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Régime de Droit de la femme Selon le martyr et professeur Motahari
Droits Sociaux
Est-ce que dans les droits familiaux, les membres de la famille sont égaux en des droits primitives et différents en des droits acquis ?
Sur ce point il existe deux avis:
Le premier point de vu stipule que dans la famille l’homme, la femme et les enfants disposent de droits primitifs et égaux et ce n’est qu’en droits acquis qu’ils se différentient. Par ces différences se désignera celui qui sera chef ordonnant ou qui sera membre subordonné. Autrement dit, la qualité de fécondateur ne détermine en rien le droit légitime de père ou de mère. On retrouve ici la même loi de ‘similarité des droits de l’homme et de la femme dans le régime du droit familial’ qu’on a faussement dénommé « l’égalité des droits ».
Le deuxième point de vu sur cette question est que les droits premiers des membres de la famille sont différents. Le mari en tant qu’époux et père a des devoirs et une autorité, la femme en tant que mère et épouse des devoirs et une autorité spécifique et il en va de même pour les enfants. C’est cette même loi qui reconnaît l’égalité entre les membres de la famille mais ne reconnaît pas la similitude entre ces membres. L’Islam a admis cet avis et a établis une division des devoirs familiaux. Le Martyr Motahari attire l’attention sur la nature des droits familiaux de l’homme et de la femme, puis il soulève deux questions:
– Les différences naturelles entre l’homme et la femme se limitent-elles à la différence des appareils génitaux ou va au-delà de cela ?
– Le problème de la détermination des droits de l’homme et de la femme est-il conditionné par les différences naturelles entre ces deux êtres ?
Les études précises et les recherches biologiques et psychologiques ne laissent aucun doute que les différences entre l’homme et la femme sont bien au-delà de la question de l’appareil génital. La médecine physiologique et biologique dit que les différences profondes entre l’homme et la femme causent certaines différences dans leurs droits et leurs devoirs.
Du manque d’attention de ces différences naturelles entre ces deux sexes, les féministes ont cru que ces deux sexes peuvent recevoir une seule forme d’éducation et assumer des tâches et des responsabilités similaires. Or la femme diffère de l’homme sur différents points. Chaque cellule de son corps et de ses organes, surtout son système nerveux, portent une marque de sa féminité. Les lois physiologiques ne peuvent pas se recréé selon nos désirs. Les femmes doivent exploiter et développer leurs dons naturels dans leurs propres chemins sans imitation aveugle à l’homme. Leurs devoirs sur le chemin de l’évolution humaine sont plus importants que ceux de l’homme et elles ne doivent pas l’abandonner ni la négliger. C’est sur cette même différence que l’éducation des filles doit différer de celle des garçons.
Les différences entre la femme et l’homme.
Le martyr Motahari rejette explicitement l’avis de ceux qui se servent des différences entre l’homme et la femme pour argumenter et prouver la supériorité de l’homme sur la femme.
L’allusion au défaut de la femme était plus importante en occident qu’elle ne l’était en orient. Les occidentaux n’ont pas respecté de limite pour minimiser la femme. Il était parfois dit de l’E’glise et des religions que ‘la femme doit avoir honte d’être une femme’ ou bien: ‘la femme est l’être qui a des cheveux longs et dont la sagesse est courte.’; ‘La femme est le dernier être sauvage que l’homme a domestiqué’; ‘la femme est entre l’animal et l’homme.’ Etc.…
Or les différences entre l’homme et la femme viennent de la proportion et non d’un défaut ou d’un manque de perfection. C’est en fonction du rôle de chacun dans la vie que la nature a envisagé leurs particularités.
Lorsque le martyr Motahari se met à étudier les avis de Platon et d’Aristote, on y trouve que selon Platon l’homme et la femme ont des aptitudes semblables et la femme peut donc assumer les mêmes devoirs que ceux de l’homme. Mais Aristote, est d’un avis contraire à celui de son maître et dit que les devoirs que la nature a désigné pour l’homme et la femme sont différents, il précise que les vertus que chacun d’entre eux leurs appartiennent spécifiquement.
La science et les recherches d’aujourd’hui montrent plusieurs différences sur le genre des droits et des devoirs, et la place qu’ils tiennent dans la continuité des générations. La nature a créé l’homme et la femme pour la continuité des générations, la coopérations des deux sexes est nécessaire, elle projette leur réunification et leur a donné des sentiments leurs demandant de vivre l’un avec l’autre. Si la femme avait des caractères masculins, il lui serait impossible pour elle d’attirer l’homme. De même que si un homme possédait des qualités physiques et psychiques de la femme, une femme ne pourra jamais le considérer comme champion de sa vie et elle-même ne considèrera la conquête du cœur de cet homme, comme un grand art. L’homme est créé conquérant du monde et la femme conquérant de l’homme. Voici le grand chef d’œuvre de la création. Créer deux êtres de sortes que chacun cherche l’autre et veut le bonheur de l’autre, permettant ainsi au sacrifice d’un chacun pour la cause de l’autre un moment agréable pour tous. Ce sacrifice n’est pas né d’un besoin sexuel et charnel ni d’un sentiment d’exploitation de l’autre. Il n’est pas non plus géré par les relations entre l’homme et les objets, mais bien une relation affectueuse qui aboutit à l’union entre ces deux sexes, et entraîne cet amour tant convoiter entre ces deux êtres. Comme le Coran le dit:
Parmi ses signes: il a créé pour vous, tirées de vous, des épouses afin que reposiez auprès d’elles et il a établi l’amour et la bonté entre vous. [1]
La question du douaire.
Le Martyr Motahari étudie l’historique du douaire dans la vie humaine en citant quatre périodes que les sociologues ont définis sur ce sujet:
La première période était celle où la mère était souveraine. La deuxième période celle ou cette souveraineté tombe dans les mains des hommes, qui arrachait la femme de l’autre tribut. Dans la troisième période l’homme se rendait dans la maison du père de la fille et l’amadouait dans le but de posséder cette fille. Et enfin, dans la quatrième période l’homme épousait la fille après avoir offert un présent. Excepté la première période, l’homme se savait être le souverain de la femme et pouvait tirer profit de cette femme par des exploits, ou par une somme. Mais il y a encore une période que les sociologues n’ont pas indiquée: celle de l’Islam.
Dans le régime du droit musulman, la femme dispose d’une indépendance économique et sociale. Elle choisit son mari par sa propre volonté, personne n’a le droit de lui demander de travailler afin de l’exploiter, le fruit de son travail lui appartient.
Concernant la question du douaire, le Martyr dit que cette question apparaît lorsque au sein de la création chacun des deux sexes jouent un rôle différent par rapport à l’autre. Les grands gnostiques disent généralement que la loi de la passion est présente dans toutes les créatures, cette loi d’attirer et d’être attiré règne en loi maîtresse sur la création, mais elle diffère par le rôle que chaque être doit effectuer. Selon cette loi la femme a toujours attiré l’homme, ce dernier a toujours fait sa demande à la femme, il devait alors acquérir son cœur, il présentait généralement un cadeau comme moyen d’acquérir ce cœur, il s’agit de ce que l’on nomme « Sadaq ». Cette loi appartient à un règlement général dont le projet est dessiné au sein de la créature par la main de la nature. Dans certain dictionnaire on traduit le « Sadaq » par le douaire, alors qu’il existe une grande différence entre ces deux concepts. Le douaire [2] est une somme que l’homme devait payer autrefois à son épouse dans le cas de veuvage, l’origine de douaire vient du latin ‘dotare’ (doter). Le terme « Sadaq » vient lui du verbe « Sadqa » qui signifie la vérité et la franchise, pour indiquer l’honnêteté de l’homme et sa franchise dans sa demande en mariage, pour bien montrer que le mariage et l’expression de son amour n’est pas un jeu, mais par ce cadeau de valeur, une valeur sûre. De plus le « Sadaq » n’est pas à payer à la mort du mari, c’est un droit propre à la femme elle peut le réclamer dès l’acceptation du mariage, et il devient obligatoire pour l’homme de payer cette somme dès demande. Ce terme Sadaq a aussi un synonyme dans le terme: Mahr. La racine de ce terme est l’amour et l’amitié.
Le Coran reprend le terme Sadaq dans ses versets, pour bien montrer que le Sadaq est l’expression naturelle et non une innovation de la créature:
Donnez spontanément leur « Sadaq » [3] à vos femmes. [4]
On remarque dans cette petite phrase au moins trois points intéressants:
1. Sadaq vient du verbe Sadaqa tel que nous l’avons explicité plus haut.
2. L’utilisation du pronom féminin pluriel (åõäøóøøø) sur le terme Sadaq montre que ce ‘cadeau’ appartient à lafemme elle-même et non à sa mère, ni à son père.
3. le terme -qui signifie d’après le dictionnaire Abdel-Nour, « cadeau fait à la mariée » [5] et non « spontanément » – précise que le Sadaq n’a aucun titre excepté celui de cadeau, ou de présent.
Il faut noter que cette offre n’existe pas uniquement dans le mariage licite, mais dans toute relation, même illicite, compte tenu de la même règle d’attraction: l’homme apporte un cadeau à la femme pour se faire admettre auprès d’elle.
La société occidentale, qui cherche par tous les moyens d’égaliser les droits des hommes et des femmes, se trouve devant une relation amoureuse qui dépasse les lois prescrites. Ainsi, la nature et la différence des sentiments entre l’homme et la femme, les dépenses qu’un homme peut faire pour plaire à une femme, toutes les relations amoureuses sortent du cadre législatif et ne sont plus contrôlables. Les divorces en occident deviennent des phénomènes courants et difficiles à résoudre.
L’Islam a abrogé les coutumes de l’époque de l’Ignorance.
L’Islam est apparu comme salvateur des femmes de l’époque. L’époque de l’ignorance (al Jahaliya) qui précéda l’Islam, avait encré des coutumes qui réduisaient la femme à un objet. Le Sadaq connu à cette époque était récupéré par les parents de la fille comme salaire pour les frais engagés dans son éducation (le prix du lait). Dans certains cas le mari faute de moyen financier désigné sa sœur ou sa fille comme cadeau pour celle qu’il voulait épouser, cette sœur ou cette fille devenant alors esclave de la belle famille.
L’Islam annula toutes ces habitudes et remis le Sadaq sur sa position naturelle devenant une offre respectueuse de la part du futur mari à sa future femme comme signe d’amour. L’Islam donna à la femme le droit de possession et ne laissa jamais à l’homme le droit de s’accaparer les acquis de son épouse. L’Islam a mis aussi en place un système légal et similaire dans l’exploitation des fortunes individuelles, à la différence de tout ce qui pouvait exister dans le monde de cette époque. L’occident n’octroya ce droit d’indépendance financière à la femme qu’au début du vingtième siècle. L’islam offrit l’indépendance totale à la femme mais n’a pas abrogé la loi du Sadaq, il l’a rendu dans son état naturel, en permettant à ces deux êtres de se rapprocher, et rendre chacun responsable de l’amour de l’autre.
Nafaqa et indépendance économique de la femme.
Le Nafaqa, qui se définit comme les dépenses nécessaires que l’homme doit donner à son épouse pour son bien-être, a une position particulière dans l’Islam qui la différentie de tout ce que l’on peut trouver dans un monde non – islamique.
Avant tout une question se pose: Le Nafaqa prend sa valeur que dans un système où la femme serait assujetti à l’homme, et n’aurait pas d’indépendance économique et financière, alors comment se fait-il que l’Islam qui octroie cette indépendance et interdit cette domination de l’homme, oblige t-il l’homme à donner le Nafaqa ?
L’occident jusqu’au début du vingtième siècle a considéré le Nafaqa comme nécessaire pour marquer le signe d’esclave qu’avait la femme. La femme de l’époque n’avait pas le droit d’acquérir une fortune et devait gérer l’intérieur de la maison. L’homme assurait ses dépenses nécessaires tout comme il assurait les dépenses d’un de ses serviteurs. A notre époque où la femme a acquis des droits de possession nous arrivons à un autre problème. Will Durant dans son livre les Plaisirs de la philosophie, présente la liberté de la femme dans la vision occidentale comme le fruit de la révolution industrielle où les mercantilistes britanniques cherchaient à exploiter une main d’œuvre moins chère, et trouvèrent alors très convenables d’imposer la « corvée » aux femmes et aux enfants. Les capitalistes ont alors légalisé l’indépendance économique de la femme afin de les tirer hors des maisons, et les exploiter dans les usines.
L’Islam qui légalisa, il y a quatorze siècle, l’indépendance financière de la femme et son égalité par rapport à l’homme sur ses biens acquis, le fit pour des raisons humaines et de justice, à la différence, comme on le voit, de l’occident qui ne chercha dans cette légalisation qu’une assurance de leurs propres intérêts.
L’Islam offrit l’indépendance économique à la femme, mais ne détruisit pas, pour autant, la famille. L’Islam proposa une révolution calme et sans préjudice, alors que l’occident, comme le dit Will Durant, libéra la femme de se maison pour la rendre captive des chaînes industrielles des exploiteurs usuriers mercantilistes.
On repose alors la question: quelle est donc la philosophie de la Nafaqa pour la femme dans l’Islam ?
Pour répondre à cette question nous pouvons affirmer que l’Islam en disposant ses lois ne cherche que les bonheurs de l’homme, de la femme, des enfants ainsi que de celui de toute la communauté humaine. Il n’a jamais considéré les intérêts de l’homme contre la femme, ou de la femme contre l’homme. Etant donné que la responsabilité rigoureuse de la génération est naturellement mise sur les épaules de la femme et que l’homme n’y joue qu’un acte dérisoire, étant donné aussi que la femme doit supporter les difficultés de la grossesse et qu’elle ne pourra pas effectuer son travail correctement (les indemnités de grossesse n’ont été accepté que récemment), l’inégalité financière entre l’homme et la femme se créera naturellement compte tenu du rôle de chacun. Afin de compenser cette inégalité l’homme doit assurer ce manque à gagner de la femme, afin que son statut social soit maintenu, et de par son statut social, son équilibre mental, donc le bien être de toute la famille.
Comme il en est souvent le cas dans la nature où le sexe male est souvent le responsable principal de la subsistance de la famille. Son métabolisme lui permet des travaux plus rudes et plus difficiles, que ceux que pourrait faire une femme. La femme a elle d’autre besoin que sa nature recherche. Les soins pour elle-même et pour son environnement, le besoin de maintenir l’aspect social de la famille, de recevoir et de rencontrer les gens. Et toutes ses demandes ne peuvent pas être complètement accomplis avec un travail à plein temps. Une activité extérieure pour elle risque de perturber toute sa famille, et elle se sait être la maîtresse du foyer entraînant une déprime et un stress pour elle-même et pour tous les membres de la famille. Si sa vitalité et sa joie s’affaiblie toute la famille en souffre. Il est nécessaire qu’un des deux parents ne soit pas vaincu par la fatigue afin de garder la capacité de donner une certaine tranquillité à l’autre. Dans ce partage de tâche, l’homme est le plus apte à entrer dans le monde du travail et la femme la plus apte à apporter cette tranquillité. La femme a été créée financièrement dépendante de l’homme et l’homme spirituellement dépendant de la femme. La femme ne peut pas en même temps assumer ses besoins financiers, qui sont quelquefois plus importante que ceux de l’homme, et pouvoir assurer son rôle d’apport spirituel pour l’homme.
Le problème de l’héritage.
Le martyr Motahari commence ce chapitre par une remarque selon laquelle autrefois la femme ne recevais rien en héritage, et a été souvent traité dans l’histoire comme une mineur en la privant de l’indépendance financière. Selon certaine ancienne législation la femme si elle héritait, ses enfants ne recevaient rien. Et dans d’autre législation l’héritage de la femme dépendait de l’homme qui devait acquérir par héritage des biens du défunt.
Cette privation pour la femme avait des sources de réflexion différentes, la plus importante fût le refus de transférer les biens à une autre famille. Une autre cause de cette privation, était leur faiblesse en cas de guerre.
Compte tenu de l’importance de ce facteur dans la souveraineté et la suprématie des tribus dans le monde arabes pré – islamique, l’apparition du verset sur l’héritage en étonna plus d’un:
Remettez aux hommes une part de ce que leurs parents et leurs proches ont laissé, et aux femmes, une part de ce que leurs parents et leurs proches ont laissé; que cela représente peu ou beaucoup: c’est une part déterminée. [6]
Beaucoup d’autres coutumes ont été abolies par l’Islam, coutume qui par leurs caractéristiques dénigré le statut de la femme. Comme l’héritage du fils adoptif, qui héritait alors qu’une fille adoptive n’héritait pas, mais aussi l’héritage lié au pacte de défense mutuelle qui s’établissait entre les gens à l’époque pré – islamique. Une autre coutume voyait directement la femme comme une partie de l’héritage, de sortes que si le défunt avait un fils d’une autre femme, ce fils héritait de la première femme et pouvait l’épouser ou la faire donner comme épouse à un autre homme.
La situation de l’héritage à l’époque Sassanides n’était pas meilleur que celle des arabes. A` cette époque les femmes n’avaient pas de personnalité juridique. Les pères et les maris disposaient des pouvoirs sur les avoirs de la femme et de la fille. Une fille mariée n’héritait plus de son père ni de son tuteur.
Malgré toutes ces coutumes l’Islam imposa une législation qui apporta un nouveau souffle pour le statut social de la femme.
Après avoir étudier tous les chapitres précédents, nous pouvons facilement comprendre la raison de la moitié de l’héritage de la femme par rapport à l’homme. Cette situation particulière de la femme quant à son héritage est due essentiellement au Sadaq et au Nafaqa, qui sont aux yeux de l’Islam des facteurs nécessaires à la solidification de la structure familiale, l’assurance de la quiétude et l’établissement de l’unité entre le mari et son épouse. La suppression de la Sadaq entraînerait l’effondrement de la structure familiale ainsi que la corruption sociale de la femme. Mais comme cette Sadaq est à la charge du mari, l’Islam a compensé cette imposition par l’héritage. L’héritage est alors réduit par la présence du Sadaq et du Nafaqa.
Notes:
1-Chap. 30, les Romains, verset 21.
2-Littré: Portion de biens qui est donnée à une femme par son mari à l’occasion du mariage, dont elle jouit pour son entretien après la mort de son mari, et qui descend après elle à ses enfants. Assigner un douaire. Stipuler un douaire. Il y en a d’aucunes qui font du mariage un commerce de pur intérêt, qui ne se marient que pour gagner des douaires, que pour s’enrichir par la mort de ceux qu’elles épousent, et courent sans scrupule de mari en mari pour s’approprier leurs dépouilles, MOL. Mal. imag. II, 7. L’épreuve la plus rude que cette reine [Henriette-Marie] eut à soutenir fut de solliciter un douaire de veuve auprès de l’homme qui l’avait faite veuve [Cromwell], CHATEAUB. Stuarts, 181.
3-D.Masson utilise le terme de Douaire dans sa traduction. Il devient alors inapproprié d’utiliser ce terme, et il est préférable de laisser le mot Sadaq.
4- Chap.4, les femmes, verset 4.
5- Dictionnaire Abdel-Nour al-Mufassal, Arabe-Français, Dar El-Ilm ul-Malayin, Beyrout.
6- Chap.4, les femmes, verset 7.