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La traduction et l’exégèse de la Sourate Al-Furqan (Le discernement)
Au nom de Dieu, le Très Miséricordieux, le Tout Miséricordieux. Louange au prophète de la paix et de la clémence, le vénéré Mohammad, (que le salut de Dieu soit sur lui et sur ses descendants).
Nous commençons l’exégèse des versets du chapitre XXV du noble Coran, la sainte sourate « Al-Forqan » (Le discernement). La sourate XXV du noble Coran compte 77 versets.
La sainte sourate « Al-Forqan » fut révélé au noble messager de Dieu, le vénéré Mohammad (que le salut de Dieu soit sur lui et sur ses descendants) à la Mecque. Le chapitre XXV du noble Coran tire son nom de son premier verset, là où le Coran est présenté comme al-Forqan, c’est-à-dire le Livre de discernement.
De nombreux versets de cette sourate porte sur le début de la création, la résurrection, la prophétie du noble messager de Dieu, le vénéré Mohammad (que le salut de Dieu soit sur lui et sur ses descendants), ainsi que sur la lutte contre la mécréance et l’associationnisme. Cette sourate décrit aussi le caractère des vrais croyants qui ont foi en leur Seigneur.
Au Nom de Dieu, le Très-miséricordieux, le Tout-miséricordieux.
تَبَارَكَ الَّذِي نَزَّلَ الْفُرْقَانَ عَلَىٰ عَبْدِهِ لِيَكُونَ لِلْعَالَمِينَ نَذِيرًا
Qu’on exalte la Bénédiction de Celui qui a fait descendre le Livre de Discernement sur Son serviteur, afin qu’il soit un avertisseur à l’univers. (25:1)
Le premier verset de la sourate XXV décrit le Livre saint des musulmans, le Coran, comme une bénédiction, un Livre de Discernement que Dieu le Très-Haut fit descendre sur Son serviteur, c’est-à-dire le vénéré Mohammad (que le salut de dieu soit sur lui et sur ses descendants). La descente du Livre saint au messager de Dieu le chargea aussi d’une grande mission pour l’Humanité : grâce à ce Livre de discernement, Dieu fit de Son messager un avertisseur pour l’univers tout entier, car le Coran est la lumière qui éclaire le chemin de l’Humanité vers son salut, et l’avertit contre les ténèbres de l’ignorance.
La distinction entre le juste et l’injuste, entre le vrai et le faux, n’est pas facile. Pour être capable de distinguer le bien du mal, le vrai du faux, l’homme a besoin de discernement, des points de repère et des informations qui lui soient remises par une source crédible ; sinon l’homme se perdra dans ses illusions, ses superstitions et son ignorance. Ainsi le premier verset de la sourate XXV nous apprend que cette manne divine, c’est-à-dire le Coran, est le Livre de discernement pour l’univers, car il est porteur de la science que Dieu offre à Ses créatures pour pouvoir distinguer le vrai du faux.
En outre, ce verset nous indique que le messager de Dieu a le devoir d’avertir les humains du danger qui les guette s’ils s’éloignent du vrai et du juste.
الَّذِي لَهُ مُلْكُ السَّمَاوَاتِ وَالْأَرْضِ وَلَمْ يَتَّخِذْ وَلَدًا وَلَمْ يَكُن لَّهُ شَرِيكٌ فِي الْمُلْكِ وَخَلَقَ كُلَّ شَيْءٍ فَقَدَّرَهُ تَقْدِيرًا
Celui à qui appartient la royauté des cieux et de la terre, qui ne S’est point attribué d’enfant, qui n’a point d’associé en Sa royauté et qui a créé toute chose en lui donnant ses justes proportions. (25:2)
Le verset 2 de la sourate « Al-Forqan » est en lui seul, une leçon parfaite de l’unicité de Dieu. L’univers est, en fait, décrit dans ce verset comme le Royaume de Dieu le Très-Haut. Dieu est unique : il ne s’attribue pas d’enfant ni d’associé. Il est l’unique créateur de l’univers et il a donné à chaque chose sa juste valeur et sa juste proportion. Dieu le Très-Haut est donc l’unique gouverneur et le seul législateur de l’univers, car c’est Lui qui, sans aucun associé, règne sur l’univers dont il a établi Lui-même les lois. Rien ne s’y produit en dehors de Sa volonté. Dans cette création divine, rien n’est laissé non plus au hasard et tout est géré selon les lois divines.
وَاتَّخَذُوا مِن دُونِهِ آلِهَةً لَّا يَخْلُقُونَ شَيْئًا وَهُمْ يُخْلَقُونَ وَلَا يَمْلِكُونَ لِأَنفُسِهِمْ ضَرًّا وَلَا نَفْعًا وَلَا يَمْلِكُونَ مَوْتًا وَلَا حَيَاةً وَلَا نُشُورًا
Mais les mécréants ont adopté en dehors de Lui des divinités qui, étant elles-mêmes créées, ne créent rien, et qui ne possèdent la faculté de faire ni le mal ni le bien pour elles-mêmes, et qui ne sont maîtresses ni de la mort, ni de la vie, ni de la résurrection. (25:3)
Le verset 3 de la sainte sourate « Al-Forqan » (Le Discernement) nous dit que les mécréants ont inventé, en dehors de Dieu, de fausses divinités pour eux. Leurs fausses divinités ne sont que des objets créés par des gens qui les vénèrent. Or, ces idoles ne peuvent rien créer. Elles sont dépourvues de toute puissance et de toute faculté de faire du bien ou de faire du mal aux gens ou à elles-mêmes. Elles ne peuvent rien faire que l’on puisse comparer à l’œuvre de Dieu qui est le maître de la vie, le maître de la mort, et le maître de la résurrection, et de la vie éternelle des humains dans l’Au-delà. Dans ce verset, le saint Coran rejette donc toutes les croyances erronées des mécréants et des associationnistes qui attribuent faussement aux objets qu’ils fabriquent eux-mêmes des puissances sur leur existence.
وَقَالَ الَّذِينَ كَفَرُوا إِنْ هَـٰذَا إِلَّا إِفْكٌ افْتَرَاهُ وَأَعَانَهُ عَلَيْهِ قَوْمٌ آخَرُونَ ۖ فَقَدْ جَاءُوا ظُلْمًا وَزُورًا
Les mécréants disent : “Tout ceci n’est qu’un mensonge que Mohammad a inventé, et où d’autres gens l’ont aidé”. Or, ils commettent là une injustice et un mensonge. (25:4)
Tout au long de l’histoire de l’humanité, les mécréants ont toujours essayé de justifier leur inimitié envers la religion et la foi religieuse, en proférant injustement des accusations et des diffamations aux messagers divins pour mettre en doute leur mission prophétique et leur personnalité.
Les mécréants accusaient surtout les messagers d’être menteurs ; ils prétendaient que le message transmis par les prophètes de la part de leur Créateur aux hommes, n’était qu’un mensonge qu’ils avaient inventé eux-mêmes.
Ils disaient aussi que les messagers de Dieu étaient entourés des gens qui se servaient de la foi et de la religion pour arriver à leurs buts. Mais le verset 4 de la sainte sourate « Al-Forqan » (Le Discernement) dit que ces mensonges ne sont que des accusations injustes et sans fondement. Car en réalité, c’est Dieu le Très-Haut qui révèle Son message à Ses élus. Ces prophètes étaient tous les meilleurs serviteurs du Seigneur et ils n’avaient d’autre mission que de transmettre le message divin aux humains. Les mécréants n’avaient aucun argument logique pour rejeter l’appel des messagers, ils essayaient donc de détériorer leur image afin de mettre en doute la valeur du message qu’ils portaient aux gens.
Ce verset nous apprend que le mensonge, le mépris et la raillerie étaient les armes des mécréants contre le noble messager de Dieu, le vénéré Mohammad (que le salut de Dieu soit sur lui et sur ses descendants) et contre tous les autres prophètes.
وَقَالُوا أَسَاطِيرُ الْأَوَّلِينَ اكْتَتَبَهَا فَهِيَ تُمْلَىٰ عَلَيْهِ بُكْرَةً وَأَصِيلًا
Et les mécréants disent : “Ce sont des contes d’anciens qu’il se fait écrire ! On les lui dicte matin et soir ! ” (25:5)
قُلْ أَنزَلَهُ الَّذِي يَعْلَمُ السِّرَّ فِي السَّمَاوَاتِ وَالْأَرْضِ ۚ إِنَّهُ كَانَ غَفُورًا رَّحِيمًا
Ô Prophète ! Dis : “L’a fait descendre Celui qui connaît les secrets dans les cieux et la terre. Et IL est Pardonneur et Miséricordieux. (25:6)
Les mécréants qui accusaient le messager et qui rejetaient la parole divine, n’avaient pourtant aucun argument logique pour ce refus. Ils disaient tantôt que les récits relatés dans le Livre saint n’étaient qu’une copie des histoires anciennes et ils prétendaient tantôt qu’ils y avaient d’autres personnes qui dictaient ces récits au messager de Dieu, le vénéré Mohammad (que le salut de Dieu soit sur lui et sur ses descendants). Leur but était surtout de suggérer que le messager de Dieu n’était pas chargé à la mission prophétique par le Seigneur. En outre, ils voulaient suggérer que le vénéré messager de Dieu qui ne savait pas lire et écrire, était, par contre, une personne lettrée qui copiait les livres anciens, pour prétendre que Dieu les aurait révélées.
Or, à cette époque-là, le nombre des gens lettrés à la Mecque était très restreint, et tout le monde savait que le noble messager de Dieu, le vénéré Mohammad (que le salut de Dieu soit sur lui et sur ses descendants) ne savait ni lire ni écrire. En outre, le messager de Dieu n’avait aucun apport avec les Juifs de Médine ou les autres communautés de gens de Livre pour qu’il puisse leur apprendre des choses sur Dieu et sur la religion.
Il faut souligner ici que les récits de prophètes et de peuples anciens ne constituent qu’une petite partie du Livre saint des Musulman. La majeure partie du saint Coran porte sur la théologie, l’éthique ou la pratique de la religion. De ce point de vue, il n’existait à l’époque aucun modèle pour que le messager de Dieu puisse s’en inspirer pour « rédiger » le Coran, comme le prétendaient les mécréants de la Mecque.
Les versets 5 et 6 de la sainte sourate « Al-Forqan » (Le Discernement) soulignent que les versets du Coran n’ont rien d’humain et qu’ils proviennent de la source de la sagesse divine. Ils dévoilent les secrets de la terre et du ciel qu’aucun humain ne peut connaître. Ces versets disent enfin qu’au lieu de s’obstiner dans son égarement, le pécheur doit se repentir, car Dieu est Miséricordieux et Pardonneur.
وَقَالُوا مَالِ هَـٰذَا الرَّسُولِ يَأْكُلُ الطَّعَامَ وَيَمْشِي فِي الْأَسْوَاقِ ۙ لَوْلَا أُنزِلَ إِلَيْهِ مَلَكٌ فَيَكُونَ مَعَهُ نَذِيرًا
Et les mécréants disent : “Qu’est-ce donc que ce Messager qui mange de la nourriture et circule dans les marchés ? Que n’a-t-on fait descendre vers lui un Ange qui eût été avertisseur en sa compagnie ? (25:7)
أَوْ يُلْقَىٰ إِلَيْهِ كَنزٌ أَوْ تَكُونُ لَهُ جَنَّةٌ يَأْكُلُ مِنْهَا ۚ وَقَالَ الظَّالِمُونَ إِن تَتَّبِعُونَ إِلَّا رَجُلًا مَّسْحُورًا
Ou que ne lui a-t-on lancé un trésor ? Ou que n’a-t-il un jardin à lui, dont il pourrait manger les fruits ?” Les injustes disent : “Vous ne suivez qu’un homme ensorcelé”. (25:8)
انظُرْ كَيْفَ ضَرَبُوا لَكَ الْأَمْثَالَ فَضَلُّوا فَلَا يَسْتَطِيعُونَ سَبِيلًا
Vois à quoi ils te comparent ! Ils se sont égarés. Ils ne pourront trouver aucun chemin. (25:9)
Les mécréants disaient pourquoi Dieu aurait-il élu un homme semblable aux autres pour transmettre Son message aux humains ? Le vénéré Mohammad était certes un humain semblable aux autres. C’est, en fait, une tradition divine d’après laquelle le message de Dieu est transmis aux humains, par un humain pareil à eux. Les mécréants disaient, par contre, qu’un messager de Dieu devrait être un surhomme ou un ange, ou encore une personne très riche, accompagné à tout instant par des anges, afin que les gens l’écoutent et le croient.
D’autres étaient encore plus injustes et accusaient le noble messager de Dieu, le vénéré Mohammad (que le salut de Dieu soit sur lui et sur ses descendants) d’être ensorcelé pour suggérer que ce qu’il disait n’était pas des messages de Dieu le Très-Haut, mais des délires.
تَبَارَكَ الَّذِي إِن شَاءَ جَعَلَ لَكَ خَيْرًا مِّن ذَٰلِكَ جَنَّاتٍ تَجْرِي مِن تَحْتِهَا الْأَنْهَارُ وَيَجْعَل لَّكَ قُصُورًا
Ô Prophète ! Béni soit Celui qui, s’Il le veut, t’accordera bien mieux que cela : des Jardins sous lesquels coulent les ruisseaux ; et Il t’assignera des châteaux. (25:10)
Nous avons lu ensemble des versets de la sainte sourate « Al-Forqan » (Le Discernement) qui nous ont relaté que les mécréants de la Mecque rejetait la prophétie du noble messager de Dieu, le vénéré Mohammad (que le salut de Dieu soit sur lui et sur ses descendants). Ils disaient que s’il était un élu de Dieu pourquoi il vivait comme un humain parmi les autres. Ils prétendaient que s’il était véridique, il devrait être supérieur à ses semblables, une personne toujours accompagnée des anges ou une personne riche vivant dans un palais et un jardin magnifique, comme un roi entouré de ses serviteurs.
Dans le verset 10 de la sourate XXV, Dieu dit à Son messager, le vénéré Mohammad (que le salut de Dieu soit sur lui et sur ses descendants) que Si Dieu l’avait voulu, Il aurait donné à Son messager toutes les richesses de la terre et tous les pouvoirs, et Il aurait fait vivre le prophète dans des jardins magnifiques et des palais.
Mais ce n’est pas là le vrai sens de la mission prophétique et d’un élu du Seigneur. Les messagers ne sont pas élus par Dieu le Très-Haut pour vivre parmi les gens, comme des rois ou des souverains. Ils doivent, par contre, se rendre au milieu des gens, vivre comme eux, leur apporter le message divin, et les guider vers la foi. Si le messager était un roi ou une personne riche, il aurait été possible que les gens viennent se réunir autour de lui, non par leur foi en Dieu, mais pour profiter des intérêts matériaux. Or, la vraie mission des prophètes consistait à émanciper les gens de toutes ces dépendances à la vie matérielle et à les orienter vers la spiritualité.
بَلْ كَذَّبُوا بِالسَّاعَةِ ۖ وَأَعْتَدْنَا لِمَن كَذَّبَ بِالسَّاعَةِ سَعِيرًا
Mais ils ont plutôt qualifié l’Heure de mensonge. Nous avons cependant préparé, pour quiconque qualifie l’Heure de mensonge, une Flamme brûlante. (25:11)
إِذَا رَأَتْهُم مِّن مَّكَانٍ بَعِيدٍ سَمِعُوا لَهَا تَغَيُّظًا وَزَفِيرًا
Lorsque de loin il le voit, ils entendront sa fureur et ses pétillements. (25:12)
Ces deux versets de la sourate XXV disent que les mécréants ne refusent pas seulement de croire en la prophétie du messager de Dieu, mais qu’ils refusent aussi de croire à la résurrection et le jugement dernier. Pour eux, Dieu Tout-Puissant réserve un feu brûlant pour les châtier. Les mécréants nient ainsi l’unicité de Dieu, la prophétie des messagers de Dieu et la vie éternelle dans l’Au-delà ainsi que le jugement dernier. Pour eux, il n’y aura donc aucun pardon de la part du Seigneur. Le jour arrivera donc où les mécréants comprendront comment ils s’étaient écarté de la voie du salut, en niant les vérités que Dieu le Très-Haut avaient révélées à Son messager pour guider l’humanité. Si dans leur vie terrestre ils avaient méprisé le message divin, dans l’autre monde, ils seront méprisés eux-mêmes en raison de leur égarement et leur obstination à s’enfoncer dans la perdition.
وَإِذَا أُلْقُوا مِنْهَا مَكَانًا ضَيِّقًا مُّقَرَّنِينَ دَعَوْا هُنَالِكَ ثُبُورًا
Et quand on les y aura jetés, dans un étroit réduit, les mains liées derrière le cou, ils souhaiteront alors leur destruction complète. (25:13)