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Mise en mouvement des troupes musulmanes vers Siffîn.
Quinze jours après la fin de la bataille du chameau, l’Imam Ali (Psl) ayant déjà nommé ‘Abdullah Ibn Abbâs gouverneur de Basra, mit en mouvement ses troupes en direction de Kûfa. Le Calife avait décidé de faire de cette ville le siège de son gouvernement. Au moins deux raisons militaient en faveur du choix de Kûfa.
La toute première de ces raisons était d’ordre stratégique. Kûfa se trouvait au centre de l’Empire, à égale distance des principales régions composant l’Arabie ancienne. Ce qui réduisait de beaucoup les charges suscitées par les déplacements de l’Armée de la Umma et augmentait sa mobilité.
La deuxième raison était l’avantage numérique de la population de Kûfa par rapport à celle de Médine mais aussi son plus grand attachement à l’Imam Ali. A Médine l’Imam n’avait pas réussi à lever une armée de plus de neuf cents hommes alors qu’à Kûfa plus de neuf mille hommes s’alignèrent derrière lui.
Cette ville était entièrement acquise à l’Imam Ali et à ses partisans.
Après l’établissement du califat à Kufa et la nomination de nouveaux gouverneurs efficaces tout en éliminant les corrompus, partout les gens parlaient du califat d’Ali (AS) sauf dans une région : la Syrie. La Syrie était toujours sous l’influence et la domination de Muawiya, qui avait conditionné son serment d’allégeance à l’Imam (AS), à la remise des responsables du meurtre d’Othman.
De toute évidence, ce n’était qu’un simple prétexte pour refuser de prêter allégeance afin qu’à long terme, Muawiya devienne le souverain de la Syrie, comme cela s’était produit sous le règne des deux califes précédents.
Cause de la bataille
Les premiers mouvements pour cette bataille se produisirent dès que l’Imam Ali (a) devint calife. L’Imam Ali voulait désigner Abd Allah b. Abbas comme le calife de Cham, il écrivit alors une lettre à Muawiya en lui demandant de venir à Médine avec les nobles de la ville de Cham. Aussi, il mentionna dans cette lettre que les gens ont tué ‘Uthman sans consultation avec lui, et qu’ensuite, c’est selon le consensus de la communauté islamique il a été élu comme calife.
Dans une lettre à Muawiya, l’Imam écrivit:
« L’allégeance avec moi est une allégeance générale et concerne tous les musulmans y compris les gens qui étaient présents lors de l’allégeance à Médine, mais aussi les gens de Bassora, de Cham et les gens des autres villes. Imagines-tu qu’en m’accusant de l’assassinat de ‘Uthman, tu pourras échapper à cette allégeance? Tout le monde est conscient du fait que ce n’est pas moi qui l’ai tué ; et [après tout] la vengeance de la mort de ‘Uthman revient plutôt à ses héritiers qu’à toi. En plus [tant qu’il était en vie], c’était toi-même qui t’opposais à lui et lorsqu’il t’a demandé le secours, tu ne l’as pas aidé jusqu’à ce qu’il soit tué ». [1]
Muawiya ne répondit pas à cette lettre. [2] Après la bataille de Jamal, l’Imam resta à Kufa et essaya de convaincre Muawiya de lui obéir. Mais après avoir été convaincu que Muawiya ne lui fera pas l’allégeance, il fit un discours et invita les gens de Kufa à le combattre. [3]
Cependant, sa ruse s’opposait à la vertu d’Ali (AS), et Muawiya a dû donc être affronté.
En fin de compte, l’Imam (AS) partit pour Siffin afin d’affronter les forces de Muawiya.
Rassemblement des soldats
Dans une lettre, l’Imam Ali (a) demanda à Abd Allah b. Abbas d’inviter les gens de Bassora à combattre Muawiya. De ce fait, plusieurs hommes de Bassora joignirent l’Imam, avec Abd Allah b. Abbas. Il envoya aussi une lettre à l’émir de Isphahan, Mikhnaf b. Sulaym et l’invita à le joindre.[4]
Certaines femmes de Kufa aussi furent présentes dans cette bataille qui, en récitant des poésies, encourageaient les hommes de leurs tribus à combattre Muawiya. Parmi elles, on peut citer:
Sudah la fille de Ammâra Al-Hamdani
Umm Sanân[5]
Zarqâ’ la fille de ‘Uday Al-Hamdani[6]
Umm Al-Khayr
Jarwah la fille de Murrat b. Ghalib Al-Tamimi.[7]
Parmi les partisans de Muawiya, on peut citer les suivant:
‘Amr b. ‘Âs (qui était en Palestine, mais Muawiya lui demanda de le rejoindre pour consulter avec lui dans cette bataille)[8]
‘Ubayd Allah b. ‘Umar
Abd Al-Rahman b. Khâlid b. Walid
Abd Allah b. ‘Amr b. ‘Âs
Marwan b. Hakam
Mu’âwiya b. Hudayj
Dhahhak b. Qays
Basr b. Artat
Shurahbil b. Samt Kindi
Habib b. Muslimah[9]
La Marche de ‘Ali vers la Frontière Syrienne
Ayant été mis au courant de toutes ces agitations en Syrie, ‘Ali essaya une fois de plus (en Cha’bân 36 H., soit Janvier 657 ap. J. -C.) de recourir aux moyens pacifiques pour régler la situation, en envoyant à Muawiya un chef des Banî Bajila , nommé Jarîr, Gouverneur de Hamadân, qui se trouvait à ce moment-là à Kûfa à la suite de la convocation qu’il avait reçue pour prêter serment d’allégeance au nouveau Calife. Il était connu pour ses relations amicales avec Muawiya. Son retour à Kûfa se fit attendre avec angoisse. Finalement, il y revint, après trois mois d’absence, porteur d’un message oral de Muawiya, selon lequel ce dernier ne pourrait faire son allégeance que si les meurtriers de ‘Othmân étaient punis.
Mâlik al-Achtar accusa le messager d’avoir perdu son temps à prendre du plaisir en compagnie de Muawiya, lequel le retint intentionnellement aussi longtemps que possible afin d’achever l’élaboration de ses plans d’hostilité. Prétendant être offensé par cette imputation, Jarîr quitta Kûfa et rejoignit Muawiya.
Constatant qu’il n’y avait aucun espoir à ramener Muawiya à la raison, ‘Ali se résolut à marcher sur la Syrie sans plus attendre. Au mois de Thilqa’dah, 36 H. (soit en Avril 657 ap. J. -C.) il envoya un détachement comme garde avancée pour le rencontrer à Riqqah, alors qu’il se dirigeait, avec son armée vers Madâ’in. De là, il dépêcha un contingent, et marcha à travers le désert mésopotamien.
La Source Miraculeuse dans le Désert Mésopotamien
Sur sa route, il dut faire halte à un endroit, où il n’y avait pas d’eau disponible, et le manque s’en fit profondément ressentir par l’armée. Un ermite chrétien qui vivait dans une grotte près du campement de l’armée fut appelé, et on lui demanda de trouver un puits. Il assura à ‘Ali qu’il n’y avait pas de puits à proximité, mais un simple réservoir ne contenant pas plus de trois seaux d’eau de pluie.
‘Ali lui dit alors: «Je sais pourtant que certains des Prophètes de Banî Isrâ’îl des époques reculées ont fixé leur demeure à cet endroit, et creusé un puits pour leur réserve d’eau». L’ermite répondit que lui aussi en avait entendu parler, mais que le puits avait été rebouché depuis bien longtemps, qu’il n’en restait aucune trace, et que selon une vieille tradition, personne si ce n’était un prophète ou quelqu’un d’envoyé par un prophète, ne le découvrirait ni ne l’ouvrirait.
«Puis, dit la tradition arabe, il présenta un rouleau de parchemin sur lequel Simeon Ibn Çafâ (Simon Cephos), l’un des plus grands apôtres de Jésus-Christ, avait écrit la prédiction de la venue de Mohammad, le dernier des Prophètes, et la découverte et la réouverture de ce puits par son héritier et successeur légal. [10] ‘Ali écouta attentivement cette prédiction, puis se tournant vers ses accompagnateurs et pointant son doigt sur un endroit précis, leur dit: “Creusez ici”. Ils s’exécutèrent et après quelque temps de creusement ils heurtèrent une énorme pierre qu’ils déplacèrent avec beaucoup de difficultés pour découvrir le puits miraculeux qui fournit à l’armée une provision bien opportune, ainsi que la preuve de la légitimité du Califat de ‘Ali. Le vénérable ermite fut complètement convaincu, se jeta aux pieds de ‘Ali et embrassa ses genoux, et il ne le quitta plus jamais à l’avenir». (“Successors of Mohammad” de W. Irving, p. 180).
Après avoir remercié Dieu et pris suffisamment d’eau pour l’année, ‘Ali se remit en route. Traversant le désert mésopotamien, il arriva à Riqqah, aux bords de l’Euphrate. Un pont de bateaux fut installée et l’armée traversa le fleuve, puis s’avança vers l’ouest où elle rencontra l’avant-poste syrien à Sour-al-Rûm. Après quelques escarmouches entre les avant-gardes des deux armées, l’ennemi prit la fuite et l’armée de ‘Ali poursuivit son avance pour arriver à un point où elle était en vue du principal corps des forces de Muawiya, déjà stationnées à Çiffîn. (Mois de Thilhaj, 36 H., soit Mai 657 ap. J. -C.).
Début de la bataille
L’armée de l’Imam Ali (a) se confronta avec celle de Mu’âwiya à la frontière de Rome (au nord de l’Irak et de la Syrie actuels). L’Imam avait envoyé Malik Al-Ashtar et lui avait ordonné de ne pas commencer le combat. Dès que Malik y arriva, l’armée de Mu’âwiya commença le combat mais après peu de temps elle recula.[11]
Lorsque le mois de Muharram arriva, on fut censé d’arrêter le combat pendant ce mois.[12] Les deux camps continuaient à négocier, alors que la condition principale de Mu’âwiya fut venger la mort de ‘Uthman par l’assassinat de ‘Ammar, ‘Uday b. Hatam, Malik et d’autres gens qui y avaient participé.
Le premier jour du mois de Safar, un fort combat se déroula. Chaque jour, un commandeur de l’armée de l’Imam, prenait le drapeau et commençait le combat. Le premier jour, ce fut Malik qui prit le drapeau, le deuxième jour Hashim b. ‘Utba, le troisième jour Ammar Yassîr, le quatrième jour Mohammed Hanafiyya et le cinquième jour Abd Allah b. Abbas.[13]
Blocus de l’Euphrate
L’armée de Mu’âwiya ferma tous les chemins vers l’Euphrate pour empêcher l’armée de l’Imam d’avoir accès à l’eau. L’Imam (a) appela Musayyîb b. Rabi’ Riyahi et Sa’sa’a b. Sawhan et leur dit:
« Allez auprès de Mu’âwiya et dites-lui: « Tes partisans nous empêchent de prendre de l’eau. Si nous étions à votre place nous ne le ferions jamais et nous ne nous comportions pas comme ce que vous avez fait. Enlevez le blocus pour que tout le monde puisse en profiter. Sinon on va se battre pour l’eau et quiconque peut prendre de l’eau, gagnera le combat ».[14]
Au cours de la conversation de Mu’âwiya avec les envoyés de l’Imam Ali (a), Mu’âwiya se fâcha et dit:
« Ali ne pourra jamais prendre de cette eau. Que Dieu me prive de l’eau du bassin de Kawthar, si je permets Ali de boire de l’Euphrate. Sauf si il prend l’Euphrate par force ».[15]
Enfin, les soldats de l’Imam (a) réussirent de briser le blocus et conquérir l’Euphrate. Cependant, l’Imam Ali (a) ordonna de ne pas empêcher les soldats de Mu’âwiya de prendre de l’eau.[16]
Nuit d’Al-Harir
La nuit d’Al-Harir (ليلة الهَرير) fut une nuit pénible. Les deux armées firent le combat durant cette nuit et plusieurs personnes furent tuées. Mînqâri (Nasr b. Muzahim) a dit:
« Dans la nuit, les soldats commencèrent la bataille, en jetant des lances et des pierres l’un sur l’autre. Ensuite, ils commencèrent leur attaque par leurs épées. A ce moment-là, on n’entendait que le bruit des lances et des épées. Le bruit qui effrayait les hommes plus que les tonnerres ».[17]
Ibn Miskéwayh a décrit cette nuit de cette façon:
« Durant cette nuit, ils combattirent d’une telle façon que les lances furent cassées et qu’ils prirent leurs épées pour continuer la bataille ».[18]
La fin de cette nuit, lorsque les soldats de l’Imam (a) allaient mettre fin au combat et vaincre l’armée de Mu’âwiya, Ash’âth se tint debout parmi les gens de la tribu Kînd, fit un discours et proposa de ne plus couler le sang des innocents et d’arrêter le combat.[19]
Ruse de Mu’âwiya
L’armée de Mu’âwiya allait être vaincue par les attaques de Malik Ashtar. Mu’âwiya consulta avec Amr b. ‘Âs.[20] Ce dernier proposa de mettre le Coran sur les lances. Les soldats le firent en s’écriant:
« Ô peuple d’Irak! Il faut que l’Arbitre entre vous et nous soit le Coran ».
D’après une autre narration, les soldats de Cham s’écriaient:
« Ô arabes! Pensez à vos femmes et vos filles. Si on vous tue, qui combattra alors contre les romains, les turcs et les perses ».[21]
Réaction de l’armée de l’Imam Ali (a)
Les soldats de l’armée de l’Imam (a) lui demandèrent d’accepter la proposition de Mu’âwiya. Ash’âth qui faisait partie de l’armée de l’Imam, ne cessait d’inviter les gens à accepter la paix. Mais Malik Al-Ashtar qui pensait qu’il fallait continuer le combat, ne disait rien et attendait la réponse de l’Imam Ali (a).[22]
L’Imam Ali (a) se tint debout et dit:
« Un jour j’étais votre commandeur mais maintenant on dirait que je suis obligé d’accepter votre opinion. Vous désirez être à l’aise et je ne peux pas vous obliger à ce qui ne vous plaît pas ».[23]
Arbitrage
Amr b. ‘Âs réussit de faire la discorde parmi les soldats de l’Imam Ali (a). L’Imam Ali (a) leur annonça plusieurs fois que ce n’est qu’une ruse pour les désolidariser. Mais à la fin, il fut obligé de l’accepter. Il envoya une lettre à Mu’âwiya et dit: « Bien que je sache que tu ne suis pas le Coran, j’accepte l’Arbitrage ».[24] L’armée de Mu’âwiya choisit Amr b. ‘Âs mais dans l’armée de l’Imam Ali (a) il eut une divergence. L’Imam Ali (a) proposa Malik Al-Ashtar ou Abd Allah b. Abbas mais Ash’âth b. Qays et ses suivants qui étaient dans l’armée de l’Imam, n’acceptaient que Abou Musâ Al-Ash’ari.[25] Alors, Amr b. ‘Âs et Abou Mousâ Al-Ash’âri se mirent d’accord sur le fait de ne plus considérer l’Imam Ali (a) et Mu’âwiya comme des califes et de confier la responsabilité d’élire un calife, aux conseillers.
Ils vinrent alors devant tout le monde pour annoncer la conclusion. Abu Musâ Al-Ash’âri annonça qu’il ne considère plus l’Imam Ali (a) comme calife. Amr b. ‘Âs le confirma mais au lieu de dire la même chose concernant Mu’âwiya, confirma la parole de Abu Musâ et élut Mu’âwiya comme le calife. A ce moment-là, tous les deux, se mirent à se disputer et s’insulter.[26]
Fin de la bataille
Par la ruse de Amr b. ‘Âs, Mu’âwiya réussit d’échapper à la défaite. A partir de là, l’Imam Ali (a) fit tout son possible pour rassembler à nouveau une armée mais les gens de Kufa et Hejaz ne lui furent plus soumis. En plus, ce fut le moment où un groupe appelé les Khawarij se séparèrent de l’Imam à Kufa et se préparaient pour combattre contre l’Imam (La Bataille de Nahrawân).
Notes:
- Sharh Nahj Al-Balagha, Ibn Abi Al-Hadid, v 3 p 89
- Ansab Al-Ashrâf, v 2 p 211
- Al-Fotouh, Ibn A’tham, v 2 p 375
- Waq’at Siffîn, Ibn Muzahim, p 115
- Al-Fotouh, Ibn A’tham, v 2 p 101
- Al-Fotouh, Ibn A’tham, v 3 p 142
- Akhbar Al-Wafidat min Al-Nissa’, Ibn Bakar, p 36
- Al-Fotouh, Ibn A’tham, v 2 p 382
- Waq’at Siffîn, p 195, 429, 455, 461 et 552; ‘Usd Al-Ghaba, Ibn Athir, v 3 p 426
- “Habîb al-Sayyâr”; “Târîkh al-Kirâm”.
- Tarikh Khulafa, Ja’farian, p 276
- Waq’at Siffîn, Ibn Muzahim, p 196
- Ansab Al-Ashrâf, v 2 p 305
- Al-Fotouh, Ibn A’tham, v 3 p 5-6
- Al-Fotouh, Ibn A’tham, v 3 p 7
- Al-Fotouh, Ibn A’tham, v 3 p 12-13
- Waq’at Siffîn, Ibn Muzahim, p 475; Tadhkira Al-Khawass, p 92
- Tajarib Al-‘Umam, v 1 p 535
- Waq’at Siffîn, Ibn Muzahim, p 480-481
- Sharh Nahj Al-Balagha, Ibn Abi Al-Hadid, v 2 p 210
- Waq’at Siffîn, p 478
- Waq’at Siffîn, p 483-484
- Waq’at Siffîn, p 484
- Waq’at Siffîn, p 490
- Al-Fotouh, Ibn A’tham, v 4 p 197-198
- Waq’at Siffîn, Ibn Muzahim, p 545