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Comment purifier l’âme de ces pollutions
Les principes de l’éducation islamique visent à purifier l’homme et à débarrasser son âme de toute pollution. Bien entendu il n’est pas facile d’enrayer un mauvais trait de caractère, surtout lorsqu’il est bien enraciné et qu’il est devenu une habitude. En tout cas, ce mystérieux être qu’est l’homme abonde en capacités. Même changer une habitude n’est pas impossible pour lui. Cela n’est pas seulement possible, mais aussi praticable. Tout ce qu’il faut pour ce faire, c’est de mettre en valeur toutes les potentialités de l’homme, et de rendre favorables les conditions du milieu.
Tout d’abord l’homme doit compter sur ses propres moyens intérieurs. Pour réussir à se réformer, l’homme doit tenir compte de deux facteurs importants: l’un est une attitude correcte qui donne une nouvelle tournure à ses désirs, l’autre est une forte volonté. Cette dernière, doublée d’un grand enthousiasme, est nécessaire pour prendre et rendre effective une décision ferme en vue d’opérer des changements. Si une forte volonté est accompagnée d’une attitude correcte, le processus de réforme se met en marche, comme nous le suggère le Coran: «Allah ne modifie rien en un peuple avant que celui-ci ne change ce qui est en lui». (Sourate al-Ra’d, 13: 11)
C’est pourquoi, l’Islam soutient que la conscience personnelle de l’homme et sa forte volonté joueront un rôle important dans son auto réforme.
L’Imam al-Sadiq (P) a dit:
«Vous êtes votre propre médecin. Vous connaissez votre maladie et son remède. Il reste à savoir dans quelle mesure vous êtes préparés à saisir l’occasion pour prendre soin de vous-mêmes». Il a dit aussi: «Allah ne permet pas que soit consigné dans l’Enfer celui qui pratique l’autocontrôle dans tous les états où il se trouve: enthousiasme, passion, plaisir ou colère».
Un homme qui se contrôle, qui pense toujours juste, qui prend des décisions correctes, qui ne succombe pas aux émotions agitées, aux passions transitoires, aux vieilles habitudes, peut se préserver de tous troubles et se mettre à l’abri du feu de l’Enfer.
L’Islam ne dit pas que nous devons seulement suggérer aux autres de faire le bien. Il ne dit pas non plus que nous devons les y forcer. Il nous demande seulement de faire quelque chose pour réveiller la conscience de l’homme et pour enrayer son ignorance et son étroitesse d’esprit, afin de le rendre capable de penser juste et de prendre une décision indépendante.
L’Imam al-Sadiq (P) a dit: «L’ennemie (diable) monte sur le cou de celui qui n’est ni favorisé par un auto prêche, ni par une compagnie qui le guide».
Donc la liberté et l’honneur de l’homme dépendent de L’autocritique, de l’existence d’un conseiller interne.
Le Coran apprécie tellement cette faculté intérieure d’autocritique, nécessaire à l’autoformation, qu’il jure par elle. Il dit, en effet: «Non!… Je jure par le Jour de la Résurrection! Non! Je jure par l’âme qui se blâme!» (Sourate al-Qiyâmah, 75: 1-2)
D’autres versets du Coran concernant autoformation montrent que ce Livre Divin considère autocritique comme la pierre angulaire de autoformation
L’Islam veut que les sentiments et la condition de l’homme soient sous le contrôle et au service de ce dernier.
L’Imam al-Sadiq (P) a dit:
«Transforme ton coeur en un ami vertueux et un fils soumis, et transforme ton savoir en un père à qui on obéit de coeur. Considère la pollution de ton âme comme ton ennemi que tu dois combattre».
La piété
Un tel homme est pieux. Il est attentif. Il observe les restrictions qui lui sont imposées, par amour d’Allah et de la vérité. Il jouit d’une totale liberté, mais il est subordonné à Allah, et c’est cette subordination qui le protège de l’asservissement aux autres. Avant de faire quoi que ce soit, il se demande tout d’abord si son action plaira ou déplaira à Allah.
Il peut s’accommoder du déplaisir de tout autre qu’Allah, mais déplaire à Allah lui est insupportable. Il s’abstient de tout ce qui peut déplaire à Allah. Cette abstinence, et cet abandon aux restrictions nécessaires, constituent la piété.
Une personne pieuse ne peut être contrainte par aucune menace de commettre un péché, et ni l’argent, ni le pouvoir, ni la convoitise ne peuvent l’allécher. Le rôle de la piété est si important que le Coran la considère comme le seul critère de la valeur de l’homme:
«Le plus noble d’entre vous, auprès d’Allah est le plus pieux d’entre vous». (Sourate al-Hujurât, 49: 13)
La noblesse d’un homme dépend de sa pureté et de son autocontrôle. Celui qui est le plus pieux est le plus noble.
Il existe beaucoup d’autres versets et de hadiths sur le sujet de la piété. Nous citons ci-après la traduction d’une partie du célèbre sermon prononcé par l’Imam Ali (P), sur la piété, à la demande de l’un de ses compagnons nommé Hammun:
«Les gens pieux sont vertueux. Ils disent la vérité. Ils s’habillent d’une façon modeste. Ils parlent sans prétention. Ils écoutent attentivement toute information éclairante et utile. Ils sont optimistes aussi bien dans l’adversité que dans la prospérité. Allah s’est manifesté si profondément dans leur coeur qu’ils n’attachent d’importance à rien d’autre.
»Un homme pieux est d’une foi inébranlable. Sa foi est solide et accompagnée de conviction. Il languit pour la connaissance. Il est indépendant, mais modéré. Il est tout soumis lorsqu’il prie. Il reste digne même lorsqu’il est pauvre. Il fait montre de patience dans la difficulté. Il cherche toujours des moyens de subsistance légaux. Il est plein d’enthousiasme pour le Droit Chemin. Il se garde bien d’être avare. Il n’a pas de désirs répréhensibles. Il contrôle sa colère. Tout le monde attend de lui qu’il soit bon envers eux, et personne ne peut penser qu’il lui veuille du mal. Il ne parle pas méchamment. Il parle doucement. Il ne fait rien de répréhensible. Tout ce qu’il fait est souhaitable. Il est calme et tranquille, même en cas de perturbations. S’il est dans l’aisance, il est reconnaissant. Il ne commet pas un péché par amour pour un ami. Il n’offense pas les autres en les insultant ou en les diffamant. Il ne fait pas tort à son voisin. Il souffre les difficultés, mais les autres n’ont rien à craindre de lui. Il s’efforce d’obtenir le salut dans l’Au-delà, mais il ne nuit à personne. S’il approche de quelqu’un, c’est parce que ce dernier a de l’affection et de la bonté. Il ne s’écarte de personne par vanité, ni ne se lie d’amitié avec personne pour le duper». (Nahj al-Balâghah, extrait du Sermon 191)
La consolidation de la force de la volonté
Nous pouvons conclure, d’après les discussions qui ont précédé que, dans sa marche évolutive, l’homme doit avant tout tirer parti de sa force intérieure, et cela dépend la plupart du temps de deux choses: primo, sa force de volonté, secundo, sa propre conscience et sa largeur d’esprit.
Pour consolider sa volonté, il doit entreprendre les pratiques nécessaires et recourir à des exercices adéquats. L’un des rôles importants et appréciables de toute école dogmatique est de transformer les hommes en des individus responsables en leur inculquant la bonne habitude de maintenir les principes et les règles d’une vie correcte, qui sert de support à leur force de volonté, afin qu’ils ne succombent pas à l’égoïsme, aux passions, et à la tendance à l’abandon. L’ordre que l’Islam donne, de prier cinq fois par jour, de prendre soin de la propreté du corps et des vêtements, de s’assurer que le lieu de la prière n’est pas détourné, de se diriger vers la qiblah en priant, d’observer le programme spécial de jeûne tout au long du mois de Ramadhân, vise à conférer à l’homme le sens de la responsabilité et le pourvoir d’une base solide pour la régularité de sa vie.
La relation entre le jeûne et la consolidation de la force de la volonté
Nous avons déjà appris qu’il est obligatoire pour tous les Musulmans, hommes et femmes adultes et sains d’esprit, et à condition qu’ils ne soient ni en voyage, ni malades, vieillards ou infirmes, de jeûner pendant le mois du Ramadhân, c’est-à-dire de s’abstenir de manger, de boire, d’avoir des relations sexuelles, de plonger la tête dans l’eau, d’avaler de la poussière épaisse et de tous les autres actes invalidant le jeûne.
Cette résistance aux passions, aux désirs éveillés et réveillés et aux forces intérieures en sommeil, et cette endurance de la faim et de la soif, constituent pour l’homme un exercice autocontrôle et le rendent capable de tenir bon et de ne pas succomber facilement aux bas désirs, tels que le déchaînement du désir sexuel, de la colère et de l’égoïsme.
L’homme est toujours sujet à être débordé par un nombre de désirs susceptibles de l’égarer, tels que le désir d’acquérir une fortune par un moyen illégal, le désir d’avoir des contacts physiques illicites, la lascivité, les différentes tentations, etc…
Il y a beaucoup de désirs, de passions et de tentations qui sont prêts à s’enflammer et à asséner un coup à la dignité et à la position de l’homme. Il est, en tout cas, possible qu’il puisse augmenter sa force de résistance et autocontrôle, résister à tout mal, ne pas succomber à toute tentation et ne pas répondre à tout appel. Au moment de l’éruption d’un désir illégal, il doit exercer l’autocensure et faire appel à son sens commun, penser à l’avenir et ne pas perdre de vue le résultat final, afin de ne pas se sacrifier à une passion éphémère.
Pour développer progressivement cette force de résistance, on doit avoir l’occasion de lutter contre ses désirs et ses plaisirs personnels. Le jeûne fournit une telle occasion. Il apporte l’aide nécessaire au développement de cette résistance. Le Coran décrit le rôle créatif du jeûne dans les termes suivants: «O vous qui croyez! Le jeûne vous est prescrit comme il a été prescrit aux générations qui vous ont précédés, afin que vous pratiquiez la piété (et restiez fermes face aux péchés et aux erreurs)». (Sourate al-Baqarah, 2: 183)
Le retour au droit chemin – Le repentir
Un pécheur est contaminé par son péché. Il est au bord de l’abîme. Mais il peut toujours commencer à lutter contre ses mauvaises habitudes. C’est lui qui s’est enfoncé si profondément dans l’action pécheresse, et c’est à lui de prendre maintenant la décision de se réformer.
L’homme a la potentialité de retourner au Chemin Droit de la pureté. Allah lui a laissé ouverte la voie du retour. IL ne ferme jamais Sa Porte à un pécheur. Cette invitation d’Allah, le Compatissant, reste toujours ouverte:
«Dis: “O serviteurs d’Allah! Vous qui avez commis des excès contre vous-mêmes, ne désespérez pas de la miséricorde d’Allah. Allah pardonne tous les péchés (que vous avez commis par inconscience et dont vous vous repentez sincèrement à présent). Oui, Allah est le Pardonneur, le Miséricordieux.”» (Sourate al-Zumar, 39: 53)
Cet appel au repentir et la possibilité d’être pardonné est très encourageant et doit inciter chacun à se réformer le plus tôt possible et à retourner au Droit Chemin. Il ne doit nullement pousser à la léthargie.
En effet, certaines gens ont l’absurde impression que, la voie du repentir étant toujours ouverte, on peut continuer à commettre des péchés aussi longtemps qu’on le désire et jusqu’au jour où on décide finalement de saisir une occasion de se repentir. Si cela se passait vraiment ainsi, la promesse de garantir le pardon équivaudrait à encourager les hommes à plonger en permanence dans le péché. Mais la vérité est tout autre. Plus on s’habitue au péché, plus faible devient la volonté de prendre une décision. L’âme devient morne, avec cette conséquence que le désir de retourner au Droit Chemin se meurt complètement.
En outre, comment petit-on savoir que l’occasion du retour continuera d’exister? Etant donné que l’heure de la mort d’aucune personne n’est connue, qui peut savoir combien il vivre encore et quelles seront les circonstances de son avenir?
Le vrai repentir signifie que la personne qui l’épouse doit avoir honte de ce qu’elle a fait, et être encline à se réformer.
On doit prendre le plus tôt possible les mesures pratiques pour se soigner, exactement comme le fait un malade empoisonné ou atteint d’une maladie. Si un tel malade, au lieu de suivre un traitement complet de l’empoisonnement, ou de prendre immédiatement des piqûres antibactériennes, laisse tomber son traitement, pensant qu’une quelconque sorte de remède existe après tout, sa maladie pourrait devenir chronique et finalement incurable.
Le Saint Prophète a dit: «Chaque maladie a un remède, celui des péchés est le repentir».
L’Imam al-Sadiq (P) a dit:
«Dès qu’un croyant commet un péché, Allah lui garantit un délai de sept heures. S’il demande pardon et se repent pendant ce délai, son péché n’est pas enregistré contre lui. Mais si ce délai est passé sans qu’il se repente, son péché est marqué contre lui».
Lorsqu’on avait demandé au Saint Prophète qui sont les gens bons, il a répondu: «Ceux qui se sentent heureux lorsqu’ils font quelque chose de bien. S’ils commettent un péché, ils demandent pardon et se repentant. Si quelqu’un leur rend un service, ils lui en sont reconnaissants. S’ils sont affligés par une détresse, ils l’endurent avec patience. S’ils sont contrariés par quelqu’un, ils ne tardent pas à lui pardonner».
Si un homme se repent vraiment d’un péché, cela signifie que sa foi est vivante et qu’il distingue encore le bien du mal. S’il se sent bien devant une bonne action, et mal à l’aise devant une mauvaise action, il est évident qu’il peut être encore réformé.
L’Imam al-Sadiq (P) a dit:
«Celui qui est content de ses bonnes actions et qui regrette ses erreurs est un croyant».
Ce sentiment est un stimulant qui amène l’homme vers le Droit Chemin et l’empêche de se jeter dans les interdits.
L’Imam Ali (P) a dit:
«Se repentir d’un péché, oblige celui qui l’a commis à l’abandonner».
L’Imam al-Sadiq (P) a dit:
«Si un homme commet un péché, et qu’il regrette sincèrement de l’avoir commis, Allah lui pardonne avant qu’il demande pardon. Si Allah accorde une faveur à quelqu’un et que celui-ci sent qu’Allah a été Bon envers lui, Allah lui pardonne avant qu’il n’exprime sa gratitude».
Le sentiment inconscient de regret s’appelle parfois “honte” (hayâ’) et est considéré par l’Islam comme une grande vertu.
L’Imam al-Sajjâd (P) a dit:
«Il y a quatre qualités qui donnent à l’homme une foi parfaite et le purifient de tout péché, s’il les possède. Ce sont: le respect des engagements, la véracité, le fait d’avoir honte de commettre un acte répréhensible aux yeux d’Allah et des gens, le fait de se conduire bien et d’être poli avec sa famille».
Selon les Traditions islamiques, Allah a dit dans les Psaumes de Dâoud:
«O Dâoud! Ecoute ce que Je dis, car Je te dis la Vérité: Quiconque vient à Moi avec le sentiment de regret des péchés qu’il a commis et ayant la qualité d’avoir honte (de ce qui est répréhensible), Je lui pardonne. En ce qui concerne ceux qui persistent dans leurs péchés, Je les oublie».
Cela montre que la charge retenue contre ceux qui s’abstiennent de commettre leurs péchés publiquement est plus légère, car ils se sentent honteux de leurs mauvaises actions et n’encouragent pas les autres à suivre leur mauvais exemple.
En tout cas, le repentir doit être réel et on doit être déterminé de s’abstenir de tout péché à l’avenir.
L’Imam al-Bâqir (P) a dit:
«Celui qui se repent de son péché est comme celui qui n’a jamais commis de péché. Et celui qui demande pardon sans cesser de pécher est comme quelqu’un qui se ridiculise soi-même».
Ayant été interrogé sur l’interprétation du verses coranique: «O vous qui croyez! Repentez-vous devant Allah avec un repentir sincère.» (Sourate al-Tahrîm, 66: 8), l’Imam al-Sadiq (P) a dit: «Le repentir sincère signifie qu’on doit regretter son péché et qu’on ne doit plus jamais le commettre de nouveau».