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La religion répond à un besoin social
Comment pourrait-il qu’une religion contient tous les nécessités pour le salut humain ?
Comment pourrait-il qu’une religion contient tout ce qu’un homme l’a besoin pour son salut jusqu’à la fin de l’histoire ? Comment pourrait-il qu’une religion guide toujours un homme qui est sous l’influence tant de changement, d’évolution et de progression ?
Résumé de la réponse
Pour la solution de ce problème, faut-il réfléchir à propos de l’homme afin de comprendre cela : si l’homme est toujours sous l’influence de changement et d’évolution et tous ses états sont sous la transformation ? Ou encore, y a-t-il une cellule stable au-delà de cette écorce évoluée ; c’est-à-dire la même nature qui unit le passé, le présent et la future de l’homme et fait de lui une identité dans le procès historique et de plus, interprète la culture et la civilisation humaine ?
Réponse détaillée
Comme certains n’avaient pas de réponse pour cette question, ils ont accepté, en renonçant de cette prétention, que le mystère d’être terminé la religion c’est la saturation de l’homme par rapport d’orientation divine à cause de la progression raisonnable et pensive !!! Ils ont dit : la terminaison de la religion c’est-à-dire que les hommes n’ont plus besoin d’un religion à cause de leurs maturité.[1] Et comme ce sujet c’est lequel qu’a déjà dit Iqbal Lahouri et aussi les autres, alors ils l’annoncent avec cette forme d’éclat : il y a deux types de saturation : la saturation inadmissible et celle d’admissible ; la saturation inadmissible c’est-à-dire que l’homme prétend à être saturé malgré son besoin. Cette saturation, c’est la saturation inadmissible. Par exemple, si quelqu’un est malade et il a besoin de médecin, mais il ne va pas chez lui et répète, en même temps, cette phrase que je n’ai pas besoin de médecin, on dit c’est la saturation inadmissible. Mais pour donner un exemple de la saturation admissible, on dit qu’on est malade et il a besoin de médecin, il va chez lui. Après la guérison, le malade n’est plus besoin de médecin. Ici, le médecin fait de sorte que sa relation avec le malade se rompt à la fin. Si le médecin veut maintenir sa relation avec le malade, faudrait-il essayer de sorte que le malade se poursuive afin que le malade va et vient continuellement chez lui ; mais le médecin compatissant essaie de faire bien son travail et en effet, il rompt sa relation avec le malade. Si le médecin fait comme ça, le malade se guérira et en effet n’aura pas besoin de médecin. La relation entre un instituteur et un élève c’est comme ça ; si l’instituteur veut faire bien son travail, essayera d’enseigner de sorte que l’élève n’aura plus besoin d’un instituteur. Alors, un instituteur compatissant aussi fait tant que sa relation avec l’élève se rompt finalement ; par conséquence, l’élève ne reste plus un élève, mais il sera un instituteur à côté de le sien. Certains disent : les prophètes ont fait comme ça. C’est-à-dire, les prophètes apprennent, comme un instituteur compatissant, aux hommes et ils arrivent, sous l’effet de ces apprentissages, à un niveau culturel qui n’ont plus besoin des prophètes. Comme le malade qui n’a pas besoin de médecin après sa guérison et comme l’élève qui n’a pas besoin d’instituteur après arriver au niveau de celui-ci. Pour eux, le mystère de la terminaison c’est ça. L’objectif d’Iqbal aussi, était celui-ci quand il dit qu’en arrivant le prophète [Mohammad] (que la paix soit sur lui et sa famille), les hommes n’ont plus besoin d’autre prophète. C’est-à-dire, les institutions du prophète se développe entre les hommes puis, ils n’ont plus besoin d’institution et aussi d’autre prophète.[2]
Mais la cause de besoin humain de religion ce sont les sujets que l’homme ne peut pas les trouver à l’aide de la raison, du sens et de son expérience. Cette limitation à propos des outils de notre connaissance s’est certifié par la raison et le Coran saint aussi, l’a fait allusion : « il vous a enseigné ce que vous ne pouviez pas le savoir ».[3] Ainsi, l’homme ne peut jamais être saturé de religion.
De l’autre côté, si la saturation de religion était probable, ça faudrait-il tomber depuis l’apparition de l’islam et alors, l’homme devrait passer sa vie avec la raison. Mais l’histoire contemporain c’est le meilleur témoin pour annuler de ce sujet. L’homme non seulement n’a pas de sens de la saturation de religion, mais aujourd’hui, après la période de la révolte contre la religion à la suite de renaissance, et en effet goûter les amertumes variables dans cette voie, il se voit chaque moment plus proche à religion et aussi plus besoin de celle-là.
Un autre groupe a accepté la théorie de la religion parfaite et a prétendu que la religion terminale est aussi parfaite que l’homme et elle s’adapte toujours aux nouvelles exigences. Cette croyance a introduit l’évolution dans la religion et dans l’autre côté, a renoncé l’éternité des enseignements religieuses.
Et le troisième groupe connaît la différence entre « la religion » et « la connaissance religieuse ». Ils ont dit : « la nature de religion » est stable et « la connaissance religieuse » est variable et en train de parfaire comme les autres connaissances humains. Ils savaient en même temps qu’une chose variable et décadente ne peut pas être saint. Alors, ils ont accepté que « la religion est stable et saint et la connaissance religieuse, variable et exclu du champs sainteté ». Mais l’homme peut trouver « la connaissance religieuses » et au contraire, « la religion » reste intouchable dans sa place privée. Cette religion est exclue de la définition de « religion envoyée » ; car, comme nous avons déjà dit : la religion envoyée c’est un recueil des sujets pour guider de l’homme envoyée par Dieu et puis annoncée par le prophète. Si nous nous appelons la religion tout ce qui sont annoncées et entrés dans les textes religieux et nous insistons en même temps sur le changement et l’évolution nécessaire et inévitable de la connaissance religieuse, nous avons, en fait, exposé « la religion » à l’évolution et nous avons présenté la même solution précédente sous une nouvelle forme. Par conséquence, nous sommes obligés dire : cette religion ne peut pas être sainte.[4]
Pour la solution de ce problème, faut-il réfléchir à propos de l’homme afin de comprendre cela : si l’homme est toujours sous l’influence de changement et d’évolution et tous ses états sont sous la transformation ? Ou encore, y a-t-il une cellule stable au-delà de cette écorce évoluée ; c’est-à-dire la même nature qui unit le passé, le présent et la future de l’homme et fait de lui une identité dans le procès historique et de plus, interprète la culture et la civilisation humaine.[5]
Pour plus d’information :
« velayat va dyanat » de Mahdi hadavi Téhérani, l’institut culturelle de la maison sagesse, Qom, seconde édition, 1380.
Notes
[1] voir aussi : « la racine est dans l’eau : un regarde aux résultats réussi des prophètes » d’Abdolkarim Sorouch, Keyhan Farhangi, n. 29, p. 14v.
[2] voir le même aussi : p. 13-14.
[3] Coran saint, sourat Baqaraa, verset 239.
[4] voir aussi : « les bases de parole Ijtihad » de Mahdi Hadavi Téhérani, p. 317-380.
[5] sujet : religion et homme, sujet : religion, stable et changement.