Ecrit par Jaafar Sadeq Abbas Dédicace À celui qui a versé son saint sang sur la terre de Karbala. À celle qui a poursuivi la lutte contre les despotes. À la famille prophétique qui a subi des afflictions que les montagnes ne peuvent pas en subir
Zaynab, qui s’était enveloppée de la tête aux pieds dans une grand-voile, était montée sur une colline, tout près du campement. Elle avait assisté, soulevée d’enthousiasme, aux exploits de son frère, à la débandade de toute une armée
L’Imam al-Hussein resta longtemps sans rien dire, le regard impénétrable, le cœur glacé. Abbas s’approcha : – Mon Maître, c’est maintenant à mon tour de marcher au combat, comme ont fait tous les autres avant moi. L’Imam al-Hussein ne
– Soldats de Yazid! Je suis venu vous demander si vous me connaissez. L’Imam al-Hussein, qui avait revêtu la tunique et le turban de son grand-père, le Messager de Dieu, faisait face, seul, aux cinq mille hommes de l’armée omayyade.
– N’y a-t-il donc personne pour défendre la famille du Messager de Dieu? N’y a-t-il pas un monothéiste qui craint Dieu pour ce qui nous arrive? N’y a-t-il personne qui nous vienne en aide par amour de Dieu? L’Imam al-Hussein
Tous les fidèles Chiites de l’Imam donnèrent ainsi leur vie sans hésiter. Ils avaient vécu une vie noble, et ils ont connu une mort glorieuse. Même dans la mort, ils entourent, comme pour veiller sur eux, l’Imam al-Hussein et ses fils. Habib fils de
Afrique: Muharram est un symbole qui rappelle aux musulmans la grande tragédie de la bataille de Karbala Muharram est la période de l’année où les amoureux des Ahlulbayt (as) du monde entier, se rassemblent par centaines et par milliers pour pleurer le
La Tragédie du Karbala, récit de dernières instantes d’Imam Hussein avant son martyre L’Imam Hussein sauta à terre et prit Soukeina dans ses bras. -Soukeina, ma chérie, pourquoi n’es-tu pas restée sous la tente? Ta mère a besoin que
La Tragédie du Karbala, récit de dernières instantes d’Imam Hussein avant son martyre Le Jour D’affliction, De Tristesse, De Lamentation, et de pleurs L’Imam Hussein était seul. Tout seul, sans personne pour l’aider, sans personne