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Son titre : Al-Ridâ (consentement, assentiment).
Son Kunya : Abû Al-Hassan, comme son père.
Le Huitème Imam est Ali al-Reda, fils de Moussa. Sa mère est la Dame Najma.
L’Imam est né le 11 Thul Qi’da de l’an 148 A.H. à Médine. Il est mort empoisonné le dernier jour du mois de Safar, 203 A.H. Ses funérailles furent conduites par son fils, l’Imam Muhammad al-Jawad et il fut inhumé à Machhad (Iran) où se trouve son mausolée aujourd’hui.
L’imam al-Reda parvint à l’imamat après la mort de son père, sur Ordre divin et décret de ses prédécesseurs. La période de son imamat coïncida avec le califat de Hârun et de ses fils Amin et Ma’mûn. Après la mort de son père, Ma’mûn entra en conflit avec son frère Amin, conflit qui se termina par des guerres sanglantes et par l’assassinat d’Ami’n, à la suite duquel Ma’mûn devint calife. Jusqu’alors, la politique du califat Abbasside envers les shi’ites était devenue progressivement plus dure et plus cruelle. De temps à autre, un des partisans d’Ali, se révoltait, provoquant des guerres et des rebellions qui causèrent de grandes difficultés au califat.
Ses connaissances, sa gentillesse, sa générosité, ses dispositions à la bonté et sa piété étaient sans limites.
On raconte que l’Imam aurait veillé toute la nuit en priant et qu’il aurait terminé la lecture de tout le Coran en trois jours. Il aurait prié pendant des heures d’affilées et accompli mille rak’ah en une journée et une nuit. Il se serait prosterné pendant plusieurs heures. Il avait l’habitude de jeûner souvent.
Il n’aurait jamais interrompu quelqu’un pendant qu’il parlait, ni abusé de quiconque. Il ne se serait jamais étendu en présence de quelqu’un, ni n’aurait jamais ri aux éclats, ni craché devant quelqu’un.
Il s’asseyait avec tous ses proches, femmes et serviteurs et partageait ses repas avec eux.
Le Calife Ma’mûn essaya de trouver une nouvelle solution à ces difficultés politiques qui, depuis soixante-dix ans n’avaient pu être résolues par ses prédécesseurs Abbassides et il voulut désigner l’Imam comme héritier présomptif.
L’Imam déclina son offre, car il prévoyait la ruse du Calife. Toutefois Ma’mûn le força à accepter le titre de successeur. Mais l’Imam n’accepta cette offre forcée qu’à condition de ne prendre aucune part à l’administration du gouvernement.
Pour arriver à ses fins, le calife choisit le huitième Imam comme successeur, espérant ainsi surmonter deux difficultés: premièrement, empêcher les descendants du Prophète de se rebeller contre le gouvernement puisqu’ils en feraient eux-mêmes partie, et deuxièmement faire perdre aux gens leur croyance spirituelle et leur attachement intérieur aux Imams.
Ceci se réaliserait en laissant les Imams s’enfoncer dans les affaires mondaines et la politique du califat qui avait toujours été considéré par les shi’ites comme mauvais et impur. De la sorte leur organisation religieuse s’écroulerait et ils ne représenteraient plus un danger pour le califat. Ces desseins une fois accomplis, l’éloignement de l’Imam ne présenterait aucune difficulté pour les Abbassides.
Afin de mettre en action son projet, Ma’mûn demanda à l’Imam de venir de Médine à Marw. Lorsqu’il y arriva, Ma’mûn lui offrit d’abord le califat et ensuite, la succession au califat. L’Imam s’excusa et refusa la proposition, mais il fut finalement forcé à accepter le principe de la succession, à condition qu’il ne se mêlât pas des affaires gouvernementales ni de la nomination et de la révocation des agents gouvernementaux.
L’héritier présomptif
Dieu, le Très-Haut, dit dans Son Noble Livre : ((Dieu ne veut que vous éviter l’impureté, [ô] Membres de la Famille [du prophète], et vous purifier excellemment.)) (Coran XXXIII, 33).
C’est au onzième jour du mois sacré de Dhoul-Qi’da qu’a eu lieu la naissance de l’Imam ‘AliIbn Mûssâ ar-Ridâ (p), cet Imam qui a mené une vie particulièrement dynamique. Un événement qui a marqué sa vie résidait dans le fait que le calife abbâsside lui a imposé la fonction d’héritier présomptif. Il voulait passer le califat des descendants de al-‘Abbâs aux descendants de ‘Alî et Fâtima (p). L’arrière-fond de ce changement trouve son origine dans le conflit, pour le califat, qui a éclaté entre al-Ma’mûn et son frère al-Amîn. Le conflit a touché à sa fin avec le meurtre d’al-Amîn par al-Ma’mûn qui a demandé à l’Imam ar-Ridâ (p) de se charger de la fonction d’héritier présomptif. L’Imam (p) savait que cette proposition faite par al-Ma’mûn lui était imposée par la situation négative qui entourait les Abbâssides qui ne voulaient pas laisser le califat passer de leurs mains à des autres. Les transmetteurs affirment que, plus tard, al-Ma’mûn se détourna de l’Imam ar-Ridâ (p) qui a rejoint sa famille avant d’être empoisonné par al-Ma’mûn, comme l’affirment les historiens.
En célébrant la mémoire de l’Imam ar-Ridâ (p), nous essayons de nous arrêter devant certains aspects de la personnalité de cet Imam (p). Il est dit dans sa biographie que, lorsqu’il a été nommé héritier présomptif, les poètes se mirent à se présenter devant lui pour lui réciter des poèmes d’éloge. Parmi ces poètes, on note Abû Nuâs qu’on considérait comme chiite et qui a dit en s’adressant à l’Imam (p) :
On m’a dit que je suis le poète le plus distingué parmi tous les gens,
Et que je compose des paroles ingénieuses.
Que je construis des joyaux en vers
Qui deviennent des perles dans les mains de ceux qui les cueillent.
Pourquoi donc tu ne fais pas l’éloge du Fils de Mûssâ
Et des qualités qu’il a rassemblées en lui ?
J’ai répondu : Comment pourrais-je faire l’éloge d’un Imam,
Pour le père de qui Jibrîl était le serviteur ?
Le savoir de l’Imam (p)
En nous penchant sur l’histoire de la vie de l’Imam (p) à la Médine, nous trouvons qu’il recevait les gens à la Mosquée pour les instruire et leur fournir des fatwas. Certains de ses compagnons ont compté les rapports qu’il a prononcés et ont trouvé qu’ils étaient au nombre de dix-huit mille rapports, dont la plupart étaient des réponses à des questions qui lui ont été posées dans les divers domaines de la science. Il se mettait dans un coin de la Mosquée et les autres savants occupaient d’autres coins. Mais chaque fois qu’ils se trouvaient dans l’incapacité de répondre à une question, ils le désignaient pour que les quêteurs aillent chercher les réponses auprès de lui.
L’amour que les gens lui vouaient
L’Imam ar-Ridâ (p) était la personnalité qui a donné à l’histoire de l’Islam un haut niveau sur les plans scientifique, gnoséologique, spirituel et relatif à la foi. Sur la route qu’il a conduit de la Médine à Khorasan, les habitants des villes qu’il traversait profitaient de l’occasion et accourraient vers lui pour lui poser des questions et se renseigner auprès de lui. Il répondait, à la manière de ses pères et des Prophètes, et en se référant au Coran, pour insister sur la question de l’unicité de Dieu, sur l’importance de ne rien Lui associer, et de vivre sur la base de la sérénité de la foi en cette unicité, de sa profondeur et de la grandeur de l’engagement dans la voie de l’unicité de Dieu, le Très-Haut.
Les Paroles de l’Imam (p) sont celles du Messager de Dieu (P)
Les transmetteurs disent qu’en arrivant dans la ville de Merv, l’Imam (p) a vu les savants et tout le monde se rassembler autour de lui pour lui dire : “Parle à nous, ô Fils du Messager de Dieu !”. Ses paroles étaient centrées sur la nécessité de la foi en l’unicité de Dieu, car c’est cette foi qui authentifie l’engagement au service de l’Islam et qui rapproche l’homme de Dieu. Il s’est donc adressé aux gens du haut de sa monture et leur a dit: “Mon père Mûssâ Ibn Ja’far, qui le tient de son père Ja’far Ibn Muhammad, qui le tient de son père Muhammad Ibn ‘Alî, qui le tient de son père ‘Alî Ibn al-Hussein, qui le tient de son père al-Hussein Ibn ‘Alî, qui le tient de son père ‘Alî Ibn Abû Tâlib, qui, le tient du Messager de Dieu (P), qui le tient de Jibrîl, qui le tient de Dieu qui a dit : “L’expression “Il n’y a pas de Dieu si ce n’est Dieu” est Ma citadelle ; Celui qui entre dans Ma citadelle sera épargné de Mon châtiment’”.
Un connaisseur de son époque
Certains des compagnons de l’Imam ar-Ridâ (p) ont transmis des rapports sur certaines de ses qualités qui montrent comment il représentait les bons caractères et les valeurs spirituelles de l’Islam. Ibrâhîm Ibn ‘Abbâs as-Sawlî a dit à ce propos : “Jamais ar-Ridâ (p) n’a été interrogé sur une question sans en connaître la réponse. Je n’ai jamais connu quelqu’un qui, comme lui, savait tout ce qui s’est déroulé depuis le début des temps jusqu’à son époque”. Il vivait à son époque. Il n’était pas séparé de l’étape dans laquelle il vivait. Il savait ce qui se passait à son époque, et il traitait toutes les questions qui s’y posaient. C’est une leçon que les savants devraient apprendre : Le savant qui vit à une époque devrait la connaître. Il devrait connaître les aspirations des gens de son époque, leurs raisons et leurs manières de penser. Et tout cela conformément à la parole du Prophète (P) qui dit : “Nous, les prophètes, nous avons eu l’ordre de parler aux gens selon leurs raisons”. Et as-Sawlî de poursuivre : “Al-Ma’mûn le testait en lui posant des questions sur toutes choses et chaque fois il répondait avec des extraits du Coran”. Il se référait donc au Noble Coran pour apprendre aux gens ce qu’ils devraient faire.
Le confident du Coran
L’Imam ar-Ridâ (p) récitait la totalité du Coran tous les trois jours. Il disait : “Si je voulais le réciter tout entier en moins de trois jours, je l’aurais pu. Mais je n’ai jamais lu un Verset sans y réfléchir, et sans réfléchir à la circonstance de sa révélation et au temps de sa révélation”. Le Noble Coran était pour lui sa culture. Il s’arrêtait devant chacun de ses Versets pour sonder son sens et sa signification, ce qu’il inspire, ses circonstances de révélation et le problème qu’il traite. C’est ce que nous devrions, nous-mêmes, apprendre, c’est-à-dire, la lecture du Coran afin de le comprendre et de savoir comment l’appliquer.
La politesse de l’Imam (p)
Dans un autre rapport, Abû al-‘Abbâs as-Sawlî dit : “Je n’ai jamais vu ni entendu parler de quelqu’un de meilleur que Abû al-Hassan ar-Ridâ. Il avait des conduites que n’avait personne d’autre. Il était le plus savant et le plus brillant. Al-Ma’mûn a rassemblé un grand nombre de savants de toutes les religions, et il leur a demandé de lui poser des questions. L’Imam (p) leur répondait et les confondait et ils ont tous reconnu leur propre faiblesse comparée à la supériorité de l’Imam dans tous ces domaines. Je ne l’ai jamais vu interrompre personne avant qu’elle n’eut terminé sa parole. Il n’a jamais manqué de répondre positivement aux demandes qu’on lui faisait et qu’il pouvait réaliser. Il n’a jamais tendu ses pieds ni s’est allongé en présence de ses compagnons. Il n’a jamais insulté un de ses serviteurs. (Il avait à cette époque des serviteurs et des esclaves. Il était doux avec eux, et nul ne dit qu’il aurait insulté l’un d’eux). Je ne l’ai jamais vu cracher ou rire aux éclats. Son rire n’allait pas au-delà du sourire… Il se mettait à table avec ses serviteurs, et même avec le portier et le palefrenier. Il dormait peu pendant la nuit, et jeûnait pendant la journée et ne manquait jamais de jeûner trois jours par mois. Il disait que “ce jeûne est le jeûne éternel”. Il faisait, discrètement beaucoup de bien et discrètement il donnait l’aumône. Le plus souvent, il le faisait quand il fait nuit noire. Ne croyez pas celui qui prétend avoir vu quelqu’un qui lui ressemblerait”.
Rajâ’ Ibn Abû ad-Dahhâk qui a accompagné l’Imam ar-Ridâ (p) dans son voyage de Médine à Merv le décrit en ses termes :” Je l’ai accompagné de Médine jusqu’à Merv et je n’ai vu un homme plus pieux que lui ; ni un homme qui, plus que lui, évoque Dieu pendant tout son temps ; ni un homme qui, plus que lui, a peur de Dieu, à Lui la Grandeur et la Gloire. Dès mon arrivée chez al-Ma’mûn, il m’a interrogé sur ce qu’il faisait lors du voyage. Je l’ai mis au courant de ce que je l’avais vu faire des ses jours et de ses nuits, lors de ses temps de repos et lors de ses haltes, et al-Ma’mûn m’a dit : “Oui, ô Ibn Abû ad-Dahhâk ! Il est les meilleur parmi les habitants de la terre, le plus savant et le plus pieux”.
La modestie de l’Imam (p)
Dans son livre, “al-Kâfî”, al-Kulaynî rapporte d’un homme de Balkh qui dit : ”Je me trouvais avec l’Imam ar-Ridâ lors de son voyage au Khorasan. Il a un jour demandé qu’on lui donnât à manger ; mais avant de commencer, il a réuni autour de sa table tous ses serviteurs noirs et blancs. Je lui ai dit alors : ‘Que je sois sacrifié pour toi, pourquoi ne laisses-tu pas ceux-là manger seuls autour d’une table à eux ? Il m’a répondu -que la paix soit sur lui : ‘Le Seigneur est un, la mère est une, le père est un, mais la rétribution sera distribuée selon les actions'”.
‘Alî Ibn Shu’ayb a dit : “Je suis entré chez Abû al-Hassan, ‘Alî Ibn Mûssâ ar-Ridâ (p) qui m’a dit : ‘ O ‘Alî, qui, parmi les gens mène au mieux sa vie ?’. Sire, ai-je répondu, tu le sais mieux que moi. Alors il m’a dit : ‘Il est celui qui, en vivant, fait améliorer les conditions de vie des autres’. O ‘Alî, qui est, parmi les gens, qui mène au pire sa vie ?’. Tu le sais mieux que moi, ai-je répondu. Alors il m’a dit : ‘Il est celui qui, en vivant, ne fait pas améliorer la vie des autres”.
L’Imam ar-Ridâ (p) : Hadîths choisis
L’Imam ar-Ridâ (p) a dit : “L’ami de chacun est sa raison, son ennemi est son ignorance”, car c’est grâce à la raison que l’homme distingue le beau du laid, et l’ignorant porte atteinte à soi-même avant de porter atteinte aux autres. L’Imam (p) a dit aussi : “Se comporter avec douceur avec les gens est la moitié de la raison”. Et aussi : “La piété ce n’est pas la pratique excessive du jeûne et de la prière. Elle est le fait de réfléchir souvent à l’entreprise de Dieu”. La piété doit donc siéger dans la raison de l’homme : Tant qu’il connaît mieux son Seigneur, il se rapproche davantage de Dieu, le Très-Haut. Et : “Que tu aides le faible vaut mieux que de lui donner l’aumône”.
L’Imam ar-Ridâ (p) a rempli le monde musulman. Il voulait voir les gens élever le niveau de leur savoir et de leur conscience, vivre pour davantage connaître Dieu, pour davantage se rapprocher de Lui et Lui être fidèles. Voilà ce qu’était la conduite des Imams appartenant aux Gens de la Maison (p) que Dieu a destinés à agir pour promouvoir le niveau des gens.
Que la paix soit sur l’Imam ar-Ridâ, le jour où il est né, le jour où il est passé auprès de son Seigneur et le Jour où, vivant, il sera ressuscité.