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Le 20 Jumâdâ II Heureuse naissance de Seyyida Fatima Az-Zahra(p)
Le vingtième jour de Jumâdâ II, l`an 5 après le début du Révélation, de la prophétie, est le jour de l’anniversaire parfumé de la naissance de la Sainte, la Purifiée Sayyida Fatima az-Zahrâ’ (p).
Naissance de Fatima Zahra (a)
Selon Cheikh at-Tûsî dans le livre « Misbâh al-Mutahajjid » ainsi que la plupart des ulémas, la dame Fatima Zahra (a) naquit le vendredi 20 Jumâda al-Âkhira de l’année cinq après al-Bi‘tha.[1]
Un jour, le noble Prophète Muhammad (s), accompagné du Prince des croyants, l’Imam Ali (a), ‘Ammâr b. Yâsir, al-Mundhar b. ad-Dahdâh, Abû Bakr, Umar, al-Abbas b. Abd al-Muttalib et Hamzat b. Abd al-Muttalib, était à Abtah.[2]
L’ange Gabriel descendit sous sa forme originale, déployant ses ailes qui couvrirent l’Est et l’Ouest du monde, lui disant :
« Ô Muhammad ! le Très-Elevé, le Très Haut te passe la paix et t’ordonne de te séparer de Khadidja 40 jours. »
Le Prophète Muhammad (s) ne rencontra plus Khadidja (a). Il se mit à jeûner les jours et ne s’occupait que des actes d’adoration durant toute la nuit. Il envoya ‘Ammâr b. Yâsir chez Sayyida Khadidja (a) pour lui dire :
« Ô Khadidja ! Le fait que je ne vienne pas chez toi, n’est pas dû à une haine quelconque ou parce que je suis hostile envers toi, mais mon Seigneur me l’a ordonné. Certes, chaque jour, Dieu et les anges sont fiers de toi. Reste à la maison et je resterai chez Fatima bt. Asad[3] jusqu’à la fin de l’ordre divin. »
La mère de Fatima Zahra (a), Khadija (a) pleurait plusieurs fois par jour de l’éloignement du Prophète Muhammad (s).
Après 40 jours, l’ange Gabriel descendit, et dit au Prophète Muhammad (s) :
« Ô Muhammad ! le Très-Elevé, le Très Haut te passe le salut de paix et t’ordonne de te préparer à Son présent et Son cadeau. »
Puis, l’ange Michel descendit et mit devant lui, un plateau qui fut couvert par une serviette en soie légère du Paradis et dit :
« Ton Seigneur dit : ce soir, romps le jeûne par ce repas. »
D’après l’Imam Ali (a), au moment de la rupture de jeûne, le Prophète (s), m’ordonnait toujours d’ouvrir la porte afin que tout celui qui veut entrer et manger le repas avec le Prophète (s), puisse venir.
Mais après avoir reçu le message de Dieu, il m’ordonna de ne permettre à personne d’entrer, car ce repas est interdit aux autres.
Dans le plateau-repas, il y avait des fruits du Paradis, une grappe de dattes et de raisins et un peu d’eau paradisiaque. Il mangea des fruits et de l’eau.
L’ange Gabriel versa de l’eau d’un vase du Paradis sur ses mains bénies, Michel les lava et Israfil les essuya avec une serviette paradisiaque. Le reste de nourriture et les récipients sont montés au ciel.
Le Prophète (s) se leva pour faire la prière (surérogatoire), mais Gabriel lui dit :
« Ce n’est pas le moment de la prière ; tu dois aller chez Khadidja. Ce soir, Dieu veut créer un enfant béni de ta génération. »
Il se dirigea vers la maison. Khadidja (a) raconte :
« Je m’habituais à la solitude. Dans la nuit, je fermais la porte, j’accrochais les rideaux, j’accomplissais la prière, j’éteignais la lampe à pétrole et je dormais.
Une nuit, lorsque je dormais, j’ai entendu quelqu’un frapper à la porte de la maison. Je demandai qui est-ce ? Personne ne mérite frapper à cette porte que Muhammad (s).
Le Prophète (s) répondit : « Ô Khadidja ! Ouvre la porte ! C’est moi, Muhammad. »
Quand j’entendis sa voix exaltante, je me levai et ouvris la porte. À partir de ce soir, je sentis la lumière de Fatima Zahra (a) en moi. »
Grossesse de Khadidja (a)
Selon un hadith authentique, cheikh as-Sadûq rapporte d’après al-Mufaddal b. ‘Umar : j’ai posé une question de l’Imam as-Sâdiq (a) concernant la naissance de Sayyida Fatima az-Zahrâ’ (a), il répondit :
Quand Khadidja (a) se maria avec le Prophète (s), en raison de l’hostilité des femmes de La Mecque, elles rompirent la relation avec elle. Elles ne la saluèrent plus et ne permirent pas aux autres femmes d’aller chez elle.
Cela attristait beaucoup Khadidja mais en plus de cela, elle s’inquiétait pour le Prophète (s). Elle avait peur que les gens le blessent et le tourmentent.
Lorsqu’elle tomba enceinte de Fatima Zahra (a), cette dernière lui parlait et la consolait. Khadidja cachait cela au Prophète (a). Un jour, il entra et entendit Khadidja en train de converser avec quelqu’un mais il ne vit personne. Il lui demanda à qui elle parlait ? Khadidja (a) répondit :
« J’ai un enfant dans mon ventre qui me parle. »
Le noble Prophète (s) dit : l’ange Gabriel vient de m’informer que cet enfant est une fille et grâce à Allah, ma descendance sera d’elle, une génération bénie et pure. Ses enfants seront les Imams et les Guides de la religion. Après la fin de la prophétie, Dieu les considère comme Ses califes sur terre.
Quand le moment de l’accouchement s’approcha, Khadidja (a) informa les femmes qurayshites et hachémites de venir chez elle, mais elles refusèrent et lui répondirent :
« Tu ne nous as pas écouté et tu t’es mariée avec Muhammad qui était pauvre et orphelin. Maintenant nous n’avons rien à voir avec toi et nous ne t’aidons plus. »
En entendant leur réponse, elle devint très triste. Soudain, elle vit quatre belles femmes dignes qui ressemblaient aux femmes hachémites. Khadidja (a) eut peur, l’une des dames lui dit :
« N’aie pas peur ô Khadidja ! Nous sommes envoyées par Dieu envers toi et nous sommes ici pour te secourir. C’est moi Saraï[4], la deuxième est Assya bt. Muzâhim[5] qui sera ton intime dans le Paradis, la troisième est Marie bt. ‘Imrân[6] et la quatrième est Umm Kulthûm[7]. Allah nous a envoyées afin d’être auprès de toi lors de l’accouchement. »
L’une d’elles s’assit à son côté droit, l’autre à son côté gauche, la troisième devant elle et la quatrième derrière. Puis, la lumière bénie de Fatima Zahra (a) descendit.
Dès qu’elle arriva à la terre, sa lumière se diffusa et éclaira l’Est et l’Ouest du monde. Dix houris vinrent à la maison de Khadidja (a) en ayant des vases et des récipients.
La dame qui était devant Khadidja (a), prit Fatima Zahra (a) et la lava (al-Ghusl). Avec deux tissus plus blancs que le lait et plus parfumés que le musc et l’ambre, elle couvrit la tête et le corps de Fatima az-Zahrâ’ (a). Ensuite, elle se mit à parler avec le bébé et ce dernier dit :
« J’atteste qu’il n’y a de dieu qu’Allah, que mon père est certainement l’Envoyé de Dieu et le Maître des prophètes, que mon époux est le Maître des successeurs (des prophètes) et que mes enfants sont les Maîtres des descendants. »
Fatima Zahra (a) salua ces dames et les appela par leur nom. Les houris et les dames étaient heureuses de la naissance de la Maîtresse des femmes des mondes.
Une lumière qui n’avait jamais été vue auparavant s’apparut du ciel. Les femmes donnèrent Fatima Zahra (a) à Khadidja (a), en disant :
« Prends cette fille qui est immaculée et purifiée. Dieu bénit cette fille et ses descendants. »
Sayyida Khadidja (a) prit heureusement son bébé et l’allaita.
Nom et lignée
Article connexe : Titres de Fatima az-Zahra (a).
Fatima az-Zahra (a) fut la fille de Muhammad b. Abd Allah le Prophète de l’islam (s) et de Khadidja bt. Khuwaylid (a). De nombreux surnoms (environ 30 surnoms) sont mentionnés pour Fatima (a). az-Zahra, as-Saddîqa, al-Muhadadda, al-Batûl, Sayyida an-Nisâ’ al-‘Âlamîn, Mansûra, Tâhira, Mutahhara, Zakîyya, Mubâraka, Râdîya, Mardîyya sont quelques-uns des surnoms les plus célèbres de Fatima (a).[8]
De nombreuses titres sont mentionnés pour Fatima (a) : Umm Abîhâ, Umm al-A’imma, Umm al-Hasan, Umm al-Husayn et Umm al-Muhsin.[9]
Mérites
Dans différentes sources chiites et sunnites, des mérites de Fatima az-Zahra (a) sont rapportés, dont certains proviennent des versets du Coran et d’autres proviennent des hadiths.
Infaillibilité
Articles connexes : Infaillibilité et verset de Tat’hîr.
En se basant sur le verset de Tat’hîr, les chiites croient que Fatima (a) est l’un des Ahl al-Bayt (a) et est infaillible.[10] D’après ce verset, Allah a purifié les Ahl al-Bayt (a) de toute souillure.[11]
Les sources sunnites confirment également que Fatima az-Zahra (a) était un des Ahl al-Bayt (a).[12]
Le premier rapport qui prouve l’infaillibilité de Fatima az-Zahra (a) est celui qui narre l’usurpation de Fadak par Abu Bakr, après le décès du Prophète (s). D’après ce rapport, lorsqu’Abu Bakr s’empara illégalement de Fadak, l’Imam Ali (a) lui rappela le verset de Tat’hîr et l’infaillibilité de Fatima az-Zahra (a).[13]
A part les chiites, les sources sunnites rapportèrent des hadiths du Prophète (s), disant que Fatima (a), l’Imam Ali (a), l’Imam al-Hasan al-Mujtabâ (a) et l’Imam al-Husayn (a) étaient exempts de toute souillure et qu’ils furent tous infaillibles.[14]
Adoration
Comme son père, Fatima az-Zahra (a) avait toujours envie de faire des actes d’adoration. Donc, elle passait beaucoup de son temps à faire la prière et à implorer Allah.[15] La plupart des personnes qui venaient auprès de Fatima (a) pour la rencontrer, la voyaient en train de réciter le Coran.[16]
D’après les rapports, lorsqu’elle récitait le Coran, Allah lui envoyait de Ses anges pour l’aider dans ses affaires à la maison.
Par exemple, Salman al-Farisi vint chez Fatima (a) et la vit en train de réciter le Coran, à côté de la meule. Il vit que la meule, moulait elle-même le grain. Il s’étonna, alla chez le Prophète (s) et lui raconta ce qu’il avait vu chez Fatima (a). Le Prophète (s) lui répondit :
« Allah a envoyé l’Ange Gabriel pour (aider Fatima (a) et ) moudre le grain ».[17]
Aussi, d’après les rapports :
Ses prières duraient longtemps
Elle passait les nuits à faire des actes d’adoration
Elle priait beaucoup pour ses voisins
Elle jeûnait beaucoup
Elle visitait les tombes des martyrs[18]
Son statut auprès d’Allah et du Prophète (s)
D’après les ulémas chiites et sunnites, Allah nous a ordonné d’aimer Fatima az-Zahra (a). Selon le verset 23 de la sourate Ash-Shûrâ (le verset de l’Amitié), l’amour à l’égard de Fatima (a) est une obligation. Dans ce verset, Allah déclara que la récompense de la prophétie du Prophète Muhammad (s) n’est que l’amour à l’égard de ses Proches.
D’après les hadiths, les « Proches » dans le verset signifie : Fatima (a), l’Imam Ali (a), l’Imam al-Hasan al-Mujtabâ (a) et l’Imam al-Husayn (a).[19]
A part le verset de l’Amitié, d’après plusieurs hadiths, rapportés par le Prophète (s), Allah se fâche lorsque Fatima (a) se fâche et Il se satisfait lorsque Fatima (a) est satisfaite.[20]
Le Prophète (s) avait un amour exceptionnel à l’égard de sa fille, Fatima az-Zahra (a) et la considérait comme une partie de lui-même.
Il annonçait que la colère de Fatima (a), le met en colère et la satisfaction de Fatima (a) le satisfait. Ce hadith est rapporté par les ulémas chiites et sunnites.[21]
Maîtresse des femmes des mondes
D’après plusieurs hadiths, rapportés par les chiites et sunnites, Fatima az-Zahra (a) est considérée comme la Maîtresse des femmes des mondes.[22]
Femme élue au cours de l’Ordalie (Al-Mubâhala)
Articles connexes : Mubâhala et verset de Mubâhala.
Lorsque le Prophète (s) et les chrétiens de Najran voulaient faire l’Ordalie (Al-Mubâhala), la seule femme qui accompagna l’Envoyé d’Allah, fut Fatima az-Zahra (a).
Dans le verset de Mubâhala, Allah a raconté cette histoire et ce verset est considéré comme preuve pour prouver la supériorité des Ahl al-Bayt (a) aux autres.[23]
Dans l’événement de l’Ordalie (Al-Mubâhala), l’Imam Ali (a), Fatima az-Zahra (a), l’Imam al-Hasan al-Mujtabâ (a) et l’Imam al-Husayn (a) accompagnèrent le Prophète (s).[24]
Descendance du Prophète (s)
D’après les hadiths, un des mérites de Fatima (a) fut le fait que la descendance du Prophète (s) continua au travers d’elle.[25]
D’après certains exégètes du Coran, le terme « Al-Kawthar » dans la sourate Al-Kawthar signifie l’abondance dans la descendance du Prophète (s) qui continua par sa fille, Fatima az-Zahra (a).[26]
Générosité
D’après les hadiths, Fatima az-Zahra (a) fut très généreuse. Elle dépensait toujours de l’argent aux pauvres.[27]
La veille de la cérémonie de son mariage, elle donna le vêtement neuf de son mariage à une femme pauvre. Aussi, elle donna son collier à un pauvre et parfois, elle donnait tout son repas aux pauvres, aux captifs et aux orphelins.[28]
D’après plusieurs narrations, Fatima (a), l’Imam Ali (a), l’Imam al-Hasan al-Mujtabâ (a) et l’Imam al-Husayn (a) jeûnèrent pendant trois jours. A chaque jour, après le coucher du soleil, lorsqu’ils voulaient manger, les pauvres venaient leur demander du repas et ils leur donnaient tout leur repas et restaient faims. Suite à cet événement, les versets 5 – 9 de la sourate al-Insân furent révélés. Ces versets furent connus sous le nom de « Le verset d’Al-It’âm ».[29]
Fréquentation avec les anges
« Muhaddatha » fut un des titres de Fatima az-Zahra (a). D’après les hadiths, les anges fréquentaient Fatima az-Zahra (a). Ce fut pour cette raison qu’on lui attribua le titre de Muhaddatha.[30]
Les rapports prouvent que les anges fréquentaient Fatima (a) avant et après le décès du Prophète (s).[31] Les anges transmettaient des nouvelles sur l’avenir du monde. Fatima (a) disait ces nouvelles à l’Imam Ali (a) et ce dernier les écrivaient. Enfin, l’écritures de l’Imam Ali (a) fut nommée Mus’haf Fatima (a).[32]
Héritage spirituel
Les hadiths, rapportés par Fatima az-Zahra (a) et les narrations sur ses activités socio-politiques et religieuses sont l’héritage de la fille du Prophète (s). Mus’haf Fatima (a), le sermon de Fadak, les Tasbîh de Fatima (a) et la prière de Fatima (a) sont certains actes, hérités de la fille de l’Envoyé d’Allah (s).
Hadiths
Les hadiths sont une partie très importante de l’héritage de Fatima az-Zahra (a).
Les hadiths rapportés par Fatima (a) concernent la croyance, le fiqh, l’éthique et la société. Les sources chiites et sunnites rapportèrent ces hadiths et certains ulémas écrivirent des livres consacrés aux hadiths de Fatima (a), comme « Musnad Fatima (a) » et « Akhbâr Fatima (a) ».
Malheureusement, aujourd’hui nous n’avons pas accès à tous ces recueils, c’est pour cette raison que les hadiths de Fatima (a) qu’on se trouve dans les sources ne sont pas très nombreux.[33]
Mus’haf Fatima (a)
Mus’haf Fatima (a) est un livre qui contient les paroles transmises par les anges à Fatima (a). Ce dernier les transmettait à son mari, l’Imam Ali (a) et il les écrivait.[34]
D’après les chiites duodécimains, Mush’af Fatima (a) fut un héritage de Fatima (a) et après elle, les Imams le gardaient l’un après l’autre. Maintenant, Mus’haf Fatima (a) est chez l’Imam Mahdi (a) qui apparaîtra à la fin du temps.[35]
Sermon de Fadak
Le sermon de Fadak ou Al-Khutbat al-Fadakîyya est un des héritages les plus importants de Fatima (a).
Après l’événement de Saqîfa et l’usurpation de Fadak, Fatima az-Zahra (a) alla à la mosquée du Prophète (s) et fit un discours pour défendre le droit des Ahl al-Bayt (a). Ce discours fut nommé Al-Khutbat al-Fadakîyya. Ce discours avait un statut considérable parmi les Imams et ils encourageaient leurs enfants de l’apprendre par cœur.
Tasbîh Fatima az-Zahra (a)
Tasbîh Fatima az-Zahra (a) est un dhikr spécial, constitué de 34 fois Allah Akbar (Dieu est le plus Grand), 33 fois Al-Hamdu li Allah (Toute louange est à Allah) et 33 fois Subhân Allah (Gloire à Dieu).
D’après les hadiths, le Prophète (s) l’enseigna à sa fille, Fatima az-Zahra (a). Beaucoup de hadiths sont rapportés sur l’importance et la récompense de Tasbîh Fatima az-Zahra (a) après les prières obligatoires.[36]
Selon les rapports, du moment où l’Imam Ali (a) entendit les Tasbîh Fatima az-Zahra (a), il l’accomplit après toutes ses prières et ne l’a jamais négligé.[37]
Prière de Fatima az-Zahra (a)
Certaines sources rapportèrent des prières que Fatima (a) avait appris du Prophète (s) et de l’ange Gabriel.[38]
Poèmes attribués à Fatima az-Zahra (a)
Les sources historiques rapportèrent des poèmes et les attribuèrent à Fatima az-Zahra (a). Historiquement, ces poèmes appartiennent à deux périodes :
Lorsque le Prophète (s) était en vie
Après le décès du Prophète (s)[39]
Références
1-Al-Bi‘tha, c’est le commencement de la prophétie du Prophète Muhammad (s).
2-Une région entre La Mecque et Minâ
3-Elle est la mère de l’Imam Ali (a).
4-L’épouse du Prophète Abraham (a).
5-L’épouse du Pharaon
6-La mère du Prophète Jésus (a).
7-La sœur du Prophète Moïse (a).
8-Cheikh as-Sadûq, al-Amâlî, vol , p 74, 187, 688, 691, 692
9-Al-Majlisî, Bihâr al-Anwâr, vol 43, p 16, 1404 H
10-Sayyid al-Murtadâ, Ash-Shâfî fi al-Imâma, v 4 p 95
11-Le Coran, Sourate al-Ahzâb, v 33
12-As-Suyûtî, Ad-Durr al-Manthûr, v 5 p 198
13-Cheikh as-Sadûq, ‘Ilal ash-Sharâ’i’, v 1 p 190 – 192
14-Ibn Mardawayh, Manâqib Ali b. Abi Talib, p 305 ; As-Suyûtî, Ad-Durr al-Manthûr, v 5 p 199 ; Ibn Kathîr, Al-Bidâya wa an-Nihâya, v 2 p 316
15-Cheikh at-Tûsî, Al-Amâlî, p 528
16-Tabarî, Dalâ’il al-Imâma, p 139
17- Ibn Shahr Âshûb, Manâqib Âl Abi Talib, v 3 p 116 – 117
18-Cheikh as-Sadûq, ‘Ilal ash-Sharâ’i’, v 1 p 182 ; Ibn Shahr Âshûb, Manâqib Âl Abi Talib, v 3 p 119
19-Abu al-Futûh ar-Râzî, Rawd al-Jinân wa Rûh al-Jinân fî Tafsîr al-Qur’ân, v 17 p 122 ; As-Suyûtî, Ad-Durr al-Manthûr, v 6 p 7
20- Hâkim an-Naysâbûrî, Al-Mustadrak ‘la as-Sahîhayn, v 3 p 154
21-Cheikh al-Mufîd, Al-Amâlî, p 260 ; Cheikh at-Tûsî, Al-Amâlî, p 24 ; Ahmad b. Hanbal, Musnad Ahmad, v 4 p 5
22-Cheikh as-Sadûq, ‘Ilal ash-Sharâ’i’, v 2 p 182 ; Ahmad b. Hanbal, Musnad Ahmad, v 3 p 80 ; Bukhârî, Sahîh al-Bukhârî, v 4 p 183
23-Ibn Kathîr, Tafsîr al-Qur’ân al-‘Azîm, v 1 p 379 ; Tirmidhî, Sunan at-Tirmidhî, v 4 p 293 – 294
24-Ibn Athîr, Al-Kâmil fi at-Târîkh, v 2 p 293
25-Al-‘Allâma at-Tabâtabâ’î, Al-Mîzân, v 20 p 370 – 371
26-Al-‘Allâma at-Tabâtabâ’î, Al-Mîzân, v 20 p 370 – 371 ; Al-Fakhr ar-Râzî, At-Tafsîr al-Kabîr, v 32 p 313
27-Tabrisî, Makârim al-Akhlâq, p 94 – 95
28-Tabarî, Bishârat al-Mustafâ li Shî’at al-Murtadâ, p 218 – 219 ; Irbilî, Kashf al-Ghumma, v 1 p 169
29-Ibn Tâwûs, At-Tarâ’if, p 107 – 109 ; Cheikh at-Tûsî, At-Tibyân, v 10 p 211 ; Zamakhsharî, Al-Kashshâf, v 4 p 670 ; Al-Fakhr ar-Râzî, At-Tafsîr al-Kabîr, v 30 p 746 – 747
30-Cheikh as-Sadûq, ‘Ilal ash-Sharâ’i’, v 1 p 182
31-Ibn Shahr Âshûb, Manâqib Âl Abi Talib, v 3 p 116
32-Kulaynî, Al-Kâfî, v 1 p 240 – 241
33-Ma’mûrî, Kitâbshinâsî Fatima (a), p 561 – 563
34- Kulaynî, Al-Kâfî, v 1 p 241
35-Saffâr, Basâ’ir ad-Darajât, p 173 – 181
36-Cheikh as-Sadûq, Man lâ Yahduruhû al-Faqîh, v 1 p 320 – 321 ; Bukhârî, Sahîh al-Bukhârî, v 4 p 48 et 208 ; Cheikh as-Sadûq, ‘Ilal ash-Sharâ’i’, v 2 p 366
37-Ahmad b. Hanbal, Musnad Ahmad, v 1 p 107
38-Sayyid b. Tâwûs, Jamal al-Usbû’, p 70 et 93
39-Âlimî, Ash’âr Fatima (a), Dânishnâmiyi Fatémî, v 3 p 110-120