi lorsque je suis évoqué chez lui.» [5]

Ainsi, les jurisconsultes s’accordent-ils pour affirmer l’obligation de la Prière sur Muhammad et sur les Âle Muhammad pendant le Tachah-hud de la Prière rituelle et l’obligation d’évoquer les Âle Muhammad dans la Prière.

Lorsqu’on observe bien ce Verset, on comprend clairement la raison d’être de cette Législation et de son caractère d’obligation, à savoir la glorification des Âle Muhammad, qu’Allah a purifiés totalement en les dépouillant de toute souillure, afin que la Ummah suive leur exemple, emprunte leur Voie, et résolve ses différends en se référant à eux.

Ainsi, si la Prière rituelle est considérée comme nulle et non avenue lorsqu’on omet de prier sur les Âle Muhammad, c’est parce que ceux-ci sont l’avant-garde de la Ummah et doivent être reconnus comme l’exemple à suivre. Si leur Droiture n’était pas garantie, et si la justesse de tout ce qu’ils ont fait n’était pas incontestable, Allah n’aurait pas ordonné aux Musulmans de toutes les époques de s’attacher à eux et de prier sur eux dans chaque Prière rituelle. Cette répétition de la Prière sur Muhammad et les Âle Muhammad, et l’obligation de la faire dans la Prière rituelle, visent à attirer l’attention des Musulmans, pendant chaque Prière, sur leur importance, leur position et la nécessité de les suivre, de marcher sur leurs traces et de s’attacher à eux.

5- Le Verset d’al-It‘âm

Texte du verset

«Les hommes purs boiront à une coupe dont le mélange sera de camphre. Les serviteurs d’Allah boiront à des sources que Nous ferons jaillir en abondance. Ils tenaient fidèlement leurs promesses, ils redoutaient un Jour dont le mal sera universel. Ils nourrissaient le pauvre, l’orphelin et le captif, pour l’amour d’Allah. « Nous vous nourrissons pour plaire à Allah Seul ; nous n’attendons de vous ni récompense, ni gratitude. Oui, nous redoutons, de la part de notre Seigneur, un Jour menaçant et catastrophique. » Mais Allah les a protégés du malheur de ce Jour. Il leur fera rencontrer la fraîcheur et la joie. Ils les récompensera pour leur patience, en leur donnant un Jardin et des vêtements de soie. Là, accoudés sur des lits d’apparat, ils n’auront à subir ni soleil ardent, ni froid glacial. Ses ombrages seront cueillis. On fera circuler parmi eux des vases d’argent et des coupes de cristal, de cristal d’argent, et remplies jusqu’au bord. Ils boiront à une coupe dont le mélange sera de gingembre, puisé à une source nommée là-bas: « Salsabil ». Des éphèbes immortels circuleront autour d’eux. Tu les compareras, quand tu les verras, à des perles détachées. Quand tu regarderas là-bas, tu verras un délice et un faste royal. Ils porteront des vêtements verts, de satin et de brocart. Ils seront parés de bracelets d’argent. Leur Seigneur les abreuvera d’une boisson très pure. « Cela vous est accordé comme récompense. Votre zèle a été reconnu. »» (Sourate al-Insân, 76 : 5-22)

Explication du verset

Verset d’al-It’âm  est le huitième verset de la sourate al-Insân (sourate 76), et révélé à propos de l’Imam Ali (a) et sa famille. Selon certains hadiths et l’avis de certains exégètes chiites – mais aussi certains sunnites – du Coran, ce verset est révélé à propos de l’Imam Ali (a) et de sa famille Fâtima (a), Hasan (a) et Husayn (a) et aussi leur servante, Fidda qui ont jeûné pendant trois jours, et au moments de rupture de jeune, au lieu de manger, ont donné tout leur repas aux pauvres, orphelins et captivés, alors qu’ils avaient eux-mêmes bien faim.

Dans ces Versets bénis, le Saint Coran parle des Ahl-ul-Bayt, et les place au sommet de la crainte révérencielle. Il les présente comme des modèles et des exemples à suivre par l’humanité, afin que les générations leur emboîtent le pas et marchent sur leurs traces. L’événement historique à l’occasion duquel ces Versets bénis sont descendus met en évidence la position élevée des Ahl-ul-Bayt, leur sublimité dans l’application et l’observance de la Chari’ah, leur dévouement aux Préceptes d’Allah, et indique qu’ils sont des gens pieux qui guident vers le Paradis quiconque les suit et suit leur Voie.

Les circonstances de la révélation du verset

Parlant des motifs de la Révélation de cette Parole d’Allah : «Ils nourrissent le pauvre, l’orphelin et le captif pour l’amour d’Allah…».

Selon certains exégètes sunnites du Coran ce verset a été révélé à propos des Ahl al-Bayt (a).

, al-Wâhidî a écrit:

«Selon ‘Atâ’, citant ibn ‘Abbâs : « Le motif en est que ‘Alî ibn Abî Tâlib a offert un jour ses services pour arroser des dattiers pendant toute une nuit, contre un peu d’orge. Lorsqu’il reçut l’orge, le lendemain matin, il en moulut le tiers et on en fit un mets appelé al-khazîrah. Quand le mets fut prêt, un pauvre se présenta, et on le lui donna. Puis on fit cuire le reste de l’orge. Lorsque ce fut prêt, un captif polythéiste se présenta, et on lui donna le mets. Et ils restèrent à jeun ce jour-là. Ce Verset fut alors révélé, à cette occasion. » Ainsi, les exégètes s’accordent-ils pour affirmer que ce Verset a été révélé à propos de ‘Alî et de sa Famille [Fâtimah, al-Hassan et al-Hussayn], bien que les récits divergent quant à la narration de l’événement.»

On peut donc voir, dans ce Verset, un témoignage indiquant que les Ahl-ul-Bayt sont des gens pieux, qui dent vers le Paradis ceux qui les suivent.

Zamakhshararî, un des exégètes sunnites écrit :

« Il est rapporté de Abbas que Hasan et Husayn furent souffrants. Le Prophète vint leur rendre visite avec un groupe de ses compagnons. Il dit à Ali: Ô Abu al-Hasan, il est convenable que tu fasses un nazr (vœux pieux) pour la santé de tes enfants. Ali, Fatima et Fidda ont dit qu’ils jeûneront pendant trois jours si les deux enfants retrouvent la santé. Les deux enfants retrouvèrent la santé. Ali emprunta trois kilo d’orge. Fâtima a fait du pain avec un tiers de l’orge (pour leur premier repars de rupture de jeûne). Au moment de l’ Iftâr (rupture du jeûne) un mendiant arriva devant la porte de la maison et dit : Ô les gens de la Maison de Muhammad! Je suis un misérable des misérables musulmans; donnez-moi à manger; que Dieu vous donne des nourritures célestes. (Les gens de la Maison) l’ont considéré comme prioritaire, lui donnèrent tout leur pain et se contentèrent de l’eau. Le lendemain ils jeûnèrent à nouveau. Le moment de la rupture du jeûne, un orphelin arriva devant la porte de la maison. Ils lui donnèrent encore leur repas. Leur troisième jours de jeûne, lors de l’ Iftâr, un captif arriva devant leur porte, et ils lui donnèrent encore leur pain. Le lendemain matin Ali (a) prit la main de Hasan et Husayn et alla chez le Prophète (s). Ce dernier les a vu tremblants de faim et leur dit : en vous voyant dans cet état je me sens mal. Il se leva et les accompagna chez eux, et vit Fâtima en train de prier dans le Mihrâb ayant des cernes sous les yeux. Il devint si triste. Tandis qu’à ce moment-là, l’ange Gabriel lui apparut et dit : Dieu te félicite pour avoir une telle famille! et lui récita cette sourate (la Sourate al-Insân) »[6].

Certains exégètes du Coran pensent que cette histoire concerne un seul jour, et non pas deux jours; et ont dit que ces versets ont été révélés à propos de la prééminence de Ali (a). Il est dit que Ali a travaillé ce jour-là pour un juif contre une somme d’orge. Il apporta l’orge à la maison où Ils préparèrent un repas avec un tiers de cette somme; lorsqu’ils voulaient le manger, un misérable arriva, Ali lui donna tout le repas. Ensuite ils préparèrent un autre repas avec un deuxième tiers de l’orge; lorsqu’ils commentèrent à le manger, un orphelin arriva et ce fut sa part à lui; et enfin lorsque la troisième et la dernière part de l’orge fut prête à manger, un captif des mécréants arriva, et ils lui donnèrent cette dernière part[7].

6- Quelques-uns des Versets coraniques concernant Amîr al-Mu’minîn ‘Alî ibn Abî Tâlib

De nombreux Versets coraniques ont été révélés à propos du « Frère » du Messager d’Allah et Doyen de sa Famille, l’Imam ‘Alî ibn Abî Tâlib, qui a été élevé dans la maison du Prophète depuis sa première enfance[8]. Mentionnons-en quelques exemples:

Le Verset de la Wilâyah

«Vous n’avez pas de Maître en dehors d’Allah et de Son Prophète, et de ceux qui croient: ceux qui s’acquittent de la Prière, ceux qui font l’aumône tout en s’inclinant humblement. Ceux qui prennent pour Maîtres Allah, Son Prophète et les Croyants : voilà ceux qui forment le parti d’Allah, et qui seront les vainqueurs (Sourate al-Mâ’idah, 5 : 55-56)

Circonstance de la révélation

Le verset 55 de la sourate al-Mâ’ida fut révélé sur l’Imam Ali (a). Toutes les exégèses du Coran sont d’accord sur ce point.[9] Parmi les savants sunnites, certains comme Qâdî Îjî, approuvèrent cette interprétation.

De plus, Qâdî Îjî dans son livre Mawâqif[10], Jurjânî dans son livre Sharh Mawâqif[11], Sa’d ad-Dîne Taftâzânî dans son livre Sharh Maqâsid[12] et ‘Allâma al-Hillî dans son livre Sharh Tajrîd[13] déclarèrent que d’après l’unanimité des savants, ce verset fut révélé sur l’Imam Ali(P) Selon al-Zamakh-charî, dans « Al-Kach-châf »: «Il [ce Verset] a été révélé à propos de ‘Alî (qu’Allah ennoblisse son visage) lorsqu’un mendiant l’a sollicité pendant qu’il était en position d’Inclination dans sa Prière, et qu’il a laissé tomber pour lui sa bague -qui flottait à son petit doigt- sans interrompre sa Prière. Si vous vous demandez comment il [ce Verset] peut être relatif à ‘Alî (qu’Allah ennoblisse son visage), alors que le terme désigne un pluriel, je vous répondrai : si le terme désigne un pluriel, bien qu’il s’agisse d’un seul homme, c’est pour inciter les gens à faire comme lui -dans le but d’obtenir la récompense qu’il a obtenue – et pour rappeler que la nature des Croyants devrait être tellement soucieuse de la piété, de la bienfaisance et du secours envers les pauvres, que même quand ils sont en train de faire la Prière, ils ne devraient pas ajourner l’accomplissement d’une action de bienfaisance – qui ne supporte aucun retard- jusqu’à la fin de leur Prière.» [14]

Narrateurs qui rapportèrent cette circonstance

Parmi les compagnons

Abd Allah b. Abbas[15]

Abû Râfi’ Madanî[16]

‘Ammâr b. Yâsir[17]

Abû Dhar al-Ghifârî[18]

Anas b. Mâlik[19]

Miqdâd b. Aswad[20]

Parmi les Tâbi’ûn (élèves des compagnons)

Muslimat b. Kahîl[21]

‘Atabat b. Abî Hakîm[22]

Suddî[23]

Mujâhid[24]

Notes:

  1. Al-Farahidi, al-‘Ayn, vol.7 p.153
  2. Al-Turayhi, Majma’ al-bahrayn, vol.1 p.266
  3. Il s’agit de l’Ordre donné dans le Verset (« Priez sur… »). Les Savants en matière de Fondements de la Jurisprudence (Uçûl al-Fiqh) ont discuté de l’indication de l’obligation que comporte cet Ordre. A leur avis, chaque fois qu’un Ordre est donné, dans le Livre ou la Sunnah, il indique une obligation, à moins qu’il ne soit associé à un élément indiquant qu’il ne s’agit que d’une recommandation.
  4. Al-Fakhr al-Râzî, « Al-Tafsîr al-Kabîr », Sourate al-Ahzâb, verset 56.
  5. Al-‘Allâmah al-Tabâtabâ’î, « Al-Mizân fî Tafsîr al-Qur’ân ».
  6. Zamakhsharî, al-Kashshâf, vol 4, p 670; voir aussi : Le Coran, traduction de Bahâ’ ad-Din Khurramshâhî, sourate Insân, p 579
  7. Baghawî, Ma’âlim al-tanzîl, 1420 h.l. vol 5, p 191-192
  8. Une famine dévastatrice avait sévi à La Mecque avant le commencement de la Mission Prophétique de Muhammad. Le père de l’Imam ‘Alî, Abû Tâlib, étant alors démuni, le Saint Prophète a emmené ‘Alî chez lui pour aider son oncle (Abû Tâlib) dans son éducation et le soulager de ses charges financières.
  9. Rahîmî Isphahânî, Wilâyat wa Rahbarî, v 3 p 119 – 121
  10. Îjî, Al-Mawâqif, p 405
  11. Îjî, Al-Mawâqif, p 405
  12. Taftâzânî, Sharh al-Maqâsid, v 5 p 269
  13. ‘Allâma Hillî, Kashf al-Murâd, p 191
  14. Hâkim Haskânî, Shawâhid at-Tanzîl, v 1 p 232
  15. Tabarânî, Al-Mu’jam al-Kabîr, v 1 p 320 – 321
  16. Suyûtî, Ad-Durr al-Mansûr, v 3 p 106
  17. Ibn Taymîyya, At-Tafsîr al-Kabîr, v 12 p 26
  18. Hâkim Haskânî, Shawâhid at-Tanzîl, v 1 p 225
  19. Hâkim Haskânî, Shawâhid at-Tanzîl, v 1 p 228
  20. Suyûtî, Ad-Durr al-Manthûr, v 3 p 105
  21. Ibn Abî Hâtam, Tafsîr al-Qur’ân al-‘Azîm, v 4 p 1162
  22. Tabarî, Jâmi’ al-Bayân, v 10 p 425
  23. Tabarî, Jâmi’ al-Bayân, v 10 p 426
  24. l-Zamakh-charî, « Al-Kach-châf », tafsîr Sourate al-Mâ’idah, V.55.
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