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Présentation
L’invocation de l’Imam al-Husayn (a) au jour de ‘Arafa, d’après les chiites, est une des plus importantes invocations. Elle contient des enseignements ésotériques et théologiques. D’après les rapports, l’Imam la récita accompagné de sa famille en dehors des tentes.
Contenu
L’invocation de l’Imam al-Husayn (a) du jour de ‘Arafa contient des enseignements très profonds dont les plus importants sont :
- La connaissance de Dieu, de Ses attributs et la connaissance des prophètes.
- La méditation sur l’univers et se rappeler des bienfaits divins.
- Se repentir auprès d’Allah et Lui demander le pardon.
- Demander ce dont on a besoin en commençant par la prière sur le Prophète (s) et les membres immaculés de sa famille.
- Demander la bénédiction, la lumière de la guidance et la miséricorde divine.
Texte et la traduction de l’invocation
Invocation de l’Imam al-Husayn (a) le jour de ‘Arafa
Traduction | Phonétique | Texte de l’invocation |
Louange à Dieu qui n’a pas d’objecteur à Son Décret, ni d’opposant à Son Don, et aucune d’oeuvre d’un artisan n’est semblable à la Sienne, Il est Le Généreux Donateur, Il a créé les espèces de créations originales et a fabriqué à la perfection Ses créatures par Sa Sagesse. Les avant-gardes ne lui sont pas cachées ni les dépôts ne sont perdus chez Lui. Il récompense tout artisan, enrichit quiconque se contente de peu, fait miséricorde à quiconque L’implore, fait descendre tout ce qui est bénéfique et le Livre rassemblant [tout], par la lumière éclatante. Il est Celui qui entend les invocations, qui dissipe les peines, qui élève les degrés. | Al-hamdu li-llâhi al-ladhî laysa li-qadâ’ihi dâfi‘unn, wa lâ li-‘atâ’ihi mâni‘unn, wa lâ kasun’ihi sun‘u sâni’inn, wahuwa-l-jawâdu-l-wâsi’u, fatara ajnâsa-l-badâ’ i‘ i, wa atqana bihikmatihi as-sanâ’i‘i. Lâ takhfâ ‘alayhi at-talâ’i‘u wa lâ tadî‘u ‘indahu al-wadâ’i‘u. Jâzî kulli sâni’inn, wa râ’ishu kulli qâni‘inn, wa râhimu kulli dâri’inn, wa munzilu-l-manâfi‘i, wa-l-kitâbi-l-jâmi‘i bi-n-nûri-s-sâti‘i. Wa huwa li-d-da‘awâti sâmi-‘unn, wa li-l-kurubâti dâfi’unn, wa lid-darajâti râfi’unn. | اَلْحَمْدُ لله الَّذى لَيْسَ لِقَضآئِهِ دافِعٌ وَلا لِعَطائِهِ مانِعٌ وَلا كَصُنْعِهِ صُنْعُ صانِعٍ وَهُوَ الْجَوادُ الْواسِعُ فَطَرَ اَجْناسَ الْبَدائِعِ واَتْقَنَ بِحِكْمَتِهِ الصَّنائِعَ لا تَخْفى عَلَيْهِ الطَّلايِـعُ وَلا تَضيعُ عِنْدَهُ الْوَدائِعُ جازى كُلِّ صانِعٍ وَرائِشُ كُلِّ قانعٍ وَراحِمُ كُلِّ ضارِعٍ وَمُنْزِلُ الْمَنافِعِ وَالْكِتابِ الْجامِعِ بِالنُّورِ السّاطِعِ وَ هُوَ لِلدَّعَواتِ سامِعٌ وَلِلْكُرُباتِ دافِعٌ وَلِلدَّرَجاتِ رافِعٌ |
qui réprime les oppresseurs, Point de Dieu autre que Lui, rien ne L’égale, rien ne Lui ressemble et Il est Celui qui entend tout, qui voit tout, le Bienveillant, le Bien-Informé et Il est Puissant sur toute chose. Mon Dieu, j’aspire à Toi et j’atteste que la Souveraineté est à Toi, persuadé que Tu es mon Seigneur et que vers Toi est mon retour. Tu m’as commencé par Ta Bienfaisance avant que je ne sois quelque chose dont on fasse mention, Tu m’as créé de la terre, ensuite Tu m’as logé dans les lombes, à l’abri des vicissitudes du temps et de la variation des époques et des années. | wa li-l-jâbâbirati qâmi‘unn, Fa-lâ ilâha ghayruhu, wa lâ shay’a ya’diluhu, wa laysa ka-mithlihi shay’unn, wa huwa as-samî‘u, al-basîru, al-latîfu, al-khabîru, wa huwa ‘alâ kulli shay’inn qadîrunn. Allahumma, innî arghabu ilayka, wa ashhadu bi-r-rubûbiyyati laka, muqirrann bi-annaka rabbî wa anna ilayka maraddî. Ibtada’tanî bi-ni‘matika qabla an akûna shay’ann madhkûrann, wa khalaqtanî mina-t-turâbi thumma askantanî al-aslâba, âminann li-raybi-l-manûni waikhtilâfï-d-duhûri wa-s-sinîna. | وَلِلْجَبابِرَةِ قامِعٌ فَلا اِلهَ غَيْرُهُ وَلا شَىْءَ يَعْدِلُهُ وَلَيْسَ كَمِثْلِهِ شَىْءٌ وَهُوَ السَّميعُ الْبَصيرُاللَّطيفُ الْخَبيرُ وَهُوَ عَلى كُلِّشَىْءٍ قَديرٌ اَللّهُمَّ اِنّى اَرْغَبُ إِلَيْكَ وَ اَشْهَدُ بِالرُّبُوبِيَّةِ لَكَ مُقِرّاً بِاَنَّكَ رَبّى وَ اِلَيْكَ مَرَدّى اِبْتَدَاْتَنى بِنِعْمَتِكَ قَبْلَ اَنْ اَكُونَ شَيْئاً مَذْكُورا وَخَلَقْتَنى مِنَ التُّرابِ ثُمَّ اَسْكَنْتَنِى الاَْصْلابَ آمِناً لِرَيْبِ الْمَنُونِ وَاخْتِلافِ الدُّهُورِ وَالسِّنينَ |
Je suis resté me déplaçant des lombes à l’utérus, au fil des jours passés et des siècles écoulés [de génération en génération], Tu ne m’as pas fait sortir, par Compassion envers moi, par Bonté pour moi et par Bienfaisance à mon égard, dans l’Etat des chefs des mécréants qui ont violé Ton Pacte, qui ont traité de menteurs Tes Messagers. mais Tu m’as fait sortir pour la voie juste qui m’a précédé, que Tu m’as facilitée et dans laquelle Tu m’as fait croître. Et avant cela, Tu as été Bienveillant envers moi [en m’octroyant] une belle fabrication et de nombreux bienfaits. Tu as commencé ma création à partir d’un spermatozoïde, puis Tu m’as logé dans trois ténèbres entre la chair, le sang et la peau. | Fa-lam azal zhâ’inann min sulbinn ilâ rahiminn fî taqâduminn mina-l-ayyâmi-l-mâdiyati wa-l-qurûni-l-khâliyati, lam tukhrijnî, li-ra’fatika bî, wa lutfika lî, wa ihsânika ilayya, fî dawlati a’immati-l-kufri-l-ladhîna naqadû ‘ahdaka, wa kadhdhabû rusulaka. lakinnaka akhrajtanî li-l-ladhî sabaqa lî mina-l-hudâ, al-ladhî lahu yassartanî, wa fîhi ansha’tanî. wa min qablî dhâlika, ra’ufta bî,bi-jamîli sun’ika, wa sawâbighi ni’amika. Fa-abtada‘ta khalqî min maniy-yinn yumnâ, wa askantanî fi zhulumâtinn thalâthinn, bayna lahminn wa daminn wa jildinn. | فَلَمْ اَزَلْ ظاعِناً مِنْ صُلْبٍ اِلى رَحِمٍ فى تَقادُمٍ مِنَ الاَْيّامِ الْماضِيَةِ وَالْقُرُونِ الْخالِيَةِ لَمْ تُخْرِجْنى لِرَاْفَتِكَ بى وَلُطْفِكَ لى وَاِحْسانِكَ اِلَىَّ فى دَوْلَةِ اَئِمَّةِ الْكُفْرِ الَّذينَ نَقَضُوا عَهْدَكَ وَكَذَّبُوا رُسُلَكَ لكِنَّكَ اَخْرَجْتَنى لِلَّذى سَبَقَلى مِنَ الْهُدَى الَّذى لَهُ يَسَّرْتَنى وَفيهِ اَنْشَاءْتَنى وَمِنْ قَبْلِ ذلِكَ رَؤُفْتَ بى بِجَميلِ صُنْعِكَ وَسَوابِـغِ نِعَمِكَ فابْتَدَعْتَ خَلْقى مِنْ مَنِىٍّ يُمْنى وَاَسْكَنْتَنى فى ظُلُماتٍ ثَلاثٍ بَيْنَ لَحْمٍ وَدَمٍ وَجِلْدٍ |
Tu ne m’as pas pris à témoin de ma création et Tu n’as rien laissé me concernant en mon [pouvoir], Ensuite, Tu m’as fait sortir pour la voie juste qui m’a précédé, dans ce monde-ci, étant complet et sain, Tu m’as protégé alors que j’étais un petit garçon, Tu m’as nourri de lait délicieux, Tu as attendri le coeur des nourrices sur moi, Tu m’as confié aux mères utérines, Tu m’as protégé des malheurs des djinns et Tu m’as préservé des excès et de la privation. Alors que Tu sois Exalté, ô Très-Miséricordieux, ô Tout-Miséricordieux ! Jusqu’au jour où lorsque j’ai commencé à parler. | lam tush’hidnî khalqî, wa lam taj‘al ilayya shay’ann min amrî, thumma akhrajtanî li-l-ladhî sabaqa lî mina-l-hudâ, ilâ ad-dunyâ, tâmmann, sawiyyann wa hafizhtanî fî-l-mahdi tiflann sabiyyann, wa razaqtanî mina-lghidhâ’i labanann mariyyann, wa ‘atafta ‘alayya qulûba-l-hawâdini, wa kaffaltanî al-ummahâti-r-rawâhima, Wa kala’tanî min tawâriqi-l-jânni wa sallamtanî mina-z-ziyâdati wa-n-nuqsâni. Fa-ta’âlayta, yâ rahîmu, yâ rahmanu, Hattâ idhâ-stahlaltu nâtiqann bi-l-kalâmi. | لَمْ تُشْهِدْنى خَلْقى وَلَمْ تَجْعَلْ اِلَىَّ شَيْئاً مِنْ اَمْرى ثُمَّ اَخْرَجْتَنى لِلَّذى سَبَقَ لى مِنَ الْهُدى اِلَى الدُّنْيا تآمّاً سَوِيّاً وَحَفِظْتَنى فِى الْمَهْدِ طِفْلاً صَبِيّاً وَرَزَقْتَنى مِنَ الْغِذآءِ لَبَناً مَرِيّاً وَعَطَفْتَ عَلَىَّ قُلُوبَ الْحَواضِنِ وَكَفَّلْتَنى الاُْمَّهاتِ الرَّواحِمَ وَكَلاَْتَنى مِنْ طَوارِقِ الْجآنِّ وَسَلَّمْتَنى مِنَ الزِّيادَةِ وَالنُّقْصانِ فَتَعالَيْتَ يا رَحيمُ يا رَحْمنُ حتّى اِذَا اسْتَهْلَلْتُ ناطِقاً بِالْكَلامِ |
Tu as complété Tes Bienfaits répandus sur moi. Tu m’as élevé en force (en croissance) chaque année jusqu’au jour où ma nature originelle (ma fitrat) fût achevée et ma sagacité arrivée à maturité, Tu m’as imposé Ton Argument en m’inspirant Ta Connaissance, Tu as suscité en mon coeur l’admiration pour les merveilles de Ta Sagesse, Tu m’as éveillé à ce que Tu as créé en belles créatures dans Ton ciel et Ta terre et Tu m’as avisé de Te remercier et de T’évoquer, Tu m’as imposé de T’obéir et de T’adorer, Tu m’as fait comprendre ce que Tes Messagers ont amené avec eux, Tu m’as facilité l’obtention de Ta Satisfaction, Tu m’as comblé de tout cela par Ton Aide et Ta Bonté. Ensuite, alors que Tu m’as créé de la meilleure argile. | atmamta ‘alayya sawâbigha-l-in‘âmi wa rabbaytanî âyidann (zâi’-dann) fî kulli ‘âminn, hattâ idhâ aktamalat fitratî, wa a’tadalat mirratî, awjabta ‘alayya hujjataka, bi-an alhamtanî ma’rifataka, wa rawwa’tanî bi-‘ajâ’ibi hikmatika, wa ayqazhtanî limâ dhara’ta fî samâ’ika wa ardika min badâ’i‘i khalqika, wa nabbahtanî li-shukrika wa dhikrika, wa awjabta ‘alayya tâ’ataka wa ‘ibâdataka, wa fahhamtanî mà jâ’at bihi rusuluka, wa yassarta lî taqabbula mardâtika, wa mananta ‘alayya fî jamî‘i dhâlika bi-‘awnika wa lutfika. Thumma idh khalaqtanî min khayri-th-tharâ | اَتْمَمْتَ عَلَىَّ سَوابغَ الاِْ نْعامِ وَ رَبَّيْتَنى زايِداً فى كُلِّ عامٍ حَتّى إ ذَا اكْتَمَلَتْ فِطْرَتى وَاعْتَدَلَتْ مِرَّتى اَوْجَبْتَ عَلَىَّ حُجَتَّكَ بِاَنْ اَلْهَمْتَنى مَعْرِفَتَكَ وَرَوَّعْتَنى بِعَجائِبِ حِكْمَتِكَ وَاَيْقَظْتَنى لِما ذَرَاْتَ فى سَمآئِكَ وَ اَرْضِكَ مِنْ بَدائِعِ خَلْقِكَ وَنَبَّهْتَنى لِشُكْرِكَ وَذِكْرِكَ وَاَوجَبْتَ عَلَىَّ طاعَتَكَ وَعِبادَتَكَ وَفَهَّمْتَنى ما جاَّءَتْ بِهِ رُسُلُكَ وَيَسَّرْتَ لى تَقَبُّلَ مَرْضاتِكَ وَمَنَنْتَ عَلَىَّ فى جَميعِ ذلِكَ بِعَونِكَ وَلُطْفِكَ ثُمَّ اِذْ خَلَقْتَنى مِنْ خَيْرِ الثَّرى |
Tu n’as pas accepté pour moi un bienfait sans un autre, Tu m’as prodigué différentes sortes [de moyens] de subsistance et de richesses par Ta Grâce immense et incommensurable pour moi ainsi que par Ta Bienfaisance éternelle à mon égard, au point que, tout en ayant achevé [de m’octroyer] l’ensemble des Bienfaits et écarté de moi tout mécontentement, mon ignorance ainsi que mon audace à Ton égard ne T’ont pas empêché de me signaler ce qui me rapprocherait de Toi ni de me faire parvenir ce qui me rendrait proche de Toi. Car si je T’appelle Tu me réponds, si je Te demande Tu me donnes, si je T’obéis Tu me remercies, si je Te remercie Tu m’augmentes. | lam tarda lî, yâ ilâhî, ni’matann dûna ukhrâ, wa razaqtanî min anwâ‘i-l-ma’âshi, wa sunûfi-r-riyâshi, bimannika-l-‘azhîmi al-a‘zhami ‘alayya, wa ihsânika-l-qadîmi ilayya, hattâ idhâ atmamta ‘alayya jamî‘a-n-ni‘ami, wa sarafla ‘annî kulla-n-niqami, lam yamna’ka jahlî wa jur’atî ‘alayka an dalaltanî ilâ mâ yuqarribunî ilayka, wa waffaqtanî limâ yuzlifunî ladayka. Fa-in da’awtuka ajabtanî, wa in sa’altuka a’taytanî, wa in ata’tuka shakartanî, wa in shakartuka zidtanî | لَمْ تَرْضَ لى يا اِلهى نِعْمَةً دُونَ اُخرى وَرَزَقْتَنى مِنْ اَنواعِ الْمَعاشِ وَصُنُوفِ الرِّياشِ بِمَنِّكَ الْعَظيمِ الاَْعْظَمِ عَلَىَّ وَاِحْسانِكَ الْقَديمِ اِلَىَّ حَتّى اِذا اَتْمَمْتَ عَلَىَّ جَميعَ النِّعَمِ وَصَرَفْتَ عَنّى كُلَّ النِّقَمِ لَمْ يَمْنَعْكَ جَهْلى وَجُرْاءَتى عَلَيْكَ اَنْ دَلَلْتَنى اِلى ما يُقَرِّبُنى اِلَيْكَ وَوَفَّقْتَنى لِما يُزْلِفُنى لَدَيْكَ فَاِنْ دَعَوْتُكَ اَجَبْتَنى وَاِنْ سَئَلْتُكَ اَعْطَيْتَنى وَاِنْ اَطَعْتُكَ شَكَرْتَنى وَاِنْ شَكَرْتُكَ زِدْتَنى |
tout cela, venant compléter Tes Bienfaits sur moi et Tes Bontés à mon égard. Alors, Gloire à Toi, Gloire à Toi, ô Celui qui innove et qui recommence, ô le Très Loué, le Majestueux, Tes Noms sont sanctifiés et Ta Grâce est devenue grandiose. Aussi, ô mon Dieu, lequel de Tes Bienfaits dénombrer ou évoquer ou pour lequel de Tes Dons Te remercier, alors qu’ils sont, ô Seigneur, plus nombreux que ce qu’énumèrent ceux qui dénombrent, ou ce que connaissent ceux qui retiennent par coeur ?! Et les maux et les calamités que Tu as écartés et repoussés de moi sont plus nombreux que la santé et le bienêtre qui me sont apparus ! Et moi, j’atteste, ô mon Dieu, au nom de l’authenticité de ma foi. | kullu dhâlika ikmâlunn li-an‘umika ‘alayya wa ihsânika ilayya. Fa-subhânaka, subhânaka min mubdî’inn, mu’îdinn, hamîdinn, majîdinn, wa taqaddasat asmâ-’uka wa ‘azhumat âlâ’uka. Fa-ayyu ni’amika, yâ ilâhî, uhsî ‘adadann wa dhikrann, am ayyu ‘atâyâka aqûmu bihâ shukrann. wa hiya, yâ rabbi aktharu min an yuhsîhâ al-‘addûna aw yablugha ‘ilmann bihâ al-hâfizhûna. Thumma mâ sarafta wa dara’ta‘annî, Allâhumma, mina-d-durri wa-d-darrâ’i aktharu mimmâ zhahara lî mina-l-‘âfiyati wa-s- sarrâ’i. Wa anâ ash’hadu, yâ ilâhî, bi-haqîqati îmânî | كُلُّ ذلِكَ اِكْمالٌ لاَِنْعُمِكَ عَلَىَّ وَاِحْسانِكَ اِلَىَّ فَسُبْحانَكَ سُبْحانَكَ مِنْ مُبْدِئٍ مُعيدٍ حَميدٍ مَجيدٍ تَقَدَّسَتْ اَسْمآؤُكَ وَعَظُمَتْ الاَّؤُكَ فَأَىَُّ نِعَمِكَ يا اِلهى اُحْصى عَدَداً وَذِكْراً أمْْ اَىُّ عَطـاياكَ أقُومُ بِها شُكْراً وَهِىَ يا رَبِّ اَكْثَرُ مِنْ اَنْ يُحْصِيَهَا الْعآدّوُنَ أوْ يَبْلُغَ عِلْماً بِهَا الْحافِظُونَ ثُمَّ ما صَرَفْتَ وَدَرَأْتَ عَنّى اَللّهُمَّ مِنَ الضُرِّ وَالضَّرّآءِ أكْثَرُ مِمّا ظَهَرَ لى مِنَ الْعافِيَةِ وَالسَّرّآءِ وَاَنـَا اَشْهَدُ يا اِلهى بِحَقيقَةِ ايمانى |
des nouages des déterminations de la certitude, de la pureté et de la clarté de mon unicité, de la profondeur cachée de ma conscience, des connexions des conduits de la lumière de ma vue, des traits de la face de mon front. des ouvertures perçantes de mon âme, des ailes tendres de l’arête du nez, des canaux du tympan de mes oreilles, de ce sur quoi mes deux lèvres ont été rassemblées et appliquées, des mouvements de prononciation de ma langue, de la base du palais de ma bouche et de mes mâchoires, de la plantation de mes molaires, du canal par lequel je mange et je bois, de ce qui porte la mère de ma tête [l’encéphale ou le tronc cervical], de l’accès des veines le long de ma nuque. | wa ‘aqdi ‘azamâti yaqînî, wa khâlisi sarîhi tawhîdî, wa bâtini maknûni damîrî, wa ‘alâ’iqi majârî nûri basarî, wa asârîri safhati jabînî, wa khurqi masâribi nafsî, wa khadhârîfi mârini ‘imînî, wa masâribi simâkhi sam‘î, wa mâ dummat wa atbaqat ‘alayhi shafatâya, wa harakâti lafzhi lisânî, wa maghrazi hanaki famî wa fakkî, wa manâbiti adrâsî, wa masâghi mat’amî, wa mashrabî wa himâlati ummi ra’sî, wa bulûghi fârighi habâ’ili ‘unuqî | وَعَقْدِ عَزَماتِ يَقينى وَخالِصِ صَريحِ تَوْحيدى وَباطِنِ مَكْنُونِ ضَميرى وَعَلائِقِ مَجارى نُورِ بَصَرى وَاَساريرِ صَفْحَةِ جَبينى وَخُرْقِ مَسارِبِ نَفْسى وَخَذاريفِ مارِنِ عِرْنينى وَمَسارِبِ سِماخِ سَمْعى وَما ضُمَّتْ وَاَطْبَقَتْ عَلَيْهِ شَفَتاىَ وَحَرَكاتِ لَفْظِ لِسانى وَمَغْرَزِ حَنَكِ فَمى وَفَكّى، وَمَنابِتِ اَضْراسى وَمَساغِ مَطْعَمى وَمَشْرَبى وَحِمالَةِ اُمِّ رَاءْسى وَبُلُوعِ فارِغِ حَباَّئِلِ عُنُقى |
de ce que comprend l’enveloppe de ma poitrine, de ce qui porte mon artère aortique, de ce qui sert à suspendre le voile de mon coeur, des morceaux des bords de mon foie, de ce autour de quoi plane l’épigastre de mes côtes, des cavités arrondies de mes articulations, de ce qui rassemble mes deux jambes, de l’extrémité de mes phalanges, de ma chair et de mon sang, de mes cheveux, de ma peau, de mes nerfs, de ma charpente osseuse, de mes os, de mon cerveau, de mes veines, de l’ensemble de mes membres, de ce qui a poussé pendant les jours où j’ai été allaité, de ce que la terre a porté de moi, de mon sommeil et de mon éveil, de mon calme et des mouvements de mon inclination et de ma prosternation. | wa mâ-shtamala ‘alayhi nâmûru sadri, wa hamâ’ili habli watînî, wa niyâti hijâbi qalbî, wa aflâdhi hawâshî kabidî, wa mâ hawat’hu sharâsîfu adlâ‘î, wa hiqâqu mafâsilî, wa qabdu ‘awâmilî, wa atrâfu anâmilî, wa lahmî, wa damî, wa sha‘rî, wa basharî, wa ‘asabî, wa qasabî, wa ‘izhâmî, wa mukhkhî, wa ‘urûqî, wa jamî‘u jawârihî, wa mâ antasaja ‘alâ dhâlika ayyâma ridâ‘î, wa mâ aqallati-l-ardu minnî, wa nawmî, wa yaqazhatî, wa sukûnî, wa harakâti rukû’î wa sujûdî | وَمَا اشْتَمَلَ عَليْهِ تامُورُ صَدْرى وَحمائِلِ حَبْلِ وَتينى وَنِياطِ حِجابِ قَلْبى وَاءَفْلاذِ حَواشى كَبِدى وَما حَوَتْهُ شَراسيفُ اَضْلاعى وَحِقاقُ مَفاصِلى وَقَبضُ عَوامِلى وَاَطرافُِ اَنامِلى وَلَحْمى وَدَمى وَشَعْرى وَبَشَرى وَعَصَبى وَقَصَبى وَعِظامى وَمُخّى وَعُرُوقى وَجَميعُِ جَوارِحى وَمَا انْتَسَجَ عَلى ذلِكَ اَيّامَ رِضاعى وَما اَقلَّتِ الاَْرْضُ مِنّى وَنَوْمى وَيَقَظَتى وَسُكُونى وَحَرَكاتِ رُكُوعى وَسُجُودى |
[j’atteste] que si j’essayais, si je m’efforçais de réaliser un remerciement pour l’un de Tes Bienfaits, durant les ères et les époques, même en les ayant vécues, je ne le pourrais que par Don de Ta Part, ce qui m’obligerait à Te remercier à nouveau, [d’un remerciement] perpétuellement renouvelé, élogieux, imminent. Et si je désirais, moi avec Tes créatures qui comptent, évaluer la quantité de Tes Bienfaits précédents et antérieurs, je n’en ferais pas le tour ni en nombre ni en durée. Loin de là ! Comment n’en serait- il pas ainsi quand. Toi, Tu nous as informés, dans Ton Livre parlant. | an law hâwaltu wa Ijtahadtu, madâ-l-a‘sâri wa-l-ahqâbi, law ‘ummirtuhâ, an u’addiya shukra wâhidatinn min an‘umika, mâ-stata‘tu dhâlika, illâ bi-mannika al-mûjabi ‘alayya bihi shukruka, abadann, jadîdann, wa thanâ’ann târifann, ‘atîdann ajal Wa law harastu anâ wa-l-‘âddûna min anâmika, an tuhsiya madâ in’âmika sâlifihi wa ânifihi, mâ hasarnâhu ‘adadann, wa lâ ahsaynâhu amadann. Hayhâta annâ dhâlika, wa anta-l-mukhbiru fî kitâbika-n-nâtiqi | اَنْ لَوْ حاوَلْتُ وَاجْتَهَدْتُ مَدَى الاَْعصارِ وَالاَْحْقابِ لَوْ عُمِّرْتُها اَنْ أُؤَدِّىَ شُكْرَ واحِدَةٍ مِنْ أَنْعُمِكَ مَا اسْتَطَعْتُ ذلِكَ اِلاّ بِمَنِّكَ الْمُوجَبِ عَلَىَّ بِهِ شُكْرُكَ اَبَداً جَديداً وَثَنآءً طارِفاً عَتيداً اَجَلْ وَلوْ حَرَصْتُ اَنـَا وَالْعآدُّونَ مِنْ اَنامِكَ أَنْ نُحْصِىَ مَدى اِنْعامِكَ سالِفِهِ وَ انِفِهِ ما حَصَرْناهُ عَدَداً وَلا اَحْصَيناهُ اَمَداً هَيْهاتَ أنّى ذلِكَ وَاَنْتَ الْمُخْبِرُ فى كِتابِكَ النّاطِقِ |
et la Nouvelle sincère, que : {si vous vouliez compter les Bienfaits de Dieu, vous ne sauriez les dénombrer} (34/ XIV), Ton Livre dit la vérité, notre Dieu, ainsi que Tes nouvelles. Tes Prophètes et Tes Messagers ont transmis ce que Tu as descendu sur eux de Ta Révélation et ce queTu as légiféré de Ta Religion pour eux et par eux, sauf que moi, ô mon Dieu, j’atteste de mon effort et de mon sérieux, de la limite de mes capacités et de ma force et je dis avec foi et certitude : Louange à Dieu qui ne s’est pas donné de fils qui hériterait de Lui, qui n’a pas d’associé dans Sa Royauté qui s’opposerait à Lui dans ce qu’il a créé. | wa-n-naba’i as-sâdiqi wa in ta’uddû ni‘mata-llâhi lâ tuhsûhâ, sadaqa kitâbuka, Allâhumma, wa inbâ’uka Wa ballaghat anbiyâ’uka wa rusuluka, mâ anzalta ‘alayhim min wahîka, wa shara’ta lahum wa bihim min dînika. ghayra annî, yâ ilahî, ash’hadu, bi-juhdî wa jiddî, wa mablaghi tâqatî wa us‘î, wa aqûlu, mu’minann, mûqinann : Al-hamdu li-llâhi al-ladhî lam yattakhidh waladann, fa-yakûna mawrûthann, wa lam yakun lahu sharîkunn fi mulkihi, fa-yudâddahu fimâ abtada‘a | وَالنَّبَاءِ الصّادِقِ وَاِنْ تَعُدُّوا نِعْمَةَ الله لا تُحْصُوها صَدَقَ كِتابُكَ اْللّهُمَّ وَاِنْبآؤُكَ وَبَلَّغَتْ اَنْبِيآؤُكَ وَرُسُلُكَ ما اَنْزَلْتَ عَلَيْهِمْ مِنْ وَحْيِكَ وَشَرَعْتَ لَهُمْ وَبِهِمْ مِنْ دينِكَ غَيْرَ أَنّى يا اِلهى اَشْهَدُ بِجَُهْدى وَجِدّى وَمَبْلَغِ طاعَتى وَوُسْعى وَ أَقُولُ مُؤْمِناً مُوقِناً اَلْحَمْدُ لله الَّذى لَمْ يَتَّخِذْ وَلَداً فَيَكُونَ مَوْرُوثاً وَلَمْ يَكُنْ لَهُ شَريكٌ فى مُلْكِهِ فَيُضآدَُّهُ فيَما ابْتَدَعَ |
ni de protecteur de l’humiliation. qui Le soutiendrait dans ce qu’il a fabriqué. Gloire à Lui, Gloire à Lui, {s’il y avait une divinité dans les deux [le ciel et la terre], autre que Dieu, ils seraient corrompus}(22/XXI) et se briseraient ! Gloire à Lui, l’Unique, l’Un, l’impénétrable, qui n’engendre pas et qui n’est pas engendré et rien n’est égal à Lui. Louange à Dieu, d’une louange qui égale la louange de Ses anges proches et de Ses Prophètes-Messagers, que Dieu prie sur la meilleure [de Ses Créatures], Mohammed, le sceau des Prophètes et sur sa famille, les saints, les purs, les sincères et qu’il les protège ! | wa lâ waliyyunn mina-dh-dhulli, fa-yurfidahu fimâ sana‘a. Fa-subhânahu, subhânahu law kâna fî-himâ ilâhatunn illâ-llâhu la-fasadatâ wa tafattaratâ. Subhâna-llâhi al-wâhidi, al-ahadi, as-samadi al-ladhî lam yalid wa lam yûlad wa lam yakun lahu kufûann ahadunn. Al-hamdu li-llâhi, hamdann yu’âdilu hamda malâ’ikatihi-lmuqarrabîna wa anbiyâ’ihi-l-mursalîna, wa sallâ-llâhu ‘alâ khiyaratihi Muhammadinn, khâtami-nnabiyyîna wa âlihi at-tayyibîna, at-tâhirîna, al-mukhlasîna, wa sallama. | وَلا وَلِىُّ مِنَ الذُّلِّ فَيُرْفِدَهُ فيما صَنَعَ فَسُبْحانَهُ سُبْحانَهُ لَوْ كانَ فيهِما الِهَةٌ اِلا الله لَفَسَدَتا وَتَفَطَّرَتا سُبْحانَ الله الْواحِدِ الاَْحَدِ الصَّمَدِ الَّذى لَمْ يَلِدْ وَلَمْ يُولَدْ وَلَمْ يَكُنْ لَهُ كُفُواً اَحَدٌ اَلْحَمْدُ لله حَمْداً يُعادِلُ حَمْدَ مَلاَّئِكَتِهِ الْمُقَرَّبينَ وَاَنْبِي آئِهِ الْمُرْسَلينَ وَصَلَّى الله عَلى خِيَرَتِهِ مُحَمَّدٍ خاتَمِ النَّبِيّينَ وَآلِهِ الطَّيـِبـيـنَ الطـّاهـِريـنَ الْمـُخـلَصـيـنَ وَسـَلَّمَ |
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