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Les approches respectives des deux Ecoles
Quant aux termes de compagnie et de Compagnons:
1- La définition du “Compagnon” donnée par chacune des deux Ecoles
2- L’équité des Compagnons dans les deux Ecoles
A- La définition du ”Compagnon” dans les deux Ecoles
1- Dans l’Ecole des califes
Ibn Hajar dit dans l’introduction de son Içâbah, chap. 1 (la définition du terme Compagnon): c’est celui qui rencontra le Prophète (SAW) en croyant en lui puis mourut en musulman. Cela englobe ainsi ceux dont la compagnie était de longue durée ou courte, qui avaient ou non rapporté ses hadiths, qui avaient ou non combattu avec lui, qui l’avaient simplement vu sans pouvoir l’aborder et ceux qui n’ont pu le voir à cause d’un empêchement quelconque comme la cécité.(1)
Le même auteur ajoute les précisions suivantes: Lors de conquêtes musulmanes seules des Compagnons étaient chefs d’expéditions.
En l’an 10 (dix) de l’hégire, tout homme originaire de la Mecque ou de Tâ’if embrasse l’Islam et participe au pèlerinage de l’Adieu, effectué par le Prophète (SAW).
A la fin de l’apostolat du Prophète, tous les membres d’Al-Aws et d’Al-Khazraj (les deux tribus d’Al-Ançars) étaient devenus musulmans de telle sorte qu’à la mort du Prophète aucun d’eux ne manifestait d’incrédulité. (2)
Par ailleurs, dans notre livre (150 Compagnons inventés), le chercheur pourra voir les méfaits de cette indulgence sur les hadiths prophétiques.
2- La définition du “Compagnon” dans l’Ecole d’Ahlul-Bayt (a. s.)
Selon cette Ecole, le sens du Compagnon est celui qu’on trouve dans les dictionnaires de langue arabe: As-çâhib, plur : çahb, Açhâb, çihâb et çahâbah, celui qui vit avec, qui tient compagnie pour une durée assez importante. (3)
Comme toute compagnie implique l’existence de deux personnes au moins, il est évident que le terme compagnon doit être suivi du complément de nom comme cela est utilisé dans le Sait Coran: «Ô mes compagnons de prison!», «Les compagnons de Mussa (Moïse)» et dans la Sîrah et les hadiths: «compagnon du Prophète, les Compagnons (Açhâbu) du Messager d’Allah», «les Compagnons de l’allégeance prêtée sous l’Arbre», «les compagnons d’As-çuffah». Le qualificatif “compagnon” n’était pas, à l’époque du Prophète (SAW), utilisé comme nom comme il le sera plus tard chez les adeptes de l’Ecole des califes. Le terme compagnon devient alors porteur d’une terminologie propre venant s’ajouter à son sens primitif.
3- Leur critère quant à la détermination du “Compagnon”.
Ibn Hajar rapporte la position des adeptes de l’Ecole des califes et donne dans son livre Al-Içâbah le critère choisi pour distinguer ce qui fut compagnon de ce qui ne le fut point:
«D’après les dires des imams (ulémas), le qualificatif par lequel on reconnaît le Compagnon du Prophète est celui rapporté par Ibn Abî Shaybah dans son Muçannaf, d’après une chaîne de récits valables, à savoir que lors des premières conquêtes (futûh), seul un Compagnon (du Prophète) était désigné pour être à la fête d’une expédition». (4)
Le récit dont il s’agit, qu’Ibn Hajar qualifie de valable, est celui rapporté par At-Tabarî et Ibn ‘Assâkir à partir de Sayf, Abî ‘Uthmân, Khâlid et ‘Ubâdah. Le même At-Tabarî rapporte, à partir du même Sayf que le calife ‘Umar ne désignait comme chefs (commandants, gouverneurs) que des Compagnons tant qu’il en trouvait(5), sinon, il nommait, à cet effet, des Tâbi’îne (disciples des Compagnons). Ceux qui ont connu la rébellion de l’apostolat (après la mort du Prophète) ne pouvaient accéder à ce genre de postes… (6)
Critique:
L’origine des deux récits précédents est Sayf accusé d’hérésie et d’invention de hadiths. (7)
Par ailleurs, Abû ‘Uthmân cité par Sayf est une pure imagination de ce dernier. Il s’agit de Yazîd b. Ussayd Al-Ghassânî qui était une fabrication de Sayf. (8)
Quoi qu’il en soit, la réalité historique rapporte à ce sujet des informations contraires. Ainsi, dans Al- ‘Aghânî, l’auteur rapporte ceci: «le nommé Mru’ul-Qays embrassa l’Islam devant ‘Umar (le 2e calife) qui le nomma aux commandes avant qu’il ne fît une rak’ah – (une prière). Quand il accepta d’adopter l’Islam que ‘Umar lui eut proposé, il lui donna l’autorité sur les Musulmans originaires de Qudâ’ah en Syrie. L’homme repartit alors avec l’étendard (du chef) qui flottait au-dessus de sa tête». (9)
De même, ‘Alqamah b. ‘Ilâthah al-Kalbî qui, après avoir renié l’Islam et regagné Bizance, revint à l’époque de ‘Umar le calife, réembrassa l’Islam devant lui et se vit attribuer l’autorité sur la province de Hurân, une région de Damas (en Syrie).
C’est la réalité que nous enseigne l’histoire, mais les ‘Ulémas de l’Ecole des califes s’appuyèrent sur des récits tels que ceux rapportés par Sayf et consorts (étudiés dans notre livre: 150 compagnons inventés) et en puisèrent leur critère relatif à la reconnaissance des compagnons.
B- L’équité des Compagnons dans les deux Ecoles
1- Selon l’Ecole des califes, tous:
Les Compagnons du Prophète sont justes et équitables. Ce a priori lui permet de puiser ses convictions auprès des Compagnons considérés tous comme des références valables.
Ibn Abî Hâtim Ar-Râzî (imam “sunnite”: de la critique des rapporteurs) dit dans l’introduction de son livre(10): «quant aux Compagnons du Prophète (SAW), ce sont eux qui ont été témoins de la Révélation, qui ont pris connaissance de son interprétation et qu’Allah avait choisis pour la compagnie de Son Prophète, pour son soutien pour l’établissement de Sa religion et la manifestation de Sa Vérité. Il les a agréés comme compagnons de Son Prophète et érigés pour nous comme exemples à suivre…
Allah – glorifié soit-IL – nous appelle à nous en tenir à leur guidance et à leur emboîter le pas :
«Quiconque se sépare du Messager… quiconque suit un autre chemin que celui des croyants sera chargé par Nous de ce dont il se sera chargé …». (V. 115/IV) (11)
On rapporte, à ce propos, qu’Abû Zar’ah dit: «Si tu entends qn diminuer un Compagnon du Prophète (SAW), sache alors qu’il s’agit d’un zindîq (un hérétique). La raison en est que la prophétie est vraie, que le Coran est vrai, que le Message qui vous est parvenu est vrai et que c’étaient les Compagnons qui l’ont transmis. Attaquer nos témoins c’est vouloir annuler le livre et la Sunnah. La critique ne concerne en fait que ces hérétiques là». (12)
2- L’opposition de l’Ecole d’Ahlul-Bayt (a. s.) au sujet de l’équité des Compagnons.
A l’instar du Sait Coran, cette Ecole considère que parmi les Compagnons il y eut des croyants qu’Allah a loués, disant à propos de l’allégeance sous l’Arbre:
«Allah a très certainement agréé les croyants quand ils t’ont prêté serment d’allégeance sous l’Arbre (de Hudaybiyyah). Il a su ce qu’il y avait dans leur cœur et a fait descendre sur eux la quiétude et les a gratifiés par une victoire proche». (V. 18/XLVIII)
La louange est donc spécifiée et ne concerne que les croyants qui ont assisté à ce serment, à l’exclusion des hypocrites qui y étaient présents comme Abdullah b.’Ubay et Aws b. Qaydhâ. (13)
Parmi ceux-ci, certains osèrent même calomnie la maison même du Messager d’Allah (SAW) et son foyer conjugal, qu’Allah nous protège de ce genre de propos. (14)
Concernant d’autres, Allah dit:
«Quand ils entrevoient quelque commerce ou quelque divertissement, ils s’y dispersent et te laissent debout». (V. 11/LXII)
Cela s’est passé quand le Messager (SAW) était dans la mosquée en plein serment du vendredi.
D’autres ont essayé de tuer le Messager d’Allah (SAW) au niveau de ‘Aqabah à son retour de la bataille de Tabûk (15)ou du pèlerinage d’adieu. (16)
Avoir bénéficié de la compagnie du Prophète (SAW) n’est certainement pas plus considérable que la prérogative d’être son épouse. Le mariage avec lui constituait certes, le plus haut degré de la compagnie. Or, Allah – exalté soit-IL – dit, au sujet des épouses du Prophète (SAW):
«Ô femmes du Prophète! Celle, d’entre vous, qui commettra une turpitude prouvée le châtiment lui sera doublé par deux fois! Et ceci est facile pour Allah. Et celle d’entre vous qui entièrement soumise à Allah, à Son Messager et qui fait le bien, Nous lui accorderons deux fois sa récompense et Nous avons préparé pour elle une généreuse attribution. Ô! Femmes du Prophète vous n’êtes comparables à aucune autre femme». (Vs. 30-32/XXXIII)
Allah dit, en ce qui concerne deux d’entre elles:
«Si vous vous repentez à Allah, c’est que vos cœurs ont fléchi. Mais si vous vous soutenez l’une l’autre contre le Prophète, alors ses alliés seront Allah, Gabriel et les Vertueux d’entre les croyants et les anges sont par surcroît son soutien … jusqu’à: Allah à cité, en parabole pour ceux qui ont mécru, la femme de Nûh (Noé) et la femme de Lot. Elles étaient sous l’autorité de deux vertueux de Nos serviteurs. Toutes deux les trahirent et ils ne furent, vis à vis d’Allah, d’aucune aide pour elles (ces deux femmes). Et il fut dit: Entrez au feu, toutes les deux avec ceux qui y entrent …» (Sourate At-Tahrîm tout entière LXVI)
Parlant du Jour de la Résurrection, le Messager d’Allah (SAW) dit: «On amènera des hommes de ma Communauté, qui seront conduits à gauche. Je dirai alors: ô mon Seigneur! Ce sont mes Compagnons! IL me dira: tu ne sais pas ce qu’ils ont fait après toi! Je dirai ce qu’a dit le serviteur vertueux: «et je fus témoin à leur encontre aussi longtemps que je fus parmi eux. Puis quand tu m’as rappelé, c’est Toi Qui fus Surveillant à leur endroit …» (V. V117/V); IL me dira: «ceux-là sont retournés à leur ancien état depuis que tu les as quittés». (17)
Dans un autre récit: «Certains de mes compagnons seront refoulés du Bassin; je les reconnais et dis: ce sont mes compagnons! IL répondit: tu ne sais pas ce qu’ils ont commis après toi». (18)
3- Critère pour la distinction du croyant de l’hypocrite
Les hypocrites parmi les Compagnons n’étaient connus que par Allah. Néanmoins, pour en informer Son Prophète, IL en donna des indices, notamment le récit selon lequel «’Ali ne sera aimé que par le croyant et ne sera détesté que par l’hypocrite», rapporté par ‘Ali lui-même (a. s), Ummu Salamah (mère des croyants), Abdallah b. Abbâs, Abû Dhar al-Ghifârî, Anas b. Malik et ‘Imrân b. Huçayn. Ce récit était répandu et célèbre à l’époque du Prophète (SAW).
En effet, Abû Dhar dit: «Nous ne reconnaissions les hypocrites que parce qu’il leur arrivait de nier la parole d’Allah et celle de Son Prophète, de s’absenter des prières et de détester ‘Ali b. Abî Tâlib». (19)
Abû Sa’îd al-Khudrî dit aussi: «Nous reconnaissions les hypocrites – nous al-Ançars – à l’animosité qu’ils avaient à l’égard de ‘Ali b. Abî Tâlib». (20)
A son tour, Abdallah b. Abbâs dit: «À l’époque du Prophète (SAW), nous reconnaissions les hypocrites à la haine qu’ils manifestaient à l’égard de ‘Ali b. Abî Tâlib». (21)
Jâbir b. ‘Abdallah al-Ançârî rapporte un récit similaire. (22)
A cause de tout ceci et de cet autre récit dit en faveur de l’Imam ‘Ali (a. s): «Ô Seigneur! Sois l’Allié de ceux qui le soutiennent et l’ennemi de ses ennemis»*23, les partisans de l’Ecole d’Ahlul-Bayt, se gardent bien de chercher les repères de leur religion auprès d’un Compagnon qui détestait ‘Ali et ne l’aimait point de peur que ce Compagnon ne fît partie des hypocrites que seul Allah connaît.
Notes:
- Ibn Hajar, Al-Içâbah, 1/10
- idem, pp. 13 et 16
- Ibn Mandhûr, Lissânul-‘Arab (le terme çâhib) et Ar-Râghib, Mufiadât (le terme çahiba)
- Ibn Hajar. Al-Içâbah, 1/13
- At-Tabarî, op. cit.,1/2151
- At-Tabarî, op. cit., 1/2457, 2458
- S. Murtadâl-‘Abdullah. b. Saba’, T1 (biog : Sayf)
- Voir le manuscrit: Rapporteurs inventés de S. Murtcidal-‘Askarî et son Livre susmentionné 1/117
- Al-Asbahânî, Al-Aghânî, 14/157 et Ibn Hazm …
- Abû Muhammed Abdur-Rahmân ibnu Abî Hâtim Ar-Râzî (mort en 327 h), Al-Jarhu wat-Ta’dîl, “Introduction”, éd.: Haydar Abâd, 1371 h., pp. 7-9
- L’Ecole d’Ahlul-Bayt estime que seuls les croyants parmi eux sont visés par ce verset.
- Ibn Hajar, Al-Içâbah, op. cit., 1/18. Mais alors que peut dire l’imam Abû Zar’ah à propos des hypocrites parmi les Compagnons du Prophète (SAW)?!
- Voir le récit du serment sous l’Arbre dans Maghâzî Al-Wâqidî, p. 588 et dans Imtâ’ul-Asmâ’ d’al-Maqrîzî, p.284
- Référence à l’histoire de la calomnie à propos de laquelle les versets 11-17 de la sourate An-Nûr furent révélés, concernant l’innocence de ‘Aïsha face aux accusations portées contre elle, comme elle l’a rapporté ou l’innocence de Mârya, face aux accusations portées contre elle d’après les paroles d’autrui. Voir T: 2 des ”récits de la mère des croyants’ Aïsha”
- Ahmed b. Hanbal, Al-Musnad, 5/390 et 453. Voir aussi Muslim, 8/122-123, chap., “Qualificatifs des hypocrites”. Voir aussi: Al-Haythamî, Majma’uz-Zawâ’id, 1/110 et 6/195. Al- Wâqidî, Al-Maghâzî, 3/1042; Imtâ’ul…, p. 477 et As-Suyûtî, Ad-Durrul manthûr, à propos du verset 74 de la sourate At-Tawbah «ils ont projeté ce qu’ils n’ont pu accomplir». 3/258-9
- Les récits Shi’ites rapportent que cela se déroula à son retour du pèlerinage d’adieu à l’occasion de l’événement de Ghadîr Khum à Al-Johfah. Voir: Al-Majlissî dans Al-Bihâr, 25/97, éd., Al-Maktabah al-Islâmiyyah, Téhéran 1392 h.
- Al-Bukhârî, op. cit., “Livre de l’explication”: sourate Al- Mâ’idah (V), à propos cité ci-dessus. Voir aussi, “Livre des prophètes”, idem et At-Tirmidhî, Çifâtul-Qiyâmah et à propos de la sourate Tâhâ.
- Al-Bukhârî, op. cit., “Livre d’Ar-riqâq“, Al-Hawd, 4/95; “Livre d’al-fitan“, V. 25/VIII; Ibn Mâjah, Al-Manâsik, h/5830 et Ahmed, Al-Musnad, 1/453, 3/28 et 5/48
- Al-Hâkim, Al-Mustadrak, 3/129 et Al-Muttaqî Al-Hindî, Kenzul-‘Ummâl, 15/91
- At-Tirmidhî, op. cit., 13/167 et Abû Nu’aymi, Al-Hilayl, 6/284
- Al-Khatîbul-Bagdâdî, Târîkh Bagdad, 3/153 à propos du Verset 29/XLVIII, le récit d’Ibn ‘Abbâs.
- Ibn ‘Abdil-Barr, Alistî’âb, 2/464; 2/284 d’Ar-Riyâdun-Nadirah; 2/198 de Târikh Adh-Dhahabî, 9/133 de Majma’uz-Zawa’id, citant le récit concernant la reconnaissance des hypocrites à l’époque du Prophète (SAW); At-Tirmidhî, Sunan, 13/165, chap. , Manâqib ‘Ali; Ibn Mâjah, Sunan, chap., fadu ‘Ali, h/ 116; An-Nassa’î, Khaça’içu …, pp. 4-30; Ahmed, Al- Musnad, 1/84, 88, 118, 119, 152, 330, 4/281, 368, 370, 372, 5/307, 347, 350, 358, 361, 366, 419, 568; Al- Hâkim, Al-Mustadrak, 2/129, 3/9 et dans d’autres références