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Etant donné que la façon de jouir lors de l’acte sexuel diffère chez l’homme et la femme, il est très important que le mari tienne compte de la physiologie de son épouse et se comporte en conséquence, en veillant à ne pas oublier les préliminaires dont la femme a besoin, à prolonger l’acte jusqu’à ce que la femme termine, et à rester avec elle aussi longtemps qu’elle n’est pas eu satisfaction.
Ainsi :
عن الامام الصادق (ع) قال : قال رسول الله (ص) :» إذا جامع احدكم فلا يأتيهنَّ كما يأتي الطير ، ليلبث وليمكث.«
Selon l’Imam al-Sâdiq (p), le Prophète (P) dit : «Lorsque l’un de vous s’accouple avec sa femme, qu’il ne le fasse pas comme le fait l’oiseau. Qu’il reste, qu’il s’attarde et qu’il attend (jusqu’à ce que sa femme termine).»[1]
في حديث الاربعمائة عن علي (ع) قال : » إذا اراد أحدكم ان يأتي زوجته فلا يعجّلها ، فّإنَّ للنساء حوائج.«
Selon l’Imam Ali (p) : «Lorsque l’un de vous désire s’accoupler avec son épouse, qu’il ne la bouscule pas (qu’il ne le fasse pas vite), car les femmes ont des besoins. »[2]
عن الامام الصادق (ع) قال :
» ليس شيء تحضره الملائكة الاّ الرهان[3] وملاعبة الرجل أهله«
L’Imam al-Sâdiq (p) dit : «Les Anges n’assistent pas à une chose autant qu’ils assistent à la compétition de chevaux et aux caresses que l’homme fait à son épouse. »[4]
عن النبي الاكرم (ص) ، قال :
» كل لهو المؤمن باطل الاّ في ثلاث : تأديبه الفرس ، ورميه عن القوس ، وملاعبة امرأته فإنهنَّ حَقُّ.«
Le Messager d’Allah (P) dit :
« Toutes les distractions sont inadmissibles pour un croyant, sauf trois : Entraîner le cheval, lancer des flèches (entraînement à la défense), et caresser sa femme, lesquelles sont valables.»[5]
Satisfaire le désir de son épouse
Il est très recommandé que le mari satisfasse le désir de son épouse :
عن رسول الله (ص) انه قال لرجل من اصحابه يوم جمعة : ” هل صمت اليوم ؟” ، قال : لا، قال : “فهل صدَّقت اليوم بِشيءِ ؟” ، قال : لا، قال له : ” قم فأصب أهلك فإنَّه منك صدقة عليها” .
Selon le Hadith, un vendredi, le Messager d’Allah (P) demanda à l’un de ses Compagnons : «As-tu fait le jeûne aujourd’hui ? ». Il répondit : «Non ». Le Prophète lui demanda encore : «As-tu fait l’aumône aujourd’hui? ». «Non), affirma le Compagnon. Le Prophète (P) lui dit alors : «Va donc t’accoupler avec ton épouse, car cela équivaudra (auprès d’Allah) à une aumône que tu lui auras offerte. »[6]
عن الامام الصادق عن إستحباب إتيان الزوجة عند ميلها إلى الجماع : إنّ رسول الله دخل بيت اُمّ سلمة فشمَّ ريحاً طيِّبَةً ، فقال : ” أتتكم الحولاء ؟ ” ، فقالت : هو ذا، هي تشكو زوجها ، فخرجت عليه الحولاء فقالت : بِأبي أنت واُمّي ، إنَّ زَوْجي عَنّي مُعْرِض ، فقال : “زيديه يا حولاء ” ، فقالت : لا أترك شيئاً طَيِّبَاً مِمّا أتَطَيَّبُ لَهُ بِهِ ، وهو مُعْرِضٌ عَنّي ، فقال : ” أما لوْ يَدْري ما لهُ بِإقْبالهِ عَلَيْكِ ” ، قالت : وما لهُ بِإقْبالِهِ عَلِيَّ ؟ فقال : “أما انَّه اِذا أقبلَ اكتنفه ملكان وكان كالشاهر سيفه في سبيل الله فأذا هو جامع تحاتت عنه الذنوب كما يتحاتت ورق الشجر، فإذا هواغتَسَل انسلخ منه الذنوب”
Sur le caractère très recommandé de répondre au désir sexuel de l’épouse, l’Imam al-Sâdiq (p) rapporte : « Un jour le Messager d’Allah (P) entra chez son épouse Om Salamah et y ayant senti un bon parfum, dit : « Al-Hawlâ’ est venue chez vous ?! » Om Salama répondit : « Oui, effectivement ; pour se plaindre de son mari ». Sur ce, al-Hawlâ’ vint le voir et dit : « Que mon père et ma mère te soient sacrifiés ! Mon mari me délaisse! ». Le Messager d’Allah (P) lui dit : «Fais davantage pour lui (plus de toilette pour l’attirer), o Hawlâ’ !». Elle répondit : «Je n’ai pas laissé un bon parfum sans l’avoir essayé, mais il me délaisse ! » Le Prophète (P) dit : «Ah ! S’il savait ce qu’il aurait, s’il répondait à ton désir ! ». Elle demanda : «Et qu’obtiendrait-il répondait à mon désir ? ». Il dit : «Lorsqu’il s’approche de toi, deux anges l’entourent et il serait pareil à quelqu’un qui dégaine son épée pour défendre la Cause d’Allah. Et lorsqu’il accomplit l’acte sexuel avec toi, ses péchés tombent les uns après les autres comme tombent les feuilles de l’arbre. Et lorsqu’il aura fait le ghusl (l’ablution totale requise après le coїt), il se sera dépouillé de ses péchés. »[7]
عن صفوان بن يحيى ، عن ابي الحسن الرضا (ع) انه سأله عن الرجل تكون عنده المرأة الشابة فيمسك عنها الأشهر والسنة لايقربها ليس يريدالاضرار بها ، يكون لهم مصيبة ، يكون في ذلك آثماً ؟ قال : ” إذا تركها أربعة أشهر كان آثماً بعد ذلك “.
Safwân ibn Yahyâ relate qu’il avait demandé à l’Imam Abû-l-Hassan al-Redhâ (p), si un homme est considéré comme pécheur, lorsqu’il a une jeune épouse avec laquelle il omet de faire l’acte sexuel et de la toucher pendant des mois ou un an, sans avoir la volonté de lui faire mal (…) L’Imam lui répondit : «S’il la quitte pendant quatre mois, au terme de ce délai il devient pécheur ».[8]
عن النبي (ص) قال :
»اذا اقبل الرجل المؤمن على امرأته المؤمنة اكتنفه ملكان وكان كالشاهر سيفه في سبيل الله فأذا فرغ منها تحاتت عنه الذنوب كما يتحاتت ورق الشجر اوان سقوطه فاذا اغتسل انسلخ من الذنوب . فقالت امرأة : بابي انت وامي يا رسول الله هذا للرجال فما للنساء؟ قال: اذا هي حملت كتب الله لها اجر الصائم فاذا اخذها الطلق لم يدر ما لها من الاجر الاًّ الله فأذا وضعت كتب الله لها بكل مصّة يعني من الرضاع حسنة ومحا عنها سّيئة.«
Le Prophète (P) dit :
«Lorsqu’un croyant prend sa femme croyante au lit, deux Anges l’entourent, et il jouit du mérite de celui qui dégaine son épée pour la Cause d’Allah. Lorsqu’il termine (l’acte sexuel), ses péchés se mettent à tomber les uns après les autres, comme tombent les feuilles des arbres à la saison de leur chute. Et quand ensuite il accomplit le bain rituel (ghusl), il se dépouille totalement de ses péchés.» Une femme demanda alors : «O Messager d’Allah! Que mon père et ma mère te soient sacrifiés! Tout ceci est pour les hommes ! Mais les femmes, qu’est-ce qu’elles auront, elles ? » Le Prophète (P) dit : «Lorsque la femme tombe enceinte, Allah inscrit à son crédit la rétribution spirituelle décernée à un jeûneur. Quand par la suite les douleurs de l’enfantement commencent (lorsqu’elle est en gésine), Seul Allah sait combien est grand son mérite spirituel. Et lorsqu’elle accouche et commence à allaiter son bébé, Allah inscrit à son crédit le mérite spirituel d’un acte de bienfaisance et efface un péché, pour chaque tétée.»[9]
عن عُبَيْد بن زراره ، قال : كان لنا جار شيخ له جارية فارهة قد أعطى بها ثلاثين ألف درهم ، وكان لا يبلغ منها ما يريد ، وكانت تقول : إجعل يديك كذا بين شفريَّ ، فإنّي أجد لذك لذّة ، وكان يكره أن يفعل ذلك ، فقال لزرارة : سل أبا عبدالله (ع) عن هذا ، فسأله فقال : ” لا بأس أن يستعين بكلِّ شيءٍ من جسده عليها ، ولكن لا يستعين بغير جسده عليها ” .
‘Ubaydullâh Ibn Zurârah rapporte qu’il avait comme voisin un homme âgé qui avait acquis une servante vivace contre trente mille dirhams, et qu’il ne pouvait pas obtenir ce qu’il voulait d’elle, car elle lui demandait : « Mets ta main comme cela entre les lèvres de mon sexe, car cela me fait plaisir », ce qu’il n’aimait pas faire. Il demanda finalement à Zurârah d’interroger l’Imam Abû Abdullâh al-Sâdiq (p) à ce sujet. L’Imam al-Sâdiq (p) répondit : «Il est permis de faire appel à toutes les parties de son corps, pour l’exciter (la satisfaire), mais rien d’autre que son corps. »[10]
” ثلاثة من الجفاء : أن يصحب الرجل الرجل فلا يسأله عن إسمه وكُنْيَتِهِ ، وأن يُدعى الرجل الى الطعام فلا يجيب ، وأن يجيب فلا يأكل ، ومواقعة الرجل أهله قبل الملاعبة ”
Selon un hadith : « Trois attitudes sont désobligeantes : Lorsque quelqu’un accompagne un autre sans lui demander son prénom et son nom, lorsque quelqu’un ne répond pas à une invitation à un repas, ou qu’il y répond mais n’y mange pas, et lorsqu’un homme coїte avec sa femme sans l’avoir préalablement caressée. »[11]
Le devoir de préparations du mari
عن الحسن بن الجهم ، عن الامام ابوالحسن (ع) قال : “…. إنَّ التهيــئـة ممّا يزيد في عفَّة النساء ، ولقد ترك النساء العفَّة بترك ازواجهنَّ التهيئة” ثمَّ قال : ” أيَسرّكَ أن تراها على ما تراك عليه إذا كنت على غير تهيئة؟” ، قلت : لا، قال : ” فهو ذاك ” ، ثمَّ قال : ” مِنْ أخلاق الأنبياء التنظّف والتطيّب وحلق الشعر وكثرة الطروقة “
Al-Hassan Ibn al-Jahm témoigne : «L’Imam Abû-l-Hassan (p) dit : « La toilette (de l’homme) augmente la continence des femmes. Celles-ci abandonnent la continence, lorsque leurs maris abandonnent la toilette. » Et l’Imam (p) de me demander : «Serais-tu content de voir ton épouse tel que tu es avant d’avoir fait ta toilette ? » J’ai répondu : «Non ». Il m’a dit : « C’est la même chose pour elle » Et l’Imam d’ajouter : «Il est de mœurs (traditions ) des Prophètes de se nettoyer, de se parfumer, de se raser et de faire le commerce souvent avec leurs épouses».[12]
Le bien offert par l’épouse à l’époux est une bénédiction :
جاء رجل الى أمير المؤمنين (علي) فقال : يا أمير المؤمنين ، بي وجع بطن ، فقال له أمير المؤمنين (ع) : “لك زوجة؟” ، قال : نعم. قال : Sourate Qâf (50), verset Sourate9.
” إستوهب منها طيبة نفسها من مالها، ثمَّ اشتر به عسلاً، ثمَّ اسكب عليه من ماء السماء ، ثمَّ اشربه ، فأنّي أسمع الله يقول في كتابه : ” وَنَزَّلْنَا مِنْ السَّمَاءِ مَاءً مُبَارَكًا “[13] ، وقال : ” يَخْرُجُ مِنْ بُطُونِهَا شَرَابٌ مُخْتَلِفٌ أَلْوَانُهُ فِيهِ شِفَاءٌ لِلنَّاسِ”[14] ، وقال : “ فَإِنْ طِبْنَ لَكُمْ عَنْ شَيْءٍ مِنْهُ نَفْسًا فَكُلُوهُ هَنِيئًا مَرِيئًا “[15] ، وقال (الامام علي –ع) : يعني بذلك أمولهنَّ التي في أيديهنَّ ممّا ملكن “.
Un homme vint voir le Commandeur des Croyants, l’imam Ali (p) et lui dit : « O Commandeur des Croyants ! J’ai mal au ventre ». Le Commandeur des Croyants (p) lui demanda : «As-tu une épouse? ». « Oui », répondit l’homme. Le Commandeur des croyant (p) lui conseilla :
«Prie ton épouse de t’offrir de bon cœur un peu d’argent. Puis achète du miel avec cet argent, verses-y un peu d’eau de pluie et bois-le, car j’entends Allah dire dans Son Livre :
“Et Nous avons fait descendre du ciel une eau bénie”[16]
et :
“De leur ventre, sort une liqueur, aux couleurs variées, dans laquelle il y a une guérison pour les gens.”[17],
et :
“Si de bon gré elles vous en abandonnent quelque chose, disposez-en alors à votre aise et de bon coeur”[18], ce qui veut dire l’argent dont elles disposent en tant que propriété personnelle. »[19]
قال الامام الصادق (ع) : ثلاث من النساء يرفع عنهنَّ عذاب القبر ، ويحشرنَّ مع فاطمة بنت محمد (ع) ، إمرأة صبرت على غيرة زوجها ، و إمرأة صبرت على سوء خلق زوجها ، و إمرأة وهبت صداقها لزوجها ، يعطي الله لكل واحدة منهنَّ ثواب الف شهيد ، ويكتب لكلٍّ واحدة منهنّ عبادة سنةَ .
L’Imam al-Sâdiq (p) dit : «Allah supprimera pour trois catégories de femmes les supplices de la tombe et elles seront ressuscitées avec Fatimah Bint Muhammad (p) : La femme qui endure la jalousie de son mari, la femme qui supporte le mauvais caractère de son mari, et celle qui offre sa dot à son époux. Allah accordera à chacune d’elle la récompense spirituelle de mille martyrs, et inscrira à chacune d’elles la rétribution spirituelle de l’adoration d’une année ».[20]
Les règles de salutation entre femmes et hommes
عن أبي عبدالله الصادق (ع) أنه سئل عن النساء : كيف يسلّمن اذا دخلن على القوم ؟ قال : ” المرأة تقول : عليكم السلام ، والرجل يقول: سلام عليكم ” .
A la question de savoir comment les femmes devraient saluer les hommes, l’Imam al-Sâdiq (p) répondit : «La femme dit : ״ ‘alaykum assalâm״ (sur vous soit la paix), et l’homme : ״ salâmun ‘alaykum ״ (paix sur vous ».[21]
عن الامام الصادق (ع) : كان رسول الله (ص) يسلّم على النساء ويرددن عليه، وكان امير المؤمنين (ع) يسلّم على النساء وكان يكره ان يسلّم على الشابة منهنّ و يقول : اتخوف ان يعجبني صوتها فيدخل عليّ اكثر مما طلبت من الاجر.
Selon l’Imam al-Sâdiq (p) : «Le Messager d’Allah saluait les femmes, lesquelles lui retournaient ses salutations. De même, le Commandeur des Croyants (l’Imam Ali) (p) les saluait, mais il répugnait toutefois de saluer la jeune d’entre elles en disant : «Je crains que sa voix ne me plaise, et que j’aie par conséquent quelque chose de plus que la récompense spirituelle que je recherche (en saluant) » »[22].
Notes :
1-Wasâ’il al-Chî‘ah, 20/117, h. 1 ; Al-Kâfî, 5/497, h. 2; Al-Tah-thîb, 7/412, h. 1648.
2-Wasâ’il al-Chî‘ah, 20/118, h. 4 ; Al-Khiçâl, 610-637, h. 1.
3-المراد من الرهان سباق الخيل لا المراهنة والقمار
4-Wasâ’il al-Chî‘ah, 20/118, h. 1 ; Al-Kâfî, 5/50, h. 13.
5-Wasâ’il al-Chî‘ah, 20/118, h. 2 ; Al-Kâfî, 5/50, h. 13.
6-Wasâ’il al-Chî‘ah, 20/109, h. 4 ; Qurb al-Isnâd, 32.
7-Wasâ’il al-Chî‘ah, 20/108, h. 2 ; Al-Kâfî, 5/496, h. 4.
8-Wasâ’il al-Chî‘ah , 20/140, h. 4 ; Al-Tah-thîb, 7/412, h. 1647.
9-Mustadrak al-Wasâ’il, t. 2, p. 530.
10-Wasâ’il al-Chî‘ah, 20/111, h. 2 ; Al-Kâfî, 5/497, h. 1.
12-Wasâ’il al-Chî‘ah, 20/264, h. 1 ; Al-Kâfî, 5/567, h. 50.
13-( سورة ق : الآية 9)
16-Sourate Qâf (50), verset 9.
17-Sourate al-Nahl (16), verset 9.
18-Sourate al-Nisâ’ (4), verset 4.
19-Wasâ’il al-Chî‘ah, 21/285, h. 4 ; Tafsîr al-‘Ayyâchî, 1/218, h. 5 .
20-Id. Ibid. h. 3 ; Irchâd al-Qulûb, p. 175.
21-Wasâ’il al-Chî‘ah, 20/234, section 131, h. 4 ; Al-Faqîh, 3/301, h. 1439.