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Décès de Abd al-Muttalib
27 Jumâdâ al-Ûlâ Décès de Abd al-Muttalib grand-père du Prophète (s), 8e année de l’éléphant.
Abd al-Muttalib b. Hachim b. Abd Manaf fut le 2e ancêtre, et le grand-père du Prophète Muhammad (que les bénédictions et la paix d’Allah soient sur lui et sa famille) et un membre influent de la tribu de Quraysh. Il fut aussi l’un des nobles de La Mecque.
Naissance
Il est né 127 avant l’Hégire (500 C) – D 45 avant l’Hégire (579 C) Il naquit à Yathrib et immigra vers La Mecque à l’âge de sept ans et devint plus tard un des nobles de cette ville. L’événement étonnant de Compagnons des Éléphants (l’attaque d’Abraha) se déroula pendant son règne à La Mecque.
Au cours d’un de ses voyages à Yathrib, le père d’Abd al-Muttalib, Hachim, se maria avec Salma, fille de ‘Amr b. Zayd, du clan Banu Najjar.[1] Avant la naissance de son fils, il se rendit à Gaza, en Palestine actuel ; il est mort et fut enterré là-bas.[2]
Selon les sources historiques diverses, avant son départ à La Mecque,[3] Abd al-Muttalib vécut avec sa mère à Médine pendant sept ans ou plus.[4]
Généalogie
Abd al-Muttalib est issu de la tribu de Quraysh; il est le fils de Hachim, un de grands nobles de La Mecque à qui la lignée Banu Hachim est reliée. Il est un des descendants du Prophète Ibrahim (a). Sa mère, Salma, fille d’’Amr, est issue du clan Banu Nadjar Khazradj. Ce clan rejoignit les Compagnons du Prophète (s) après son immigration à Médine.[5]
Son nom fut ‘Âmir. À cause de ses cheveux blancs, il fut aussi connu sous le nom de Shayba.
En raison de ses bonnes qualités morales, il fut connu sous le surnom de Shayb al-Hamd (Shayb loué).
À cette époque, son oncle al-Muttalib fut le chef de la tribu, et eut la clé de la Kaaba, l’arc d’Ismaël, le statut scientifique de Nizâr et les positions d’ar-Rifâdat et d’as-Siqâyat.
Un jour, al-Muttalib vint à Médine et amena son neveu (Shayb) à La Mecque. Quand les Qurayshites le virent, ils pensèrent qu’al-Muttalib acheta un esclave et l’amena de Médine. Pour cette raison, ils appelèrent Shayba comme Abd al-Muttalib (l’esclave d’al-Muttalib). À partir de ce moment-là, il fut connu sous ce titre.
Dès lors, al-Muttalib emmena Abd al-Muttalib chez lui, le couvrit de bons vêtements et l’éleva. Après un certain temps, Abd al-Muttalib atteignit un statut élevé parmi les Bani Abd al-Manâf et ses attributs moraux furent apparus au peuple.
Après le décès d’al-Muttalib, des positions ar-Rifâdat et as-Siqâyat lui furent transmises.
Abd al-Muttalib atteignit un statut si élevé que les gens des villes proches et lointaines lui envoyèrent des cadeaux. Si quelqu’un voulait être en sécurité, il se réfugiait auprès de lui.
Il est important de noter que tous les Imams des chiites et tous les Talibi (Banu Ali, Banu Ja’far, Banu ‘Aqil) sont des descendants d’Abu Talib b. Abd al-Muttalib. Banu ‘Abbas, y compris leurs 37 califes abbassides
(132 H (656 C) – 750 H (1258 C)) sont des descendants de ’Abbas b. Abd al-Muttalib. Enfin, les 17 califes abbasides de l’Egypte (659 H (1261 C) – 923 H (1518 C)) sont des descendants du 35e calife abbasside en Iraq, al-Zahir Billah (622 H (1225 C) – 623 H (1226 C)).[6]
Positions à La Mecque
Muttalib hérita le statut de son père et fut nommé le chef de Quraysh. Quelque temps plus tard, il mourut au Yémen dans une région appelée Radman et le statut qu’il avait hérité de son père est passé à Abd al-Muttalib, son neveu. En raison de sa magnanimité, de sa bonne gestion et de ses stratégies, Abd al-Muttalib devint très vite un noble à La Mecque. Il devint célèbre et Quraysh reconnut également sa noblesse.[7]
Personnalité d’Abd al-Muttalib
Al-Ya’qûbî dit :
Abd al-Muttalib était un noble incomparable de la tribu de Quraysh, car Dieu lui avait accordé la magnanimité. Il ne l’avait jamais accordé à quelqu’un d’autre. Dieu étouffa sa soif du puits de Zamzam (à La Mecque) et Dhu al-Harm (à Tâîf). Quraysh le nomma arbitre pour [les problèmes liés à] leur richesse. Il nourrissait les gens en période de famine, tant qu’il avait même pu nourrir les oiseaux des montagnes.
À cet égard, Abu Talib dit :
“Lorsque les mains des joueurs se mettent à trembler (c’est-à-dire au moment même où les généreux deviennent avares), nous donnons aux gens autant de nourriture que même les oiseaux peuvent se nourrir de ce qui en reste.”
Abd al-Muttalib ne vénérait jamais les idoles et croyait à l’unité de Dieu. Il était fidèle à ses promesses et inaugura plusieurs traditions dont quelques-unes furent mentionnées dans le Coran.[8]
Al-Ya’qûbi cite une narration du Prophète (s) :
“Dieu ressuscitera mon grand-père, Abd al-Muttalib, aux allures des prophètes et à la gloire des rois “.[9]
Enfants
Abd al-Muttalib avait dix fils : Harith, ‘Abd Allah, Al-Zubayr, Abu Talib, Hamza, Muqawwim (Miqwam), ‘Abbas, Dirâr (Darar), Qutham, Abu Lahab (‘Uzza), Ghaydaq[10] et six filles : Atika, Safiyya, Umama, Barra, Arwa et Umm Hakim (al-Bayda).[11]
Le premier enfant d’Abd al-Muttalib fut al-Hârith. Pour cette raison, il fut connu sous le titre d’Abu al-Hârith. Lorsqu’al-Hârith atteignit sa maturité, Abd al-Muttalib fut chargé (en rêve) de creuser le puits de Zamzam.
Puits de Zamzam
À l’époque de Qusayy, ‘Amr b. al-Hârith al-Jurhumî fut le chef de la tribu d’al-Jurhum à La Mecque. Il combattit avec Hulayl b. Habsîyya de la tribu al-Khuzâ’a qui a conduit à sa défaite. Pour cette raison, il dut quitter La Mecque.
Avant de quitter La Mecque, ‘Amr, qui fut très triste, sépara la Pierre Noire de la maison de la Kaaba, prit les deux agneaux d’or qu’Esfandiar b. Goshtasb envoya à La Mecque comme cadeau, ainsi que des armures et des épées qui furent les objets de la maison de La Mecque et les jeta dans le puits Zamzam. Il le remplit du sol, prit son peuple et s’enfuit au Yémen.
À l’époque de Abd al-Muttalib, lui et son fils al-Hârith creusèrent le puits Zamzam et sortirent les objets mentionnés du puits.
Les Quraychites lui dirent : ces choses appartiennent à nos ancêtres, vous devriez donc nous en donner la moitié.
Abd al-Muttalib leur répondit : Si vous voulez, j’utiliserai la loterie pour cela. Ils acceptèrent cette décision.
Abd al-Muttalib divisa les objets en deux parties, puis tira la loterie entre lui-même, les Quraychites et la Ka’ba.
Selon la loterie, la Kaaba devint le propriétaire des agneaux d’or. Abd al-Muttalib obtint l’épée et l’armure, mais les Quraychites ne gagnèrent rien.
Abd al-Muttalib vendit l’armure et l’épée et avec leur argent, acheta une porte pour la Kaaba. Il suspendit les agneaux d’or à la porte de la Kaaba.
Il est rapporté qu’Abu Lahab les vola et vendit. Il utilisa leur argent pour acheter de l’alcool et des jeux d’argent.
Conflit sur le puits Zamzam
Ibn Abi al-Hadîd et certains d’autres racontèrent, lorsque Abd al-Muttalib creusa le puits Zamzam et l’eau en coula, certains Quraychites devinrent jaloux et dirent :
Ô Abd al-Muttalib ! Ce puits appartient à notre ancêtre Ismaël (a) et nous en avons une part. Partagez-le avec nous.
Abd al-Muttalib dit : Cela était une faveur de Dieu pour moi et vous n’en avez aucun droit.
Après beaucoup de controverses, ils acceptèrent d’aller voir une prêtresse, qui fut dans la tribu de Bani Sa’d et qui vécut autour du Levant, pour juger. Abd al-Muttalib avec un groupe des fils de Abd al-Manâf se déplacèrent au Levant, ainsi qu’un certain nombre de chacune des tribus Qurayshites.
Au milieu de la route, dans un désert où il n’y eut pas d’eau, les fils d’Abd al-Manâf manquèrent d’eau, mais les autres Quraychites qui eurent de l’eau, n’en leur donnèrent pas.
Quand la soif les vainquit, Abd al-Muttalib dit :
« Nous devons nous préparer les tombes, pour que chacun de nous qui meurt, les autres l’enterrent. Dans ce cas, seule la dernière personne décédée ne sera pas enterrée. Si l’un de nous n’est pas enterré dans ce désert, il vaut mieux que nous restions tous comme ça ».
Lorsqu’ils creusèrent les tombes et attendirent la mort, Abd al-Muttalib déclara :
« S’asseoir ainsi et ne pas essayer et se désespérer de la miséricorde divine sont dues à l’incertitude au sujet de Dieu. Levez-vous et demandez de l’eau à Dieu, peut-être que Dieu nous accorde de l’eau. »
Alors ils chargèrent les chameaux. Quand Abd al-Muttalib monta sur son chameau, il vit une source d’eau claire et fraîche qui coula sous les pieds de son chameau.
À ce moment-là Abd al-Muttalib cria : Allahu Akbar !
Lorsque ses compagnons virent cette scène, ils dirent également at-Takbîr. Ils burent de l’eau et remplirent leurs mousquets d’eau. Ils appelèrent les Quraychites de venir voir ce qui s’est passé.
Quand les Qurayshites virent cette grande dignité de Abd al-Muttalib, ils dirent :
« Dieu juge entre nous et vous. Nous n’avons plus besoin de la décision de cette prêtresse. Nous ne discuterons plus avec vous à propos de Zamzam. Dieu qui vous a donné de l’eau dans ce désert, vous a donné le puits de Zamzam ».
Ils revinrent à La Mecque et donnèrent le droit de Zamzam à Abd al-Muttalib.
Après le creusage de Zamzam et ces événements, le grand-père du Prophète Muhammad (s) atteignit une position élevée. Il fut connu sous les titres suivants :
- Sayyid al-Bathâ’ : Le chef de La Mecque et son autour
- Sâqi al-Hajjîj : Celui qui donne de l’eau aux pèlerins de la maison de Dieu
- Hâfir az-Zamzam : Quelqu’un qui creusa le puits de Zamzam
Le peuple se réfugiait auprès de lui dans toutes les calamités. Dieu leur enlevait le châtiment grâce à lui.
Traditions Inaugurées par Abd al-Muttalib
Dans son livre, al-Khisâl, Chaykh As-Sadûq rapporta un hadith de l’Imam Ja’far as-Sâdiq (a) dans lequel le Prophète (s) d’adresse à l’Imam Ali (a) :
“Abd al-Muttaliba a établi cinq traditions à l’époque de Djahiliyya (l’Ère de l’Ignorance) qui devinrent obligatoires par Allah dans l’Islam: Il a interdit aux fils d’épouser les femmes de leur père, ce que Allah dit dans le Coran :
«وَ لا تَنْکِحُوا ما نَکَحَ آباؤُکُمْ مِنَ النِّساءِ»
Et n’épousez point celle des femmes qu’ont épousées vos pères[12]
Il a trouvé un trésor (cela pourrait être le trésor caché dans puits de Zamzam) et en a donné un cinquième aux pauvres [13]
Dieu dit dans le Coran:
«وَ اعْلَمُوا أَنَّما غَنِمْتُمْ مِنْ شَیءٍ فَأَنَّ لِلَّهِ خُمُسَهُ»
quelque chose que vous preniez, en butin, sachez que le quint [en] appartient à Allah[14]
Quand il a creusé Zamzam, il l’a nommé Siqâyat al-Hâjj (boisson pour les pèlerins-hâji) et Dieu dit :
«أجَعَلْتُمْ سِقایةَ الْحاجِّ وَ عِمارَةَ الْمَسْجِدِ الْحَرامِ کَمَنْ آمَنَ بِاللَّهِ وَ الْیوْمِ الْآخِرِ»
Ferez-vous de la charge d’abreuver les Pèlerins et du services (?) de la Mosquée Sacrée [des devoirs] comparables à [ceux de ] celui qui croit en Allah et au Dernier Jour, et mène combat dans le chemin d’Allah ?[15]
Abd al-Muttalib a déterminé le prix du sang (diya) d’un homme tué, équivalent de cent chameaux ; ce que Dieu a également appliqué dans l’Islam.
C’est également le cas du nombre de la circumambulation (tawâf) autour de la Kaba que les Quraychites ignorer auparavant. Abd al-Muttalib a fixé le nombre de tawâf à sept et Dieu a appliqué le même nombre de circumambulation dans l’islam.”[16]
Al-Ya’qûbî écrit:
Il a établi des traditions que le Prophète (s) a exécutées, plus tard et pour lesquelles des versets ont été révélés :
La loyauté aux engagements, déterminer cent chameaux pour le prix du sang d’un homme, l’interdiction du mariage avec les mahârim (le tabou d’inceste), l’interdiction d’entrer dans une maison par son toit, l’amputation de la main du voleur, désapprouver la tradition de tuer ses filles, Mubâhala (l’ordalie), l’interdiction de boire du vin, l’interdiction d’adultère, infliger une punition pour la loterie, l’obligation d’être vêtu pour faire la circumambulation autour de la Kaba, le respect des invités, fournir les dépenses du Hajj par l’argent légitime, le respect des mois Harâm, éviter l’ostentation et l’hypocrisie.”[17]
Décès
Selon les rapports et les narrations, le Prophète (s) avait huit ans lorsque Abd al-Muttalib est décédé à l’âge de quatre-vingt-deux ans, ou cent huit ans, ou cent quarante ans.[18]
Il est dit qu’avant sa mort, Abd al-Muttalib rassembla ses filles et leur dit:
«Pleurez pour moi et récitez moi des élégies que vous voudriez lire sur mon cadavre après ma mort. Je voudrais les entendre avant mourir».
Elles pleuraient et chacune récitait alors ses élégies.
Il est rapporté par Umm Ayman que le Prophète (s) suivait le cadavre de Abd al-Muttalib lors de ses funérailles et pleurait jusqu’à ce qu’on l’entera à côté de son grand-père, Qusay b. Kilâb, dans le quartier d’al-Hajun.[19]
Notes:
- Al-Balâdhurî, Al-Ansâb al-Ashrâf (en arabe), une recherche de Mumammad Bâqir al-Mahmûdî, p. 65, vol. I, 1974, Beyrouth
- Al-Balâdhurî, Al-Ansâb al-Ashrâf (en arabe), une recherche de Mumammad Bâqir al-Mahmûdî, p 65, vol I,1974, Beyrouth
- Rasûlî Mahallâtî, Sayyid Hâchîm, Zendegânî-yi Muhammad (s) en persan (une traduction de as-Sîrat al-Nabawiyya), p. 91, vol. I, Editions Kitâbchî, Téhéran, 1375 HS,
- Ibn Hichâm, Sîrat an-Nabawîyya , une recherche de Mustafâ as-Saqâ, Dâyirat al-Ma’ârif, p. 137, vol. I, Beyrouth,
- Ibn Athîr, Usd al-Ghâba fî Ma’rifat as-Sahâba (en arabe), p.151, vol. VI, Edition Dâr al-Fîkr, Beyrouth,1409 H,
- Âyatî Muhammad Ibrâhîm,Târîkh-i Payâmbar-i Islam, p.154, Téhéran 1353 HS.
- Ibn Sa’d, at-Tabaqât al-Kûbrâ, traduit en persan par Mahmûd Mahdawî Dâmghânî, vol 1, p 77, Éditions Farhang wa Andîsheh, Téhrén, 1374 HS,
- Al-Ya’qûbî, Târîkh-i Ya’qûbî, traduit de l’arabe en persan par Mahmûd Âyatî, vol.I, p. 363, Téhéran
- Al-Ya’qûbî, Târîkh-i Ya’qûbî, traduit de l’arabe en persan par Mahmûd Âyatî, vol. I, p. 363, Téhéran
- Mutahhar b. Tâhi Muqaddasî, Âfarînish wa Târîkh, traduit en persan par Muhammad Ridâ Shafî’î Kadikanî, Téhéran, Edition Âgah, 1374 HS.
- Mutahar ibn Tâhi Muqaddasî, Âfarînish wa Târîkh, traduit en persan par Mohammad-Reza Shafiei Kadkani, Téhéran, Edition Âgah, 1374 HS.
- Coran, Sourate an-Nisâ, verset 22, traduction de Blachère, p.108.
- Musavî Gharawî Muhammad Hâdi, Târikh-i Tâhqîqî-yi Islam, traduction en pesan par Husayn Ali ‘Arabî, vol.I, p. 206, 1327 HS.
- Coran, Sourate al-Anfal , verset 41, traduction de Blachère, p. 206.
- Coran , Sourate At-Tawba, verset 19, traduction de Blachère, p. 215.
- Cheikh as-Sadûq, Khisâl, vol I, p. 455, traduit de l’arabe en persan par Jâ’farî, Jâmi’iyyi Mudarrisîn, Qom, 1362 HS.
- Mûsavî Gharawî Muhammad Hâdi, Târikh-i Tâhqîqî-yi Islam, traduit en pesan par Husayn Ali Ârabî, vol.I, p. 207, 1327 HS.
- Ibn al-Jawzî, al-Muntazam fi at-Târîkh, vol. II, p. 282, Beyrouth, Dâr al-Kutub al-‘Ilmîyya, 1412 H
- Ibn Athîr, Usd al-Ghâbah fi Ma’rifat as-Sahâbah, vol I, p. 123, Beyrouth, Dâr al-Fikr, 1409 H,