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Les bienfaits du jeûne
En se penchant sur les versets coraniques, on peut remarquer que le jeûne est avant tout, une prescription divine ” On vous a prescrit le jeûne pendant des jours comptés. Donc, quiconque d’entre vous est malade ou en voyage, alors, qu’il compte d’autres jours sur la période où vous serez guéris ou rentrés du voyage. Même pour ceux qui pourraient le supporter, il y a une rançon : la nourriture d’un pauvre. Et si quelqu’un fait plus, c’est bien, pour lui ; mais il est mieux pour vous de jeûner, si vous savez ! (2:184)
Ce verset 184 nous dit donc que les ordres divins prennent toujours en compte la capacité des gens. En d’autres termes, l’Islam donne des indications précises, et les fidèles doivent obéir aux prescriptions divines, chacun de son mieux suivant sa capacité, car en Islam, rien n’est absolu dans ce domaine.
Par conséquent, la pratique du jeûne a été prescrite pour une période précise de l’année, c’est-à-dire au mois béni de ramadan. Mais si quelqu’un est malade ou qu’il est en voyage, il est exempté de jeûner, et il devra jeûner plus tard, lorsqu’il sera guéri ou après son voyage. Par ailleurs, les gens qui ne peuvent pas du tout supporter le jeûne, ne doivent pas jeûner, selon le noble Coran. Ces individus pourront donner la nourriture d’un nécessiteux pour expier le jeûne qu’il n’a pas fait. Cependant, le noble Coran conseille les fidèles à pratiquer le jeûne du mois béni de ramadan, car c’est mieux pour eux-mêmes.
Ce verset est un exemple qui montre qui montre que l’Islam est une religion de logique et de modération, qui prend en compte les conditions de tous les gens.
Aussi la Tradition (les paroles du Prophète et des Imams) s’est-elle évertuée à expliquer ces effets bénéfiques et à préciser les buts du jeûne, que l’on peut résumer et répartir dans les points suivants:
S’exercer à la patience et affermir sa volonté
Le jeûne de Ramadan, tel qu’il est prescrit par l’Islam est le moyen par excellence d’apprendre à patienter. Cette vérité évidente et concrète pour tous ceux qui accomplissent le jeûne, est clairement soulignée dans les Textes sacrés qui présentent cette obligation cultuelle comme synonyme de “patience”. En effet, selon une Parole divine révélée au Prophète, Dieu a dit:
“Toutes les bonnes actions des descendants d’Adam sont récompensées de dix à sept cents fois leur mérite sauf la patience, pour laquelle Je décide la récompense Moi-même. Or, la patience, c’est le jeûne.”
Le Prophète lui-même a dit du mois de Ramadan qu’il est:
“Le mois de la patience, laquelle est récompensée par le Paradis”.
L’Imam Ja’far al-Çâdiq a conseillé:
«Si un homme venait à être victime d’un grand mal, qu’il jeûne, car Dieu a dit: “Demandez l’aide de la patience …”, c’est-à-dire, du jeûne.»
En fait, en le schématisant, le jeûne consiste à s’abstenir – pendant un temps relativement long – de satisfaire un pressant besoin naturel et légitime qu’on a l’habitude de satisfaire normalement – et qu’on peut satisfaire facilement – dès qu’il se fait sentir. Une telle abstention dont la seule motivation est l’engagement moral pris par le “jeûneur” de la respecter, commande forcément une volonté et une patience renouvelées pendant une «longue journée” qui se répète durant un “long mois”.
Se libérer des habitudes quotidiennes
Le jeûne est l’expression de la soumission aux jugements de Dieu, et de l’interruption de l’assujettissement aux impératifs de certains besoins du corps, qui sont ordinairement légitimes et légaux. Il constitue donc un écran vis-à-vis des coutumes courantes et un engagement provisoire dans une vie austère qui fait sentir à celui qui s’y engage, la faim et la soif, dans 1’intention d’éduquer son âme et de la discipliner.
Apprendre à résister à des habitudes aussi tenaces que celle de satisfaire la soif et la faim lorsqu’elles se font sentir, c’est se libérer de l’emprise de l’Habitude qui enchaîne généralement l’homme et limite sa liberté d’initiative.
S’habituer à la discipline alimentaire
Les médecins et les diététiciens s’accordent pour souligner la nécessité de respecter un certain ordre dans les horaires des repas et de ne pas les soumettre au caprice de la sensation et de l’appétit. Or, le jeûne consiste à s’abstenir de manger et de boire à partir d’une heure précise et à prendre les repas dans des heures plus ou moins précises. Pendant un mois le jeûneur apprend donc à maîtriser sa sensation de faim et de soif et découvre qu’il est très possible de ne s’y plier. Cela l’aidera généralement à mettre de l’ordre dans sa façon de s’alimenter et, occasionnellement, à supporter et à respecter sans difficulté un régime alimentaire lorsque son état de santé l’exigerait.
Assainir le fonctionnement du corps
Le Prophète a dit:
“À toute chose une Zakât (aumône purificatrice), celle du corps est le jeûne”.
Et
“Jeûnez, vous serez en bonne santé”.
Ces quelques mots résument les centaines d’études faites à travers le monde pour souligner les nombreux effets bénéfiques du jeûne sur notre organisme.
Il n’est pas question de traiter ici de détails médicaux trop techniques pour notre exposé, mais on peut rappeler quelques généralités à ce sujet. Ainsi, il est établi que la faim et la soif, engendrées par le jeûne, provoquent généralement la sécrétion d’acides de différentes glandes- lesquels acides s’appliquent à détruire de nombreux germes porteurs de maladies- et réactivent d’autres glandes dont le bon fonctionnement est mis en veilleuse en raison d’un système d’alimentation monotone et invariable des années durant.
En d’autres termes, le jeûne nous fournit l’occasion de réhabiliter la fonction du mécanisme naturel déclenchant la sensation de faim et de soif réelles, après que ce mécanisme a été altéré, au fil des jours et des ans, par des habitudes alimentaires répondant moins aux besoins effectifs du corps, qu’à des caprices gastronomiques et des impératifs d’ordre social, familial, psychologique etc. Ceci dit, on sait que de nos jours, beaucoup de médecins prescrivent la faim et la soif comme traitement pour guérir certaines maladies et pour en prévenir d’autres.
S’habituer à l’honnêteté
Le jeûne est prescrit au musulman dès l’âge de la puberté. Celui-ci est donc soumis à une rude épreuve il est seul, le surveillant et le juge. Livré à la faim et à la soif, il peut céder à tout moment à la tentation de les satisfaire, alors qu’il a à sa portée de quoi manger et boire. La seule chose qui l’en empêche, c’est sa foi en Dieu et sa conscience. En dehors de Dieu, personne n’est témoin de son observance de l’abstinence. Dès son jeune âge, le musulman qui jeûne s’exerce ainsi à être honnête et à respecter ses engagements moraux, malgré les tentations matérielles et la pression de ses désirs et de ses sens.
Le jeûne met à l’épreuve l’honnêteté du croyant. Aussi le Prophète a-t-il dit à ce propos:
“Le jeûne est un dépôt. Sauvegardez donc ce qui vous est confié”.
Refixer la sincérité de notre foi en Dieu
La sainte Fatimah al-Zahrâ’, fille du Prophète a dit dans une oraison prononcée lors du décès de son père: “Le jeûne, c’est la refixation de la sincérité”.
En effet, le jeûne met à l’épreuve la sincérité et la solidité de la foi du Croyant en Dieu, et permet de consolider cette foi. Car c’est une lutte entre le besoin légitime d’apaiser des sensations naturelles pressantes (faim, soif, plaisir sexuel …) et un sentiment intime, un désir spirituel incitant à obéir à la Volonté de Dieu qui veut que l’on résiste à ces sensations. Dieu étant le seul témoin de cette épreuve, la résistance permanente à ces sensations affermit la foi du jeûneur en Dieu et lui permet de constater concrètement la sincérité de sa foi.
Établir un lien étroit avec Dieu et le Jour du Jugement
Dieu dit dans le Coran à propos des privilèges que le jeûne de Ramadan procure au Croyant:
“Quand mes serviteurs t’interrogent à mon sujet, Je réponds à l’appel de celui qui M’invoque, quand il M’invoque. Qu’ils répondent donc à Mon appel; qu’ils croient en Moi …” (Coran 11,186)
C’est dire que Dieu est particulièrement attentif au culte, à l’appel et aux prières de ses serviteurs pendant le mois de jeûne.
Le contenu de ces versets est confirmé dans une autre Parole Sainte révélée au Prophète, à savoir:
«Toute bonne action que les fils d’Adam accomplissent, ils la font pour eux-mêmes. Excepté le jeûne, lequel est pour Moi, et c’est Moi qui le rétribue. Le jeûneur éprouve deux joies: l’une au moment légal de l’Iftâr (fin du jeûne) où il se met à manger et à boire, l’autre, lorsqu’il Me rencontre et que Je le fais entrer au Paradis».
Cette présence divine auprès des jeûneurs, le Prophète la souligne dans le discours où il épilogue sur les innombrables bienfaits du mois béni de Ramadan:
“C’est un mois pendant lequel vous êtes les convives de Dieu, pendant lequel vous êtes parmi ceux qui sont honorés par Dieu. C’est un mois pendant lequel vos souffles sont glorification, votre sommeil, culte, votre action acceptée, votre imploration exaucée». «La faim et la soif que vous éprouvez doivent vous rappeler la faim et la soif du Jour du Jugement».
Pendant ce mois de repentir, de rachat, de réparation et de recueillement, où règne une atmosphère de piété individuelle et sociale, le jeûneur se représente avec joie et quiétude la présence du Seigneur et l’ambiance du Jour du Jugement.
Consoler les nécessiteux
Le Prophète a décrit le mois de Ramadan comme étant, entre autre, le mois de la consolation. Cette appellation est d’autant plus adéquate que le jeûne est une véritable institution d’aide aux nécessiteux. L’Imam al-Bâqer a dit à ce propos:
«Dieu a prescrit l’obligation de jeûner pour que le riche ressente l’affliction de la faim et s’attendrisse sur le pauvre”.
Son fils l’Imam al-Çâdiq, reprend cette explication et la développe:
«Dieu a prescrit le jeûne pour que le riche et le pauvre vivent sur un pied d’égalité, car, le riche n’a pas l’occasion de connaître la famine pour penser au pauvre, étant donné qu’il peut manger tout ce qu’il veut et quand il veut. Aussi, Dieu a-t-Il voulu mettre sur un pied d’égalité Ses créatures en obligeant le riche à éprouver la faim et son affliction afin qu’il s’attendrisse sur le faible et compatisse à l’affamé».
Ainsi la sensation de faim, suffit-elle en soi, et à elle seule, à rappeler au nanti l’affliction de l’affamé, et à l’inciter à se montrer volontairement généreux envers le démuni. C’est un rappel on ne peut plus concret et sans discours éloquent. Il vaut mille prêches.
Toutefois, l’Islam ne s’est pas contenté de prescrire le jeûne pour inciter les riches à nourrir les pauvres. Il a également promis des récompenses au moins égales sinon supérieures à celles du jeûne lui-même, pour chaque geste de générosité lié au jeûne. Le Prophète a dit à cet égard:
«Quiconque offre le repas de l’Iftâr (de la fin du jeûne) à un jeûneur aura une récompense égale à celle du jeûne et à celle de la piété accomplie par la force de ce repas».
L’Imam al-Çâdiq paraphrase en quelque sorte cette parole du Prophète dans les termes suivants:
“Le fait d’offrir à votre frère le repas de l’Iftâr et de lui faire éprouver cette joie, est mieux récompensé que votre jeûne lui-même”.
Quant à l’Imam al-Bâqer, il dit à ce même propos:
«Tout Croyant qui aura offert le repas de l’Iftâr à un autre Croyant, Dieu lui réservera une récompense équivalente à celle de l’affranchissement d’esclave”
Et d’ajouter:
“Et s’il lui offre ce repas pendant tout le mois de Ramadan, Dieu lui réservera la récompense de celui qui libère trente esclaves croyants, et de cette façon sa Prière sera exaucée par Dieu”
Le jeûne purifie notre âme
Il nous purifie des mauvaises mœurs comme l’insouciance, l’opulence, l’avarice et nous habitue aux bonnes mœurs comme la patience, l’indulgence, la générosité ainsi que le fait de lutter contre soi-même pour s’efforcer à accomplir ce qu’Allah agréé comme œuvre.
Le jeûne nous rappelle notre faiblesse
Ainsi que notre nécessité et notre permanent besoin de notre Seigneur, et nous montre ainsi notre vraie condition.
Le jeûne nous rappelle les grandes grâces qu’Allah nous a accordées
Ce qui nous incite à remercier Allah et à employer Ses faveurs dans tout ce qu’Il agrée.
Le jeûne nous rappelle le besoin et la détresse de nos frères
Surtout ceux qui sont pauvres et démunis. Ceci nous incite à être solidaires avec eux et bienfaisants envers eux.
Le Jeûne nous apprend la crainte d’Allah : la taqwa
La crainte d’Allah est une œuvre très importante du cœur qui incite le croyant à se protéger de la colère d’Allah et de Son châtiment ; en Lui obéissant ainsi qu’à Son Messager, en accomplissant ce qu’Il a prescrit et en s’éloignant de ce qu’Il a interdit.
Le jeûne est un moyen de préserver la chasteté et la vertu
En effet le Chaytân se déplace à l’intérieur de l’homme là où le sang circule. Or, le jeûne rétrécit les vaisseaux et fait rappeler Allah et Sa grandeur, ce qui affaiblit le pouvoir du Chaytân et renforce celui de la foi. Ainsi, les croyants redoublent d’ardeur dans le dévouement et commettent moins de péchés.
Le jeûne purifie le corps des poisons
Il lui fait gagner aussi la santé et la force. C’est un moyen très efficace pour guérir beaucoup de maladies.
Le jeûne intercède pour le jeûneur auprès d’Allah et le protège de l’Enfer
Les jeûneurs entrent au Paradis par une porte qui s’appelle Ar-Rayyân
Qui leur est réservée et qui sera fermée après qu’ils soient entrés.
Pour Allah, soubhânah, l’odeur de l’haleine du jeûneur est meilleure que l’odeur du musc
Car elle est conséquente au jeûne. Ce qui montre à quel point Allah aime ce culte au point que ce qui est désagréable pour les hommes devient agréé et aimé par Allah, du fait qu’il résulte de Son obéissance.
Le jeûneur récoltera deux joies formidables
La première sera le moment où il mangera, heureux d’avoir accompli ce culte si prestigieux et de pouvoir profiter de tous les plaisirs qui lui furent interdits par le jeûne. La seconde sera le moment où il rencontrera son Seigneur et retrouvera devant lui, le Jour où il en aura le plus besoin, la grande récompense qu’Allah lui a promise en disant : « Sauf le jeûne. Car, celui-ci est pour Moi et c’est Moi qui le récompensera… ».
Les bienfaits du Ramadan pour le corps
Le mois béni du Ramadan débute, il annonce un mois de réflexion spirituelle, de prières, d’amélioration de soi et d’intensification de la dévotion des principes établis par l’Islam.
Mais connaissez-vous les bienfaits du jeûne pour le corps ?
- Il permet de nettoyer son corps
Le jeûne est avant tout un excellent moyen de désintoxiquer le corps humain, d’améliorer le fonctionnement des organes tout en favorisant un système digestif plus nettoyé. En effet, soumettre son organisme au jeûne, c’est lui permettre de se débarrasser des toxines nocives présentes en son sein, de renouveler les cellules sanguines, de réduire le cholestérol et d’améliorer les performances musculaires.
- Il prévient les problèmes de santé
Les experts ont également constaté que limiter la consommation de nourriture pendant la journée peut contribuer à prévenir des problèmes de santé tels que les maladies cardiaques, le taux de cholestérol élevé ou encore l’obésité.
- Il améliore la santé mentale et le bien-être
Les scientifiques ont étudié le lien entre l’alimentation, la santé intestinale et le bien-être mental. Le jeûne peut conduire à la libération de facteurs protégeant les cellules du cerveau et qui réduiraient la dépression et l’anxiété, ainsi que le risque de démence.
- Il permet une perte de poids saine
De plus comme tout régime alimentaire, de nombreuses personnes ont constaté que, pratiqué correctement, le jeûne les a aidées à perdre de la graisse et à gagner de la masse musculaire maigre.
- Le jeûne connait avant tout une valeur spirituelle
Mais ce mois béni comporte avant tout ces bienfaits physiques, d’immenses bénéfices spirituels. Le mois de Ramadan est également l’occasion pour tout musulman de retrouver une sérénité et une paix intérieure, favorisée par la répression des envies et désirs et par la pratique de la prière.