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Aidez votre épouse à s’épanouir
Tout comme les hommes, les femmes méritent de progresser. Le mari doit donc se soucier de l’évolution de son épouse et l’aider à s’améliorer.
Il doit pour cela faire très attention à celle qui est sa partenaire de vie, la mère de ses enfants et savoir que sa grande valeur morale et intellectuelle ainsi que son honneur, feront toute la fierté de la famille. Il faut qu’après le mariage, il mette tout en œuvre pour l’assister et la soutenir dans sa quête de perfection et qu’il ne fasse pas preuve d’égoïsme, en ne se préoccupant que de sa propre évolution.
Quel bon mari celui qui pousse sa femme à progresser, à améliorer ses compétences et lui offre pour cela son assistance. Si elle est analphabète, encouragez-la à suivre des cours d’alphabétisation. Si elle n’a pas achevé son école primaire ou secondaire, incitez-la à poursuivre son apprentissage. Et lorsqu’elle sera prête pour le collège, proposez-lui de continuer et d’achever ses études. Si elle n’a pas envie d’étudier, au moins encouragez-la à réviser et à entreprendre des recherches.
Une Dame si elle le désire, peut étudier ou pratiquer un art à la maison. Elle peut par exemple apprendre la calligraphie, écrire un livre ou un article, peindre, coudre ou broder… Ne vaudrait-il pas mieux qu’elle puisse étudier, exprimer ses connaissances, utiliser ses compétences et progresser, plutôt que de rester chez elle sans pouvoir évoluer?
L’homme doit encourager son épouse et lui procurer tous les moyens nécessaires à sa progression et à son épanouissement.
Une femme au foyer qui désire faire des progrès dans sa vie, ne pourra pas continuer à assurer seule l’entretien de la maison. Quelles que soient ses occupations, il devra donc partager avec elle l’accomplissement de toutes les tâches ménagères et la soutenir dans ses projets. S’il s’engage dans cette voie, ce sera la preuve d’une grande sincérité vis-à-vis d’elle et elle saura lui en être reconnaissante.
Lui et ses enfants bénéficieront de ses connaissances, à plusieurs niveaux:
1°) L’éducation des enfants sera plus soutenue et souvent mieux réussie.
2°) Il y aura une meilleure compréhension des sujets familiaux.
3°) Ils trouveront du plaisir à vivre au côté d’une femme intelligente et sage.
4°) L’honneur et le prestige de la famille se trouveront renforcés.
5°) Si elle se mettait au service de la communauté, ils bénéficieraient eux aussi du bienfait de ses connaissances.
6°) Ses activités intellectuelles l’aideront à se protéger des dépressions nerveuses et des maladies mentales.
7°) Le cas échéant, ses revenus pourraient contribuer au financement du coût de la vie familiale.
8°) Elle aura plus confiance en elle et en l’avenir.
L’assentiment du mari ou de votre mère ?
Tant qu’elle vit dans la maison de ses parents, la jeune fille doit obtenir avant chaque initiative leur consentement et se conformer à leurs directives. Mais à partir de la signature de son acte de mariage, elle ne sera plus tenue de le faire.
Dans ce cas, avant toute mise en action d’un projet et en remplacement de l’accord ou du refus de ses parents, l’avis de son mari deviendra prioritaire et ses raisons à lui prévaudront sur les leurs. Il est de son intérêt de gagner son assentiment et de respecter ses décisions finales, même si celles-ci s’opposent aux vœux de ses parents. Parce qu’une décision du mari, motivée par une appréciation éclairée des risques encourus par sa femme est d’une grande valeur et possède une place fondamentale dans le bon fonctionnement de la vie du couple, privilégier cette décision sera pour l’épouse, la meilleure garantie de réussite de son mariage.
La plupart du temps, le manque de formation appropriée et parfois l’insuffisance intellectuelle de beaucoup de mères, sont à l’origine des nombreux problèmes présents entre elles, leurs gendres ou leurs belles-filles. Elles ne comprennent pas et ne pourront donc pas concevoir que les projets ou même les difficultés du couple doivent être étudiés, débattus et résolus en son sein, sans interférence extérieure.
Les pères et mères qui n’ont donc pas compris quel était leur rôle, essayeront de s’impliquer de manière directe ou indirecte dans la vie de leurs enfants devenus grands. La jeune fille ne sera alors plus consciente de ses propres intérêts. Sans aucune connaissance sur ce sujet et donc sans outils à sa disposition, elle n’aura d’autres choix que d’obéir à ses parents, qui lui diront quoi dire et quoi faire. Une mère mettra d’autant plus facilement en œuvre ses plans de déstabilisation contre le couple de sa fille si celle-ci est naïve, tout en lui donnant l’impression d’être bienveillante à son égard. Et si le marié n’accepte pas son intrusion et lui manifeste ne serait-ce qu’un peu de résistance, au lieu d’encourager le jeune couple à s’assumer seul, elle pourrait bêtement s’accrocher à ce comportement absurde et chercher encore plus à les opposer, en le critiquant par exemple auprès de sa fille en des termes tels que ceux-ci: « Je suis triste de la vie de ma fille ! Quel mauvais mari elle a ! Il n’y a rien de bien en lui ! Le cousin de ma fille n’a-t-il pas une vie merveilleuse ? Et sa
cousine, n’a-t-elle pas de belles robes ? Au moins son mari à elle lui achète des vêtements. Ma fille vaut-elle moins qu’une Dame ? Pourquoi devrait-elle vivre comme cela ? Oh combien la vie de ma fille est triste ! »
Des mots tels que ceux-ci feront mouche dans les oreilles d’une fille naïve et des lignes de fractures se créeront inévitablement entre elle et son mari. Son cœur se détachera de lui, elle commencera à lui faire part de son insatisfaction et trouvera des arguments contre lui. Comme de bien entendu, elle obtiendra le soutien de ses parents, qui lui confirmeront qu’elle se trouve dans son bon droit et que pour obtenir gain de cause face à son mari, la meilleure des choses qu’il lui resterait à faire serait de divorcer.
Faites attention à l’histoire suivante :
Une femme âgée de trente ans et nommée… a accusé sa mère âgée de cinquante ans d’être à l’origine de son divorce. Elle déclara : « Ma mère dénigrait constamment mon mari et ceci a donné lieu à de nombreux problèmes entre lui et moi. Finalement, nous avons fini par divorcer. J’ai tout de suite regretté mais en vain, parce que six heure après notre divorce, il était fiancé à la fille de sa tante. J’ai alors été frappée d’un fort ressentiment vis-à-vis de ma mère ». (1)
Un homme âgé de trente-neuf ans nommé… qui voulait échapper à l’emprise de sa femme et de sa belle-mère, a laissé dans une lettre un écrit : « A cause de son refus de venir avec moi à Âbâdân et de son mauvais comportement vis-à-vis de moi, je me suis enfui loin d’elle. Ma femme et sa mère sont responsables de ma mort ». (2)
Un homme bouleversé par les pressions de la mère de son épouse sur son couple, s’est suicidé. (3)
Un homme qui était fatigué de l’ingérence déplacée de la mère de sa femme, se jeta hors du taxi. (4)
En tout état de cause, la mauvaise influence d’une mère ignorante et égoïste sur sa fille, réduira considérablement les chances de succès de son couple.
Par conséquent, une femme qui aspire au bien-être et désire la réussite de sa vie sentimentale, ne prendra jamais pour argent comptant les propos de sa mère vis-à-vis de son couple. Si elle se rend compte que son objectif n’est pas de nuire à son époux ni de compromettre l’existence même de son couple, elle pourra alors si elle le désire, tenir compte de ses conseils, en en parlant avant à son mari. Mais quoiqu’il en soit elle définira d’elle-même, après mûre réflexion là où se situe son intérêt réel, pour en fonction de lui prendre seule ses décisions.
En définitive deux choix s’offrent à vous : soit vous agissez en fonction des ordres et des directives de votre mère avec comme seule perspective les désaccords, les disputes et les batailles rangées entre vous et votre époux, soit vous refusez son dictat et vous aurez toutes les chances de surmonter vos problèmes de couple. Lorsqu’il s’agit de la sauvegarde de son foyer conjugal, la femme sage et intelligente ne choisira jamais d’agir en fonction des instructions de sa mère, ce qui réduira considérablement les conflits entre elle et son mari, la souffrance des enfants, les possibilités de divorce avec à la clé la destruction de son ménage et au bout du compte pour elle, la probabilité d’aménager chez ses parents.
Mais si elle se retrouvait chez eux, à cause de son statut de femme divorcée elle prendrait le risque d’être blâmée par ses frères et sœurs et de ne plus être traitée comme un membre à part entière de la famille. Déconsidérée, rejetée par eux, elle se retrouverait alors dans un dénuement total, sans soutient ni porte de sortie. Si elle sort de sa maison paternelle pour vivre seule, comment pourrait-elle alors s’en sortir ?
Si elle réussit à se remarier, rien ne lui prouve que son nouveau mari saura remplacer le précédent et la rendre heureuse car dans la plupart des cas, les hommes qui se marient avec des femmes divorcées ont eu même vécu un divorce ou alors, sont veufs et ont donc beaucoup de problèmes personnels à gérer. Il ne faudra pas non plus négliger la présence d’enfants d’un côté comme de l’autre et leurs difficultés d’adaptation liées notamment à la séparation de leurs parents ou au décès de l’un d’entre eux. Et en restant soumise à la mauvaise influence de sa mère, elle pourrait de nouveau répéter les mêmes erreurs du passé et rendre le quotidien de son nouveau mari très difficile, au point peut-être de pousser le pauvre homme au suicide.
Finalement sa nouvelle vie pourrait se révéler plus compliquée que la précédente, la contraindre au désespoir et la pousser elle aussi vers l’autodestruction.
Lorsqu’il s’agira de son couple, une femme sage et intelligente se gardera bien de solliciter les commentaires de sa mère ou de suivre ses recommandations.
Elle pourrait par exemple lui dire : « Chère mère ! Maintenant que je suis mariée, il me faut prendre soin de mon foyer et obtenir la satisfaction de mon mari. Je dois faire preuve d’un dévouement sans borne à son égard. C’est lui qui parviendra à me rendre heureuse et c’est à ses côtés que je réussirai à surmonter tous les aléas de la vie. Et quelle que soit l’intensité des épreuves qui nous attendent, c’est avec lui et lui seul que je les vivrai et c’est donc ensemble que nous essayerons de les surmonter. Je ne connais personne comme lui, c’est un homme bienveillant et de toute chose, je ne désire que son assentiment. Et si vous désirez garder ma confiance, n’intervenez pas dans notre vie privée, sinon je n’aurai comme autre choix que de m’éloigner de vous ».
Si votre mère tient compte de vos arguments, elle prendra fait et cause pour vous et vous n’aurez plus à subir ses assauts répétés. Dans le cas contraire, vous devrez vous éloigner d’elle.
Dans une telle situation, l’argument qui consiste à dire « je ne peux agir ainsi avec ma mère » ne tient pas debout. Vous réduirez certes vos liens vis-à-vis de vos parents, mais vous gagnerez l’amour, la satisfaction et le respect de votre époux.
Le Prophète (PBDLF) a dit : «La meilleure de vos femmes a beaucoup d’enfants, aime son époux, et est vertueuse et discrète. Elle ne se soumet pas à sa famille, mais obéit à son mari. Elle se pare pour lui et se protège des étrangers. Elle se conforme à sa parole et lorsqu’ils sont ensemble dans l’intimité, elle agit selon sa volonté, sans perdre son honneur ni sa modestie».
Puis, le Prophète (PBDLF) ajouta : « La pire de vos femmes, c’est celle qui se soumet à sa famille et désobéit à son mari, est sans enfants et est rancunière et n’a aucune crainte de commettre de mauvais actions. Elle se pare en l’absence de son mari et se maquille. Elle se refuse à lui dans l’intimité et elle n’accepte pas ses excuses ni ne pardonne ses erreurs ». (5)
Divertissements pour les hommes
Certains hommes aiment se divertir à la maison. A cet effet ils élaborent parfois des passes temps spéciaux. Ils collectionnent par exemple les timbres, différents types de photos, des échantillons d’objets ou de journaux, des signatures, des livres, des manuscrits… Certains élèvent des animaux tels que : les poulets, les rossignols ou les canaris. D’autres collectionnent les dessins et les peintures de maîtres ou sont passionnés par le jardinage et les fleurs, d’autres aiment lire les livres et les revues.
Ces passe-temps font partie des meilleurs loisirs. Non seulement ils sont inoffensifs pour ceux qui s’y adonnent, mais en plus ils renferment en eux une très grande utilité. D’une part l’homme aime rester chez lui pour les pratiquer et d’autre part, ils lui procurent un grand soulagement mental. Ils permettent de traiter la tristesse et les inquiétudes liées au chômage ou le stress provoqué par un travail trop intensif. Ils font donc partie des moyens de traitement des affections mentales. Ceux qui exécutent diverses activités, sont effectivement moins touchés par les problèmes de nerfs et les troubles psychogènes. Parce qu’ils s’intéressent à la maison et qu’ils sont en constant mouvement, ils ne traineront pas dans les rues, ne seront pas contaminés par de dangereux agissements et se prémuniront contre la corruption.
Par conséquent, les Dames doivent respecter les passe-temps honorables de leurs maris aussi saugrenus soient-ils, ne pas chercher à les humilier ni à les blâmer, et ne pas considérer ces loisirs comme étant inutiles et stupides. Elles doivent au contraire les encourager à continuer et même tenter de collaborer avec eux, en mettant pourquoi pas elles aussi la main à la patte.
Les parents de l’époux
Les litiges entre l’épouse et la famille de son mari font partie des problèmes de la vie du couple. Les mauvaises relations entre elle, sa belle-mère, sa belle-sœur et son beau-frère en sont bien évidemment les causes.
D’une part c’est elle qui peut chercher à prendre le contrôle de son mari, pour le pousser à rompre ses liens familiaux. Si elle réussit à l’influencer dans ce sens, il commencera à ne plus faire attention à sa mère, sa sœur et son frère. Il commencera ensuite de leur mentir et deviendra peut-être violent à leur égard. D’un autre côté, si la belle-mère considère son fils comme étant sa propriété, elle essayera de le tenir sous sa coupe. Dans ce cas, la jeune mariée sera livrée à la vindicte de sa belle-famille, à la médisance de sa belle-mère, à ses mensonges bien élaborés et la situation du jeune couple pourrait alors très vite se dégrader, surtout s’ils vivent tous ensemble dans la même maison. Car si toutes les deux ou l’une d’entre elles s’entête par ignorance, elles se combattront alors avec férocité et cette lutte sans merci conduira peut-être la jeune mariée jusqu’au suicide. Voici quelques exemples :
Une jeune mariée nommée… maltraitée par la mère de son mari, s’est immolée par le feu. (6)
A cause des fausses excuses et de l’abus de la mère de son mari, une femme s’est immolée. (7)
Nuit et jour la jeune mariée et sa belle-famille se disputent pour un oui ou pour un non, mais la tristesse, la douleur profonde et l’inconfort sont pour l’homme. Car l’inconvénient majeur pour lui, c’est qu’il lui sera très difficile d’arrêter les disputes des deux côtés ou de prendre parti. En effet d’un côté son épouse découvre que ses beaux-parents ferment volontairement les yeux sur ses centaines de rêves et ses nombreuses espérances, sur son désir d’être indépendante, d’avoir sa propre maison et vivre seule avec son mari. Ainsi en son âme et conscience, il pensera alors qu’il est de son devoir de soutenir sa partenaire pour la vie.
D’un autre côté il pourrait se dire que son père et sa mère ont pris soin de lui pendant des années, avec des centaines de souhaits eux aussi et de grands rêves à son sujet et qu’il serait injuste de couper les liens familiaux avec eux. Et penser que dans ce monde, avec ses milliers de hauts et de bas, son nombre incalculable d’épreuves, ses maladies, les infirmités, la détresse et l’impuissance, l’hostilité et l’amour, les accidents et la mort, les seuls qui pourraient lui prendre la main et le soutenir sont ses parents et ses proches. Il se dira qu’on ne peut être sans défense dans ce monde et que sa famille constituera son meilleur refuge.
Le voici donc pour ainsi dire à la croisée des chemins et dans l’incapacité de trancher entre son épouse et ses parents.
S’il est un homme sage il devra : écouter ce que dit son épouse, prendre son père et sa mère par la main et en fonction de leur attitude à tous les trois, tenter d’élaborer des solutions. Ce sera bien évidement un travail très difficile, mais si sa femme est obéissante et intelligente et qu’elle ne fait preuve ni de ténacité ni d’obstination dans son comportement vis-à-vis de sa belle-famille, la résolution des problèmes peut-être facilitée. Il a besoin d’elle pour élaborer des solutions viables, puisqu’elle est la personne la plus proche de lui. Si elle fait preuve d’humilité envers sa belle-mère, se met à sa disposition, la respecte, lui exprime son affection, la réconforte, la consulte sur différents sujets, tout en étant chaleureuse et amicale à son égard, celle-ci deviendra sa plus grande partisane.
N’est-il pas dommage pour un être humain de remplacer son éthique, son amour des gens et sa compassion par l’orgueil, l’arrogance et l’égoïsme ? Dans les épreuves et les difficultés de la vie, ne serait-il pas opportun de pouvoir bénéficier de l’aide d’autrui ? Cependant, peu de personnes pensent à celui qui vit une situation difficile et dans les moments critiques, il n’y aura que ses parents et les amis proches qui viendront à lui.
Ne vaut-il pas mieux agir dans ces conditions avec bonté, tendresse et affection vis-à-vis des parents de votre époux, vous joindre à eux, bénéficier de leurs connaissances, de leur affection, de leur amour et de leur soutien ? Est-il louable de la part d’une personne, de fortifier d’un côté ses amitiés envers des personnes étrangères et de rompre de l’autre côté, ses liens et ses relations avec les membres de la famille et les amis proches ? Lorsqu’une personne se retrouve emmêlée dans les problèmes, la plupart de ses amis l’abandonnent tandis que seuls les membres de sa famille se rapprochent d’elle pour la soutenir, les liens naturels de parenté ne pouvant être facilement coupés. C’est à ce sujet qu’un dicton populaire nous dit: « Les membres d’une tribu ou d’une famille, s’ils mangent de la chair humaine, ses os ne seront pas jetés ».
Hazrat Ali (as) a dit : « L’être humain ne doit pas abandonner sa
famille, quand bien même il aurait pour lui l’argent et les enfants. Il leur doit respect et douceur. Ils le soutiennent avec la main et la langue. Ses parents et ses proches sont ses meilleurs défenseurs. Et lorsqu’il est pris, ils se précipitent plus tôt que les autres à son secours. Toute sa parenté lui prendra la main, une main se retirera peut-être, mais beaucoup resteront ». (8)
Chère Dame ! Pour le plaisir de votre mari, pour plus de commodité et de confort, pour trouver de véritables amis et des partisans, pour être son épouse bien-aimée, considérez-vous comme un membre de la famille. Laissez tomber l’obstination et l’égoïsme, l’arrogance et l’ignorance, soyez sage, ne laissez pas votre mari désemparé, restez dévouée, soyez une bonne épouse proche de DIEU, créée pour être aimable.
Notes:
1- Journal hebdomadaire (Etilaat Haftégui) n°1646.
2- Journal Kihôn 15 Farvardine 1352.
3-Journal Etilaat 12 Ordibéhécht 1349.
4- Journal Etilaat 13 Ordibéhécht 1349.
5- Journal Kihôn 4 Esfand 1350.
6- Journal Etilaat 14 Esfand 1350.
7-Journal hebdomadaire (Etilaat Haftégui) n°1646.
8- Biharou-Anwar 74/168.